Lundi 7 octobre 1 07 /10 /Oct 15:54
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Pour cette dernière matinée de plage, nous sommes allés dans les dunes, en espérant voir un voyeur venir mater Maéva. Avec sa jupe qui lui arrivait au ras des fesses, je me disais que si nous venions à croiser un homme sur le chemin ou le parking, celui-ci pourrait être tenté de nous suivre jusqu’à la plage, et pourquoi pas venir se mettre juste à côté de nous pour nous mater. Hélas personne ne nous avait suivis. Alors une fois installé dans les dunes, je me suis mis à caresser ma femme et plus particulièrement son cul, vu qu’elle était allongée sur le ventre. Même qu’il n’y ait personne, je ne peux m’empêcher de caresser ses fesses et glisser ma main dans la raie de son cul, c’est viscéral. Mes mains sont attirées par sa peau, ses formes et sa chair. J’espérais voir quelqu’un passer et voir celui-ci s’arrêter et j’ai eu raison. Un homme est venu s’installer non loin de nous, sur un des chemins en haut de la dune qui sert de passage aux nombreux voyeurs pour l’explorer du regard et dénicher d’éventuels exhibitionnistes comme nous. Lorsque j’avais installé nos serviettes, je m’étais arrangé pour les positionner de telle façon à les orienter pour que du chemin le plus proche, on puisse bien mater l’entrecuisse de ma femme. L’homme était à moins de cinq mètres de nous. Comme je n’avais pas cessé de caresser ma femme pendant son installation, il a tout de suite commencé à se caresser la queue, qui n’a pas tardée à se mettre en érection. Il bandait bien dur, ce qui m’a encouragé à bien écarter la raie du cul de Maéva pour qu’il puisse bien voir sa rondelle et son petit trou entrouvert. Je lui caresse aussi la chatte et comme elle a les jambes bien écartées, je lui écarte les petites lèvres en m’aidant de mes doigts, les lui écartant de façon à ouvrir son antre de salope, son trou à bites. L’homme se branle plus qu’il ne se caresse. De mes deux mains j’écarte ses fesses, la rondelle tendue, le trou du cul entrouvert, je plonge le bout de ma langue à l’intérieur en dardant le bout de celle-ci et en infligeant une pression sur celui-ci, pour encore plus m’enfoncer en elle avant que je ne face tournoyer ma langue dans son cul. Je sais que Maéva aime ça. Quand ma langue quitte son cul, je vois notre voyeur très afféré sur sa queue. Alors je demande à Maéva de se retourner, ce qu’elle fait, montrant ainsi son abricot tout lisse à notre voyeur. Cette fois ma main ne quittera pas la chatte de ma femme. Je commence à lui astiquer le bouton. Comme notre voyeur apprécie la chose, le rythme de sa main sur sa queue s’accélère. Je réponds à son plaisir en augmentant la cadence de mes caresses sur le clito et les lèvres de ma femme. Le moteur commence à s’emballer, l’homme accélère encore plus la cadence et ainsi de suite nous nous auto motivons, jusqu’au moment ou je le vois prendre un mouchoir de sa main libre, quelque va et vient de l’autre main sur sa queue, puis il la bloque à hauteur des couilles, la hampe tendue, le gland gonflé, et je vois jaillir son foutre, en plusieurs jets puissants. Il a vidé ses couilles dans le mouchoir, s’est essuyé le bout de la queue, pris ses affaires, ma fait signe merci et à disparu.

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Le deuxième voyeur, il nous avait aperçus un jour où j’étais afféré à caresser Maéva devant un voyeur qui se branlait. Lui se trouvait un peu en contre bas et décalé par rapport à nous. Il avait bien essayé de voir, mais de là ou il se trouvait, il ne pouvait que deviner et imaginer ce que j’étais en train de faire. Seul le voyeur était dans sa ligne de mire, bien visible. Après cet épisode, je l’avais bien vu roder une ou deux fois quand nous étions dans les dunes, sans que je l’invite à regarder par des caresses prodiguées à Maéva. Pourtant quand je l’ai vu roder dans le coin, je n’ai pas hésité, ma main s’est posée sur le sexe de ma femme. Il a compris que j’étais d’accord pour qu’il regarde, et est venu s’installer dans un recoin qui le cachait du regard de ma femme. Après quelques caresses sur le cul de ma femme, m’est venue l’idée de demander à celle-ci de me sucer, elle a jeté un coup d’œil autour d’elle, sans voir personne, et elle a commencé à me sucer. Dieu que c’est bon se faire sucer la queue en plein air. Il y a déjà la bouche qui suce qui fait du bien, mais en plus le petit air qui vous caresse des que les lèvres de la suceuse se décolle de votre sexe. Que du bonheur. J’ai eu droit à cette gâterie un petit moment puis j’ai glissé au creux de l’oreille de ma femme qu’un voyeur venait d’arriver. J’ai repris mes caresses sur son sexe avant de venir lui déposer un bisou sur les lèvres et les lui léchouiller avec amour. Puis après quelques caresses sur le cul de ma femme, juste le temps de voir notre voyeur se masturber, les rayons du soleil nous ont poussés à quitter le lieu, pour aller au bord de la plage.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib - Publié dans : Exhibe à la plage
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Dimanche 6 octobre 7 06 /10 /Oct 07:28
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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : Voir et s'exhiber - Publié dans : Vidéo
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Lundi 30 septembre 1 30 /09 /Sep 07:12
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Cet après midi, direction non pas la plage, mais l’arrière pays pour une balade culinaire, la cueillette d’aromates. Comme Maéva connaît mon goût de l’exhibe, mais pas seulement quand il y a du monde, moi seul pouvant être voyeur de son petit cul, elle s’est vêtu de sa mini jupe à volant en jean, qui lui arrive au ras des fesses, et comme petit haut, un tee-shirt qui laisse deviner ses aréoles et des tétons qui pointent aux travers du tissu.

Voici la dernière côte et au sommet de celle-ci le dernier virage. A l’extérieur de celui-ci, un chemin bien large, où deux voitures peuvent se croiser, monte les derniers mètres du coteau. Nous nous engageons sur ce sentier et garons notre voiture à une vingtaine de mettre de la route, dont nous restons bien visible.

 De cet endroit nous dominons le paysage qui s’ouvre sur la vallée. D’un côté de la route la garigue à perte de vue, quelques bosquets et une ferme au loin composée d’un bâtiment  d’habitation, de quelques hangars et d’une grande antenne qui pourrait laisser penser que la ferme pourrait être un poste d’observation et de surveillance des hommes du feu. De l’autre de la route, là où nous sommes garés, c’est une végétation de garigue et de maquis, avec quelques arbustes d’épineux et de feuillus, avec en plus quelques pins parasols. L’endroit reste malgré tout à découvert, et restons bien visible des éventuels usagers de la route.

Voici notre cueillette qui commence, et comme je m’y attendais, j’ai le grand plaisir de pouvoir admirer le cul de ma femme. Dès qu’elle se penche pour cueillir un aromate, j’ai ses deux fesses qui s’offrent à moi. Quel plaisir, autant visuel qu’intellectuellement parlé. Mon cerveau est en ébullition, c’est trop bon, mais nous devons continuer à faire ce pourquoi on est venus. Dire qu’il n’y a pas eu de caresses serait un mensonge. Le côté où nous sommes étant caché de la route, je finis par se diriger vers un endroit découvert et visible de la route pour continuer notre grappille. Plusieurs véhicules sont passés pendant que nous étions occupés au ramassage de nos herbes. Il ne se passait cinq minutes, sans voir une voiture, des cyclistes ou un camion, et réciproquement, eux aussi nous voyaient.

Pour terminer, je vais chercher mon appareil photo sous un quelconque prétexte, avec en arrière pensée, faire quelques clichés du cul de Maéva. Pendant que je commence à faire des photos, ma femme continue à cueillir, et moi je profite de l’occasion pour tirer le portrait de ses petites fesses. Puis elle me demande les clés de la voiture pour mettre dans le coffre sa cueillette. Moi de mon côté je poursuis ma quête d’images autres que ma femme. Je suis bien loin de la voiture quand celle-ci range les paquets qu’elle pose dans le coffre.

Je la vois revenir et elle m’annonce qu’elle vient de se faire siffler par des mecs qui passaient en camion (genre estafette). A cet instant je m’image la scène, Maéva penchée la tête dans le coffre, rangeant ses affaires, le cul et la chatte à l’air, offert à la vue. Ils ont du se régaler, car là où été la voiture, elle était bien visible d’assez loin, et ont eu le temps de bien en profiter.

Je demanderai une nouvelle fois sur la route du retour si elle s’était bien fait siffler, pensant qu’elle pouvait me dire cela pour m’exciter, mais elle me confirmera que c’était bien réel.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib - Publié dans : Exhibe dans la nature
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  • Maéva et voyeur34
  • Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
  • Homme
  • 09/01/1948
  • salope sodomie amateur exhib photo
  • amoureux sans limite de Maéva, je voudrais pouvoir regarder son corps 24h/24 - 7j/7 et savoir que d'autres puissent admirer ses charmes en l'exhibant devant des voyeurs.

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