Cet après midi, j’ai eu l’occasion de voir un couple qui l’année dernière s’était bien amusé avec nous, chacun prodiguant à tour de rôle des caresses à sa moitié. Nous les reverrons plusieurs fois, et à part quelques caresses très softs de madame, rien de bien excitant.

Ce matin quand nous sommes descendus à la plage nous avons aperçu le voyeur au bob, et comme je vous l’ai dit précédemment, il nous à pas suivi jusqu’au bord de l’eau. Dommage car il aurait pu voir ce que ma femme avait dans le cul et qu’elle ne portait pas la veille. La majeure partie du temps, lorsque nous nous sommes installés le matin au bord de l’eau, Maéva portait sont bijou anal. Comme toujours, dès que je vois le cul de ma belle, je ne peux m’empêcher de la caresser. Donc pas anormal que ceux qui passent au bord de l’eau, aient le regard attiré par mes mains sur le cul de ma femme. Quand la personne arrive à notre hauteur, mes mains ont tendance à s’engouffrer dans la raie de Maéva, pour mieux la lui écarter, afin que le passant puisse bien voir ce qu’elle porte dans le cul. Etant en train de faire cela, je remarque un couple qui se dirige dans notre direction. Un couple vu un après-midi, et qui avait répondu aux caresses faites à Maéva, par leurs caresses réciproques. Ce couple est venu s’installer sur des chaises basses de plage, juste au dessus de nous à moins de quatre mètres. La dame était pile face à moi, l’homme à sa droite. Elle les jambes écartées me présentait son sexe tout lisse. Cette proximité a fortement irrité ma femme, au point qu’elle à fait en sorte de se placer pour ne pas les voir. Moi tout au contraire, je suis resté le regard scotché au sexe de la femme.

Au début je pense que la femme ne sait pas que je la regarde. Elle est allongé, et d’où je suis, je perçois que le haut de sont visage, sans voir ses yeux. Le mari sur sa chaise en position assise, voyant que je regarde, pose sa main sur le ventre de sa femme et commence à la caresser. Mais bien vite sa main prend le chemin du sexe de sa femme. Je le vois lui en serrer avec deux doigts le clito, et le fait rouler entre ses doigts. Lui de son côté, de l’autre main restée libre, se caresse la queue. Je me pose une nouvelle fois la question de savoir si la femme sait que je les regarde. La réponse viendra lorsque sont mari lui tendra du produit solaire pour qu’elle s’en mette. Elle a relevé la tête pour où elle mettait le produit, et plutôt que refermer ses cuisses voyant que j’étais là à regarder, elle les a écartées encore plus. Elle a passé le produit sur son sexe méthodiquement, lentement, renouvelé plusieurs passages de ses mains sur ses grosses lèvres. De vraies caresses d’une petite salope qui se donne du plaisir, en jetant de temps en temps un regard vers moi, afin de s’assurer que j’étais là en train de mater. Puis son homme a repris les commandes et s’est remis à lui masser le clito, pendant qu’il se caressait. De mon côté, je lui ai fait signe en formant un vé avec mon majeur et l’index, que j’ai écarté pour ouvrir le vé, voulant lui signifié de lui écarter les lèvres de son sexe. Après plusieurs tentatives infructueuses, je me suis dit que mes signes étaient adéquats pour écarter les cuisses. J’ai donc porté mes deux doigts à la bouche, un sur chacune de mes lèvres. A l’aide de ceux-ci je les ai écartées. L’homme a compris tout de suite, il a écarté celles du sexe de sa femme pour me montrer l’intérieur de son fruit. Madame a participé en caressant la queue de son mari. Notre petit manège a durée tout le reste de la matinée, et les couples qui se trouvaient autour de nous, ont bien vu notre manège. Nous avons recroisé ce couple trois ou quatre fois. Eux étaient partant pour une autre exhibe, moi aussi, mais ma femme n’ayant pas apprécié la matinée ou je n’ai cessé de les regarder, ce qu’elle m’a reproché ; (attention j’avais aussi caressé Maéva entre deux  addictions à leur exhibe). J’aimerai qu’un jour Maéva arrive, elle aussi, à regarder un homme qui la mate, et la voir écarter les cuisses pour bien lui montrer sa fente. Bref j’aimerai qu’elle arrive à faire ce que la dame à fait.

Pour finir, je dirais que la façon dont ce couple s’est exhibé, me semble proche d’un un couple avec qui j’avais été en contact suite à une annonce sur un site de rencontre. Si le couple de ce récit lit cet article, j’espère qu’ils me contacteront pour discuter de cette belle matinée, et profiter de l’occasion pour féliciter madame.

Quand nous sommes arrivés au bout du chemin qui mène à la plage, nous sommes passés devant un homme sans plus faire attention que cela, si ce n’est qu’il portait un bob de couleur verte assez flashy. Continuant notre chemin, nous nous sommes dirigés vers la dune. Là, nous avons installé nos serviettes, en faisant en sorte de les orienter vers là, où le voyeur se posterait. Je venais de commencer mes caresses quand il est arrivé, passant une première fois, puis faisant demi-tour, pour venir s’installer là où j’avais prévu. Son bob sur la tête, je compris tout de suite que c’était l’homme que nous avions croisé. Faut dire que le corsage de Maéva était très éloquent. Comme souvent le matin, elle portait son haut fait au crochet et qui est une suite de grands trous, accompagné d’un peu de laine qui les lient.  Donc forcement cela attire les regards, et provoque une vive envie de voir la suite. Ma main courrait sur le cul de Maéva, lui effleurant les fesses de la paume et du bout des doigts. Puis je me suis engouffré dans sa raie, pour aller lui doigté le petit trou. Je n’oubliais pas au passage de lui caresser son abricot. L’homme se mit à tracer dans le sable avec son doigt  quelque chose que je ne discernais pas tout de suite, mais qui fut une évidence  dès qu’il entama la deuxième syllabe. Je vis alors gravé dans le sable en lettre capitale «  MAEVA ». Ce que je lui confirmais d’un signe des yeux. Comme notre homme ne faisait que regarder, je lui ai fait signe qu’il pouvait se masturber, ce qu’il fit tout de suite. Moi de mon côté, j’essayais d’écarter les petite lèvres de son con, tout en lui ouvrant son petit trou. L’homme continuait à se caresser la queue, limitant la cadence sur sa tige, afin de contrôler son éjaculation. Moi de mon côté, après quelques baisés sur les fesses de Maéva, j’ai écarté le cul de ma belle, je lui ai ouvert son petit trou et j’ai dardé le bout de ma langue dans son antre. Je lui ai léché le cul. Puis j’ai repris mes caresses sur son sexe, en commençant doucement, puis augmentant la cadence. Réponse du voyeur, lui aussi a augmenté la cadence. Plus j’accélérais, plus lui aussi accélérait, jusqu’au moment où il a joui. En partant il a fait un petit signe qui voulait dire « c’était super ». Deux autres voyeurs sont venus mater ma femme ce jour là. Le lendemain quand nous sommes arrivés à la plage, notre voyeur au bob vert était là à attendre. Hélas nous sommes descendus au bord de l’eau et lui n’a pas suivi. Je l’ai vu repartir aussitôt comme pour rentrer chez lui.

Si vous êtes le voyeur qui a inscrit « MAEVA » dans le sable et que vous lisiez cet article, faites moi signe, j’aimerai que vous aussi racontiez l’histoire, mais vécu par vous.