Mercredi 11 juin
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C'est dans cette tenue, petite jupe dont le dernier volant est en dentelle, dévoilant ses cuisses,
juste avant la naissance des fesses, et son corsage noir habillé de petits cœurs au niveau de la poitrine, et ses bijoux de seins, que nous sommes partis en balade à Gruissan.
Petite précision sur le corsage ; celui-ci était à l'origine, pourvu de petits cœurs sur toute sa surface. J'ai enlevé un à un ceux-ci, pour qu'il ne reste qu’une bande sur
le devant. Comme on peut voir sur la photo, cela ne cache rien, et avec ses bijoux fixés sur les tétons, ceux-ci passent au travers de la maille et pointent à l'extérieur du
corsage.
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C'est donc dans cette tenue que ma femme s'est exposée tout au long de la promenade sur la marina
que forme le port et centre ville. Au regard des passants qui nous croisaient, on pouvait deviner l’étonnement de certain, les regards appuyés des autres. Puis nous nous sommes
attablés, à la terrasse d'un café. J'ai pris possession le premier d'une chaise, afin de laisser celle qui était la plus exposée, au regard des gens qui étaient attablés. Dans la
position assise, la jupe de ma femme remontant plus haut sur les cuisses, on pouvait voir les quelques poils taillés bien courts de sa petite touffe. Entre son corsage, ou
ses bijoux de seins brillaient, ses seins affichés derrière le filet noir, ses tétons dépassant du corsage et sa touffe exposée au regard, le serveur n'a cessé de la mater quand
il est venu prendre la commande. Alors l'idée m'est venue de demander à ma femme une exhibe plus poussée de sa chatte, afin de bien voir ses lèvres. Après quelques hésitations,
elle a écarté ses cuisses, fait basculer son bassin et j'ai pu profiter de ce spectacle. Les gens qui étaient derrière moi, pouvaient sans doute voir le spectacle. Afin de pousser
le jeu plus loin, j'ai demandé à ma femme de montrer sa fente au serveur lorsque celui-ci viendrait pour le règlement. Elle a craqué au dernier moment en resserrant ses cuisses.
Cela n'a pas été pour cette fois ci, mais peut-être qu'en octobre, au Cap osera t’elle. En revenant à la voiture, ayant une petite faim, nous nous sommes arrêtés dans un
supermarché qui été sur notre chemin. Les regards des mâles ne furent pas longs à fuser de droite et de gauche, apprécient sans doute ce beau spectacle inattendu, d'une poitrine à
peine dissimulé.
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Par voyeur34
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Dimanche 22 juin
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/Juin
17:03
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Et si pour aller à la mer Maéva la portait comme sur les
photos
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Autre vêtement, une robe composée de deux éléments, une partie jupon sur
lequel vient se mettre la robe par elle même. Cette partie est faite au crochet. Des mailles amples formant des dessins, franchement ajourées ne permettent pas de porter ce
vêtement sans le jupon. Voici le problème, celui-ci relativement cours arrive juste en dessous des fesses. Prisonnier entre deux textures complètement différentes en adhérence,
d'un coté la peau bronzée de ma femme, de l'autre la partie crochet, le fait de marcher provoque la remonté de celui-ci. Moralité, faisant les courses au supermarché avec cette
robe, je n'ai pas tardé à voir le bas des ses fesses et le début de sa raie. Pire, n'ayant pas fait attention à la chose, je l'ai vu se pencher suffisamment pour bien voir son
abricot tout lisse. Quand nous étions à la caisse, j'ai vu un mec dont le manège ne me laissait aucun doute sur le spectacle qui avait attiré son œil. Cela a bien durée 5 minutes
avant de le voir s'éloigner.
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Mais la première fois où je me suis aperçu de cet état de fait, fut lors d'une sortie à Bézier. Garé sur
un parking, non loin de la place de la victoire, nous remontâmes une partie de l'avenue Jean Moulin, puis avenue Georges Clémenceau, pour arriver place de la victoire que nous
traversâmes. C'est à cet instant que je remarquais avec plaisir que le jupon était légèrement remonté, sans toutefois devenir indécent. Nous commencions à descendre les allées
Paul Riquet quand ma femme s'arrêta devant une bijouterie dont les vitrines étaient en renfoncement par rapport à la rue. C'est là ou je dus demander à ma femme de remettre en
place son jupon. Le bas de ses fesses était trop visible Puis nous reprîmes notre chemin direction Rue du 4 septembre. Au bout de la rue la place Gabriel Péri, la poste, c'est
là où nous nous rendions. Arrivé sur la place, des gens aux terrasses des cafés. Et là tout de suite, je vois un homme qui porte le regard sur ma femme et qui ne cesse de la
regarder. Je n'ai pas de mal à comprendre ce qui se passe. Le bas de ses fesses est bien à la vue, d'autant plus qu'étant assis, l'homme est idéalement placé, ses yeux à
hauteur de sa croupe, une vue imprenable sur son cul lui est offerte lorsque celle-ci se tourne vers moi. Tant bien que mal, je réussis à faire demi-tour avec ma femme
afin que celle-ci rajuste le jupon. Quand nous revenons pour traverser la place, l'homme ne nous a pas quitté des yeux, enfin ma femme. Je pense que malgré s'être rajusté, il a eu
droit à un spectacle dont il doit se souvenir. Je ne me souviens plus très bien, mais je pense qu'il a vu autant devant que derrière, les charmes normalement cachés de ma petite
salope. C'est peut-être bien cela qu'il a vu en premier.
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Par Maéva et voyeur34
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Mercredi 25 juin
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16:55
Le marchand de Fruits et Légumes
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J’aime pouvoir deviner la nudité de Maéva, quelque soit le lieu où nous nous
trouvons. Donc pour aller au marché, elle portait une petite jupe courte. Celle-ci se décompose en deux parties. La partie haute est en tissus opaque est à la particularité de
s’arrêter juste au dessus de la naissance des fesses. S’il n’y avait que lui, on lui verrait un bout de fesse et la raie du cul. Mais voilà il y a une deuxième partie volantée,
constituée d’une superposition de deux volants en voile transparent. Nous avions terminé nos courses à l’exception d’un dernier marchand de légumes qui se situe en bout du marché.
En face de ce marchand, séparé par un passage de quatre mètre, un café avec terrasse ou déjà à cette heure on trouve beaucoup de gens attablés. Maéva choisissait la marchandise
quand la brise se fit un peu plus forte et souleva le voile de sa jupe. Ma femme ne s’étant aperçu de rien, ajouta sans le savoir, un plus pour les hommes attablés à la terrasse du
café. Pour prendre les fruits sur l’étalage, elle dut se pencher en avant et tendre les bras pour s’en saisir. Cela eu pour effet de faire basculer son bassin vers l’avant et offrir
une vue sur son fruit tout lisse. Pendant qu’elle choisissait les fraises, d’autres admiraient son abricot et la raie de son cul et ce qui va avec. Quand nous sommes partis, j’ai pu
voir certains hommes qui me regardaient avec le sourire aux lèvres. Ce que je regrette dans ces moments, ne pas être à la place de ces hommes, pour moi aussi profiter un maximum du
spectacle, car à se trouver très proche de Maéva, je ne peux tout voir mais seulement imaginer ce que les autres perçoivent.
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Par Maéva et voyeur34
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