Maeva, petite Salope s'exhibe

C’est avec un petit haut blanc à fines bretelles, semi transparent qui laissait deviner les aréoles aux tétons pointant à travers le frêle tissu, d’une jupe très courte lui arrivant au ras des fesses et chaussée de talons hauts que ma petite femme est partie faire ses course au Leclerc. Je n’ai pas tardé à vérifier, dès l’arrivé au magasin, le regard en coin des hommes qui la détaillait de bas en haut. Moi j’étais fier de me promener à ses côtés, rendant jaloux tous ces mâles. La cambrure de ses reins que procuraient les talons hauts, était un véritable appel au viol, dévoilant la basse de ses fesses. Si certain on bavé de désir, moi j’étais mouillé de plaisir.

Arrivé à cette époque, Maéva laisse ses strings dans le tiroir, mais aussi raccourci sa garde robe. Donc nous étions partis pour visiter Sartène, Maéva portant une petite jupe blanche, évasée, sans rien en dessous. Quand nous sommes arrivés, après être descendu de voiture j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de vent, Maéva aussi, et malgré mon penchant pour exhiber ma femme, je me suis inquiété et vérifié que sa jupe se relevant ne dévoilait pas ses fesses. C’est un peu rassuré que nous sommes descendus dans la ville parcourant les rues. Dans certaines de ces rues, régnait un courent d’air plus important, provoquant l’envol du frêle tissus dont était faite la jupe. Je n’ai pu à cet instant précis, vérifier que le cul de ma femme n’était pas à la vue de tous. Nous sommes enfin arrivés sur cette place, la traversant pour aller visiter l’église qui trônait  au fond de la place. Celle-ci était perchait sur un promontoire et pour accéder au parvis, il fallait monter des escaliers forts abruptes. Ma femme et moi avons fait la visite, ma femme sortant de l’édifice avant moi me laissant faire mes photos de l’intérieur de la bâtisse. La rejoignant pour partir, je me suis arrêté juste au bord de l’escalier pour ranger mon matériel dans le sac à dos, voulant avoir les mains libres pour descendre l’édifice. Quand j’ai relevé la tête mon regard à été attiré par un couple qui se trouvait au bas de l’escalier, le regard de la dame figé sur ma femme. Au propos que faisait la dame à son mari, j’ai tout de suite compris que la jupe de Maéva s’était soulevée et que la dame avait vue son sexe. Tout le temps où ils montèrent l’escalier, j’entendis la dame dire à son mari : «  c’est pas possible je n’ai jamais vu cela,  mon dieu c’est pas possible ». Voici donc la première exhibition de nos vacances, exhibition bien involontaire, mais hélas pas de photo, dommage.