Maeva, petite Salope s'exhibe

Pour notre première courses au Lecler de Bézier, Maéva ne sachant que mettre, je lui proposer sa petite jupe portefeuille et un petit haut blanc. La première et une jupe qui a été sage, mais qui ne l’est plus, depuis que j’ai enlevé discrètement le jupon, dernier rempart quand le vent jouait avec les volants qui la compose. Pour le haut, c’est sa faculté à laisser deviner les aréoles de ses seins et ses tétons qui pointent et tendent le fin tissu. Nous voilà parti avec l’espoir qu’une petite brise jouera avec sa petite jupe. Arrivé au Lecler, je constate avec bonheur un souffle léger s’affolant parfois en prenant l’aspect d’une légère rafale de vent. Et là au bonheur je vois la jupe se relever lentement. Pour l’instant je ne vois rien, je suis à côté de ma chérie. Nous nous dirigeons vers les chariots pour en prendre un, puis direction le magasin. A un moment ma femme est devant moi et je viens de voir son cul. Soulevée par le vent, sa jupe s’est bien relevée laissant voir ses fesses. On continue d’avancer vers le magasin. J’entends rouler derrière nous un chariot. Le vent une nouvelle fois vient de soulever la jupe de Maéva. Ses fesses ont une nouvelle fois été dévoilées a mon regard. Je jette un regard discret pour voir qui est derrière nous, un homme pousse sont chariot. A nos regards qui se croisent, je comprends que lui aussi a vu. Arrivé dans le magasin, à chaque rayon que nous allons aller Maéva et moi, peu de temps après nous notre homme arrive et se poste non loin de nous, et fait semblant de chercher un quelconque produit, en jetant de temps en temps un regard vers nous. Sans doute attend t-il que ma femme se penche en avant pour prendre un produit placé un peu bas dans la gondole et dévoiler ainsi ses fesses et pouvoir mater son cul. Hélas pour lui, il a rencontré une connaissance qui a longuement discuté avec lui. Il n’a pas pu voir ce qu’il espérait et que ma femme a fait. Au final c’est moi qui ai bien profité de ses fesses et de la vision que j’ai eu de son sexe. Oui j’ai oublié de vous dire qu’elle ne portait pas de culotte et autre string, mais ça vous vous en doutiez.

C’est une robe qui se compose d’un jupon sur lequel se met, je dirai une sur-robe, qui elle est faite au crochet, avec il faut le dire beaucoup de trous et peu de coton. Jusque là pas de quoi soulever l’effervescence chez d’éventuels adeptes de voyeurisme. Le jupon une fois passé arrive un peu en dessous des fesses de Maéva. Juste de quoi les cacher. La sur-robe, elle, descend un peu en dessous du jupon, à mi-cuisse. Nous voici parti pour acheter une baguette de pain. Pour cela, de notre logis, nous avons déjà remonté une rue, traversé une place en passant devant une terrasse de café, avec des gens attablaient, puis enfin la boulangerie. Jusque là rien de bien excitant. Sauf qu’il faut que je vous dise, que le jupon de cette satanée robe, a tendance à remonter au fur et à mesure que l’on marche. Et comme il arrive juste en dessous des fesses, en temps normal, Maéva se retrouve rapidement les fesses à l’air. D’habitude, de temps en temps elle rajuste sa tenues, mais là non. Après être sortie de la boulangerie nous avons continué notre petit tour, en faisant le tour du pâté de maison. Pour cela nous avons pris une première rue, puis une deuxième, puis une troisième pour revenir à l’autre extrémité de la place que nous avons traversée dans sa plus grande longueur. Cette place est une succession de terrasses de café, les unes à côté des autres, réparties  de part et d’autre de celle-ci. Bref, elles n’étaient noires de monde, mais il y avait quand même du monde. Après l’avoir traversée, nous avons repris la direction de notre appartement. Et c’est là que, laissant passer ma femme devant moi, prenant un peu de recul par rapport à Maéva, juste le temps de refermer la porte du hall d’entrée, que j’ai vu que ma petite salope d’amour avait une partie de ses fesses et la raie de son cul dénudés, bien visible. J’étais conscient de la chose bien avant que je le visualise, par le fait d’expériences antérieures toutes aussi croustillantes. Mais je n’avais pu le vérifier avant notre retour à la maison.

J’entends déjà ces dames offusquées de la chose, qui vous traitent de tous les noms d’oiseaux possible, aussi bien pour madame que pour monsieur qui exhibe sa femme. Et puis, il y a celles qui sont libérées, complices avec leurs hommes, qu’un regard échangé entr’eux, sourire aux lèvres se comprennent. Lui aimerait la voir oser ou faire, elle lui proposant de faire s’il le désire. Un baisé d’amoureux complices échangé sur les lèvres comme un accord pour de futures expériences.