C’est une robe qui se compose d’un jupon sur lequel se met, je dirai une sur-robe, qui elle
est faite au crochet, avec il faut le dire beaucoup de trous et peu de coton. Jusque là pas de quoi soulever l’effervescence chez d’éventuels adeptes de voyeurisme. Le jupon une
fois passé arrive un peu en dessous des fesses de Maéva. Juste de quoi les cacher. La sur-robe, elle, descend un peu en dessous du jupon, à mi-cuisse. Nous voici parti pour
acheter une baguette de pain. Pour cela, de notre logis, nous avons déjà remonté une rue, traversé une place en passant devant une terrasse de café, avec des gens attablaient,
puis enfin la boulangerie. Jusque là rien de bien excitant. Sauf qu’il faut que je vous dise, que le jupon de cette satanée robe, a tendance à remonter au fur et à mesure que l’on
marche. Et comme il arrive juste en dessous des fesses, en temps normal, Maéva se retrouve rapidement les fesses à l’air. D’habitude, de temps en temps elle rajuste sa tenues,
mais là non. Après être sortie de la boulangerie nous avons continué notre petit tour, en faisant le tour du pâté de maison. Pour cela nous avons pris une première rue, puis une
deuxième, puis une troisième pour revenir à l’autre extrémité de la place que nous avons traversée dans sa plus grande longueur. Cette place est une succession de terrasses de
café, les unes à côté des autres, réparties de part et d’autre de celle-ci. Bref, elles n’étaient noires de monde, mais il y avait quand même du monde. Après l’avoir
traversée, nous avons repris la direction de notre appartement. Et c’est là que, laissant passer ma femme devant moi, prenant un peu de recul par rapport à Maéva, juste le temps
de refermer la porte du hall d’entrée, que j’ai vu que ma petite salope d’amour avait une partie de ses fesses et la raie de son cul dénudés, bien visible. J’étais conscient de la
chose bien avant que je le visualise, par le fait d’expériences antérieures toutes aussi croustillantes. Mais je n’avais pu le vérifier avant notre retour à la maison.
J’entends déjà ces dames offusquées de la chose, qui vous traitent de tous les noms d’oiseaux
possible, aussi bien pour madame que pour monsieur qui exhibe sa femme. Et puis, il y a celles qui sont libérées, complices avec leurs hommes, qu’un regard échangé entr’eux,
sourire aux lèvres se comprennent. Lui aimerait la voir oser ou faire, elle lui proposant de faire s’il le désire. Un baisé d’amoureux complices échangé sur les lèvres comme un
accord pour de futures expériences.
|