Mercredi 9 juillet
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18:02
Le désir de la voir s'offrir aux regards des voyeurs
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Le vent du nord soufflait par rafale, nous obligeant à s’installer dans les dunes en ce milieu de
matinée. Nous avions croisé ou précédé quelques inconditionnel des heures matinales. La mini jupe en jean de Maéva et les bijoux de seins non dissimulé derrière le tissu ajouré du
débardeur, avait déjà attiré l’œil de certains voyeurs qui cherchaient leur proie. J’avais emporté nom APN pour faire quelques photos. Après avoir installé nos serviettes, ma
femme se mit en tenue d’Eve, ne gardant à ma demande que ses bijoux de seins. A peine allongée, Maéva souhaita commencer la séance de clichés. Je lui indiquais de s’allonger sur
le dos afin de commencer pour ces premières prises de vue, par son abricot. Ses seins ornés de leurs bijoux étaient ainsi à la vue des éventuels voyeurs.
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Je commençais par des photos de coté de sa chatte sachant que je l’avais très peu prise sous cet angle.
Enfin je me plaçais à ses pieds pour prendre sa fente bien dans l’axe. A cet instant je remarquais sur le haut des dunes, plus loin derrière nous, un homme qui avançait dans notre
direction. Pour ma part je repris la mise en boite de l’abricot de Maéva. A ma demande, elle écarta encore plus ses cuisses pendant que l’homme passait juste au dessus de
nous.
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Je remarquais que celui-ci se retournait pour jeter des coups d’œil, afin de ne rien rater, s’arrêtant
pour regarder autour de lui, mais surtout dans notre direction, enfin se décidait à revenir vers nous. Pendant ce temps je continuais à mitrailler avec mon objectif les orifices
de Maéva. Elle releva une cuisse, puis fit semblant de se la gratter, comme je le lui indiquais, afin de me montrer ses deux orifices. Etant plus ou moins concluant je lui fis
relever les deux jambes, me montrant avec ravissement ses deux trous. Enfin pour terminer, elle mit son majeur dans sa fente et sur son bouton.
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Je dus interrompre la séance photo, ma femme voyant l’homme s’approcher de nous. Deuxième passage puis demi-tour. Je
n’avais plus d’instant à perdre et demandais à Maéva si je pouvais luis appliquer une protection solaire. Son oui me remplit de joie. Comme toujours je commence par ses seins pour
descendre sur son ventre. J’évite son pubis imberbe, pour continuer par les cuisses et finir par les chevilles parées chacune d’une chaine. Notre voyeur s’est installé sur un
surplomb entre deux touffes d’herbes folles. De là haut il a une vue plongeante sur le sexe de ma femme, jusqu’à la raie du cul. J’avais fait trainer de façon qu’il puisse
assister à l’étalement du lait sur l’abricot de Maéva. Je commençais par enduire son pubis, puis je demandais à ma femme d’écarter encore plus ses cuisses pour enduire sa fente,
ce qu’elle fit. Mes doigts plongèrent entre ses cuisses pour enduire le fruit en commençant par l’extérieur, dans l’haine et se termina par les petites lèvres. Je ne compte pas
les passages de ma main sur sa fente. J’ai bien fait durer le plaisir pour moi et sans doute pour le voyeur. Ma main à continuer à caresser les cuisses et le ventre avec des
incursions sur la fente de Maéva. A un moment, l’homme qui était tapi derrière les herbes folles, s’est levé. Il avait la queue raide à l’horizontale. Il a fait un petit tour
histoire de se calmer, puis est revenu, a pris sa serviette, et est venu s’installer juste dans l’axe de la fourche de Maéva. Je demandais à celle-ci d’écarter encore plus ses
cuisses. Je l’ai longuement caressé. Mes doigts ont écarté ses petites lèvres, afin que la chair rosé de son fruit soit bien visible. Enfin j’ai mis en évidence son bouton tout
rose. L’homme qui était allongé sur le ventre a alors changé de position pour se mettre sur le coté et a commencé par se masturber la queue. Entre temps ma femme s’était mise sur
le ventre. Nouvelle séance de protection solaire. Sur les fesses, de l’intérieur de la raie, en tirant vers l’extérieur, histoire de lui ouvrir le cul pour montrer son œillet.
Après ce traitement aux deux fesses, ce son mes deux mains qui ont écarté celle-ci en même temps, montrant au voyeur un œillet bien mis en évidence par cette manœuvre. Je ne sais
combien de fois mes doigts ont courus dans la raie de Maéva, le majeur se plantant dans son petit trou, l’autre main écartant sa raie pour que notre voyeur puisse bien voir mon
doigt plonger dans le cul de ma femme. J’ai écarté des deux mains ses fesses avec deux doigts sur son abricot, pour offrir une belle vue au voyeur, sur ses deux orifices
entrouverts… Ce fut notre première des quatre exhibes des vacances.
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Par Maéva et voyeur34
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Samedi 12 juillet
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16:30
Un cycliste égaré entre mont de vénus et col de ...
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Toujours se sacré vent qui nous oblige à nous réfugier dans les dunes pour mon plus grand plaisir, car
je sais que là, je vais pouvoir caresser Maéva et que je ne serai pas en reste pour glisser mes doigts dans sa fente et la raie du cul, avec je l’espère la complicité d’un voyeur.
Aujourd’hui c’est elle qui a choisi sa tenue, histoire de me faire plaisir. Très sobre, mini paréo à la taille et corsage crochet à gros trous et bien sur chaine à chaque
cheville, à la taille et pour couronner le tout, bijoux aux seins. Tout pour me plaire. Sur le chemin qui serpente du parking aux dunes nous ne croisons personne, les seules
personnes rencontrées l’ont été sur le parking. Arrivé au pied des dunes, nous apercevons quelques hommes qui se promènent dans celles-ci et un cycliste s’affairant à attacher son
vélo à une balustrade. Nous passons à quelques mètres de lui. Il nous regarde, pour être plus juste je devrais dire qu’il regarde ma femme. Ses seins ne sont pas cachés et il peu
voir que sous le paréo il n’y a pas de maillot pour cacher le sexe de Maéva.
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Nous entamons la monté de la dune puis la descente de l’escalier et nous nous dirigeons vers le même
endroit des dunes où nous avions fait notre première exhibe. Maéva sait que j’ai pris mon APN. A peine arrivé à destination, je signifie à ma femme que je souhaiterais prendre une
photo dans cette tenue. Nos rabanes à peine étalées pour poser nos affaire, et me voici prenant mes deux premiers clichés. Je remarque alors que notre cycliste se promène en haut
des dunes, dans notre direction. Je soupçonne celui-ci de venir voir ce qui se passe de notre coté. Nous finissons de nous installer quand celui-ci passe juste au dessus d’où nous
sommes. J’attends que notre cycliste s’éloigne pour demander à ma belle de procéder à la suite de la séance photo interrompue lors de notre première exhibe. Je la fais mettre sur
le coté, une jambe relevée, afin de bien ouvrir sa fourche et prendre son abricot. C’est une pose qui manque à mon album.
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Enfin je lui demande se mettre sur le ventre histoire de prendre pour la énième fois ses fesses. Le
temps d’expliquer ce que je souhaite comme poses à ma petite salope et me voici en position pour mitrailler de mon objectif le petit cul de Maéva. Pendant tout ce temps je n’ai
pas fait attention à ce qui pouvait se passer autour de nous. Première photo dans une pose plutôt gentille. Pour la deuxième je lui demande d’écarter de la main sa fesse, afin
d’ouvrir la raie du cul et ainsi dévoiler son petit trou. De cet adage, qui peut le moins peut le plus, je glisse dans l’oreille de ma douce, que je souhaite glisser ma
langue dans son œillet, histoire de le lui ouvrir pour la photo. Après sa négation, je réussis à la convaincre qu’il n’y a pas de voyeur, chose que je vérifie en jetant un regard
circulaire. Elle accepte avec réticence. Me voilà plantant ma langue dans son petit trou que je sens résister. Je renouvelle la manœuvre pensant que ma deuxième attaque aura plus
de succès. Voyant que je ne parviendrais pas plus à lui ouvrir le cul ( normalement ma langue rentre comme dans du beurre et son petit trou reste bien béant ), je me décide de
prendre la photo. D’une main ma femme écarte une fesse et la mienne l’aide à écarter la deuxième. Fin de séance ; je range mon APN et me retourne pour prendre place au coté
de ma douce.
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Oh surprise, une tête dépasse de derrière la dune, juste au dessus de nous. Cinq mètre nous sépare. Je
comprends alors qu’il a tout vu. Notre voyeur n’est autre que le cycliste. L’effet de surprise passé, mes regards vers lui en même temps que les caresses entre les cuisses de
Maéva, lui ont fait bien comprendre que j’étais consentant à ce qui regarde. J’ai donc commencé à caresser ma femme. Son abricot, glissant mes doigts dans sa fente, écartant ses
petites lèvres pour lui montrer l’intérieur du fruit. Faisant courir mes doigts sur ses petites lèvres, glissant le majeur à l’intérieur de celle-ci jusqu’à son orifice vaginal.
Son cul a subit le même traitement. Ma main dans ses fesses, laissant trainer l’auriculaire dans sa raie, quand ce n’était pas le majeur qui fouillait le trou de son cul. Fesse
écarté des deux mains pour mieux voir son œillet et mon doigt qui pointait à l’intérieur. Voilà le spectacle que nous offrîmes à notre voyeur (toujours en tenue de cycliste) et
qui dura plus de deux heures. Nous le revîmes le lendemain et une autre fois encore, en attente d’une autre exhibe, que je lui refusais en le lui faisant comprendre. Sur une plage
naturiste, on peut tolérer les textiles une fois, mais après ….
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Par Maéva et voyeur34
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Samedi 12 juillet
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/07
/Juil
17:04
Trois orgasmes sinon rien
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Ce matin pas de vent, cela va être dur de négocier notre petit coin de dune. C’est en effet ce qui se passe. Maéva souhaite
s’allonger sur le bord de la plage. Je lui demande juste un petit peu, pour le plaisir de passer mes mains sur son corps. Elle cède.
Nous voila installé, toujours au même endroit, juste en
haut de la dune, seul le sentier qui serpente et les caches dans les herbes folles qu’occupent les voyeurs, surplombe notre promontoire d’à peine un mètre. Il est tôt et pas
de voyeur à l’horizon. Ma main droite caresse les fesses de ma douce, tourne et retourne sur ses courbes, plonge dans sa raie. Mes doigts viennent titiller ses petites lèvres, se
glissent dans son puits d’amour en ressortent pour courir à nouveau sur les lèvres en les effleurant, s’arrête sur son bouton. Ma main imprime à mes doigts un mouvement de
rotation sur son clito, puis repart en sens inverse, vers son puits d’amour, et ainsi de suite. Ce massage ne tarde pas à faire effet. Les fesses de Maéva son parcourues par des
frissons lui donnant la chair de poule. Voyant cela, je pose ma main gauche entre ses deux fesses et commence à lui caresser son œillet du majeur, pendant que ma main droite
s’occupe de sa fente. La chair de poule se fait de plus en plus visible. Mon majeur plonge dans son cul. Je le sens bien au chaud dans son petit trou et commence à le faire
tournoyer à l’intérieur de son anus. La conjugaison du massage de son petit trou et de son abricot ne tarde pas à montrer ses effets. Je sens son corps se raidir et devine son
râle contenue. Après son premier orgasme, j’allège la pression de mes doigts sur sa fente et mon majeur se fige dans son cul. Le léger contact de mes doigts sur son con ne tarde
pas à lui déclencher le deuxième orgasme. Mes doigts ont repris leur activité avec plus de pression pour l’envoyer au septième ciel. Je lui procurais un troisième orgasme avec les
mêmes ingrédients. Repu, elle me demandait de cesser. Mes mains reprirent le chemin de ses fesses pour les caresser et y déposer un baisé d’amour, pour la remercier de ses
jouissances. Quoi de plus beau que de voir sa femme jouir, fusse même avec un autre homme. C’est alors que je vis comme sorti du sable une tête, juste en face de nous. Je me suis
demandé depuis quand ce voyeur était là et je me le demande encore.
A-t-il tout vu ?
Je ne sais.
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Nous sommes restés encore une vingtaine de minutes où j’ai caressé le cul et la fente de ma femme devant
l’homme qui regardait, prétextant qu’un voyeur venait de s’installer. Sachant notre départ proche, j’ai fait signe au voyeur (à l’insu de Maéva), que nous allions descendre au
bord de l’eau. Celui-ci à si mal manœuvré, que ma femme a vu son manège et de fait n’a pas voulu continuer à se montrer une fois au bord de l’eau.
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Par Maéva et voyeur34
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