Samedi 12 juillet
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17:04
Trois orgasmes sinon rien
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Ce matin pas de vent, cela va être dur de négocier notre petit coin de dune. C’est en effet ce qui se passe. Maéva souhaite
s’allonger sur le bord de la plage. Je lui demande juste un petit peu, pour le plaisir de passer mes mains sur son corps. Elle cède.
Nous voila installé, toujours au même endroit, juste en
haut de la dune, seul le sentier qui serpente et les caches dans les herbes folles qu’occupent les voyeurs, surplombe notre promontoire d’à peine un mètre. Il est tôt et pas
de voyeur à l’horizon. Ma main droite caresse les fesses de ma douce, tourne et retourne sur ses courbes, plonge dans sa raie. Mes doigts viennent titiller ses petites lèvres, se
glissent dans son puits d’amour en ressortent pour courir à nouveau sur les lèvres en les effleurant, s’arrête sur son bouton. Ma main imprime à mes doigts un mouvement de
rotation sur son clito, puis repart en sens inverse, vers son puits d’amour, et ainsi de suite. Ce massage ne tarde pas à faire effet. Les fesses de Maéva son parcourues par des
frissons lui donnant la chair de poule. Voyant cela, je pose ma main gauche entre ses deux fesses et commence à lui caresser son œillet du majeur, pendant que ma main droite
s’occupe de sa fente. La chair de poule se fait de plus en plus visible. Mon majeur plonge dans son cul. Je le sens bien au chaud dans son petit trou et commence à le faire
tournoyer à l’intérieur de son anus. La conjugaison du massage de son petit trou et de son abricot ne tarde pas à montrer ses effets. Je sens son corps se raidir et devine son
râle contenue. Après son premier orgasme, j’allège la pression de mes doigts sur sa fente et mon majeur se fige dans son cul. Le léger contact de mes doigts sur son con ne tarde
pas à lui déclencher le deuxième orgasme. Mes doigts ont repris leur activité avec plus de pression pour l’envoyer au septième ciel. Je lui procurais un troisième orgasme avec les
mêmes ingrédients. Repu, elle me demandait de cesser. Mes mains reprirent le chemin de ses fesses pour les caresser et y déposer un baisé d’amour, pour la remercier de ses
jouissances. Quoi de plus beau que de voir sa femme jouir, fusse même avec un autre homme. C’est alors que je vis comme sorti du sable une tête, juste en face de nous. Je me suis
demandé depuis quand ce voyeur était là et je me le demande encore.
A-t-il tout vu ?
Je ne sais.
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Nous sommes restés encore une vingtaine de minutes où j’ai caressé le cul et la fente de ma femme devant
l’homme qui regardait, prétextant qu’un voyeur venait de s’installer. Sachant notre départ proche, j’ai fait signe au voyeur (à l’insu de Maéva), que nous allions descendre au
bord de l’eau. Celui-ci à si mal manœuvré, que ma femme a vu son manège et de fait n’a pas voulu continuer à se montrer une fois au bord de l’eau.
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Par Maéva et voyeur34
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Il faut remercier le photographe.