Samedi 12 juillet
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17:55
Quatrième exhibe pour un voyeur Sympathique
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Pour la quatrième fois, nous nous retrouvons dans les dunes. Il est à peine dix heures, la température
est fraiche pour la saison, mais ici c’est supportable car à l’abri du vent. Ma femme se doute que nous allons être la proie des voyeurs et que je ne suis pas mécontent. Elle me
dit que finalement, on je vais à la plage que pour cela. C’est un peu vrai, car l’après midi où il y a beaucoup de monde, je regarde autour pour voir s’il n’y a pas un male qui
mate du coté de l’entrejambe de Maéva. Si c’est le cas, je n’arrête pas de caresser ma douce et de laisser trainer les mains dans des endroits très intimes. Pour revenir à cette
matinée, nous sommes installés au même endroit que lors de nos premières exhibes. Comme d’habitude je caresse ma femme. Ma main droite se promène sur l’arrière d’une cuisse,
remonte sur la fesse où elle s’attarde puis fini dans le creux de ses reins pour redescendre sur l’autre fesses et enfin la cuisse. Ces caresses font parties de ce que
j’appellerai l’appât et ce matin là comme les autres, il a bien fonctionné. L’homme qui venait de passer sur le sentier qui domine notre refuge, nous a regardés. A peine nous
a-t-il dépassés que ma main remonte sur les fesses de Maéva et plonge dans sa raie. A cet instant mon regard ne quitte plus l’homme. Je sais qu’il va se retourner, ce qu’il
fait. Mon regard ne le quitte pas, pendant que ma main amplifie l’ampleur des caresses dans la raie du cul de ma femme. Mon comportement lui fait comprendre que je cherche
quelqu’un comme lui. Un voyeur pour nous mater. L’homme s’arrête. Il déballe sa serviette et s’installe à cinq mètre de nous. D’où il est il voit ça, le cul de Maéva comme sur
la photo ( j’ai vérifié ).
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Notre voyeur est installé perpendiculairement à nous, en appui sur un coude et son flan droit. Moi je
continu à caresser ma femme. Je vois la main gauche de notre voyeur se saisir de sa queue et commencer à se la caresser. Mes mains sont toujours sur les fesses de Maéva.
J’arrête un court instant pour glisser à l’oreille de ma femme que nous avons un voyeur et qu’elle veuille bien écarter encore plus ses cuisses, ce qu’elle fait. Ainsi écarté,
son abricot est plus visible par l’homme qui d’un geste de sa main gauche pouce levé, me signifie super. Je reprends mes caresses et décide d’écarter les fesses de Maéva, afin
que notre voyeur puisse bien voir son petit trou. Pendant cette opération je le regarde. L’expression de son visage ne me laisse aucun doute il veut dire « j’apprécie ce
que tu me montres, c’est beau, ça m’excite ». Sa main ne caresse plus son sexe. Il se branle. Mes doigts ont plongés à plusieurs reprises dans la raie de Maéva. Sa raie
écartée, mes doigts investissant son petit trou. Lors de ces attouchements, la raie ouverte, montrant son petit trou, je me suis servi de deux doigts pour écarter ses petites
lèvres et ouvrir son deuxième puits d’amour. Je voyais notre voyeur les yeux écarquillés, la bouche en « O » et le pouce levé. Ma femme voulant se retourner, j’ai fait
signe à notre voyeur qu’il devait cesser de se masturber. J’avais peur que cela déplaise ma femme de voir un homme se branler parce qu’il mate son cul. Notre voyeur s’est
sagement exécuté en me faisant comprendre qu’il avait compris.
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Maéva allongé sur le dos, à bien ouvert ses cuisses, montrant bien son abricot.
Moi je n’ai pas perdu de temps pour poser ma main dessus et glisser mes doigts à l’intérieur. Je lui ai écarté les petites lèvres. Mes doigts ont fait pression sur son
bouton pour mettre en évidence son clito. Chaque fois j’ai eu droit de notre voyeur, à des signes me faisant comprendre qu’il appréciait ce qu’il voyait, son doigt n’a cessé
d’être levé, sa bouche en « O », ses yeux écarquillés et sa langue pendante. En plus physiquement, il n’était pas mal. Je trouvais que son physique correspondait aux
critères de Maéva. Nous n’allions pas tarder à partir. Comme je trouvais notre voyeur très sympathique, je lui faisais des signes pour lui expliquer que l’après midi nous étions
sur la plage vers les quinze heures. D’un geste de la tête, il me fit signe qu’il avait compris. Les jours qui suivirent nous ne le revîmes pas. Je regrettais de ne pas
avoir pu lui donner les coordonnées de mon blog, pour pouvoir communiquer. Depuis le jour de cette exhibe, je gardais sur moi un petit bout de papier avec les coordonnées
du blog, dans le cas où nous le reverrions. Petite
parenthèse, ce jour là au tout début de notre exhibe devant notre voyeur, je vis arriver notre cycliste qui s’installa à trois mètre de nous. Ma femme ne pouvait le voir
car il était dissimulé à sa vue, par des touffes d’herbes folles. Comme il était toujours habillé, je lui ai fait signe de partir, ce qu’il fit. Il a continuait à roder sans
toutefois trop s’approcher.
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Par Maéva et voyeur34
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