Maeva, petite Salope s'exhibe

Cela fait bien des années que j’aimerai voir Maéva me proposer le délire que je vais vous conter. En fait, c’est suite à une expérience non prémédité et l’envie de revivre quelques années plus tard cette belle tranche de vie. A l’époque nous étions descendus en ville pour nous balader et faire du lèche vitrine. Comme à l’habitude Maéva ne portait pas de soutien gorge. Ses seins étaient nus sous son corsage blanc, suffisamment déboutonné pour me laisser entrevoir ses seins, que favorisé l’ampleur de la coupe et la fluidité du tissus. Un régal pour mes yeux. Je devinais ses auréoles ornées de deux tétons qui pointaient sous la blancheur du tissu. Devant la boutique d’un marchand de chaussures, Maéva fut enthousiasmée par un modèle et de fait nous entrâmes en vu d’acquérir la petite merveille. Nous fûmes accueillis par un vendeur. Après que Maéva lui est indiquée le modèle choisi, celui-ci revint, s’accroupi devant ma femme et lui tendant les chaussures, l’aida à les essayer. Pour les enfiler ma femme du se pencher et ce que vit le vendeur sous son nez et aussi le mien, deux beaux seins s’agitant au moindre mouvement. J’étais aux anges mais le vendeur aussi. J’aimerai revivre cette expérience, mais cette fois avec un scénario bien préparé par nous deux. Le petit plus par rapport à ce que je viens de vous narrer, Maéva ne porterait pas de culotte sous sa jupe courte. Elle ferait semblant d’avoir des difficultés pour chausser ses pieds. Cela lui permettrait de relever les jambes une après l’autre afin de dévoiler son abricot. Elle profiterait de l’instant où assise elle contemplerait les chaussures à ses pieds pour écarter ses cuisses et montrer sa fente toute lisse au vendeur, croisant et décroisant les cuisses pour porter notre proie à ébullition. Si sur Bézier ce magasin existe, laissez nous ses coordonnées. Vous aurez le compte rendu de notre passage en ce lieu et quelques photos de la tenue

 Et bien moi aussi j'aimerai profiter de vous qui venez visiter le blog de mon mari. J'ai accepté de me dévoiler à sa demande. Comme il m'avait dit, un blog c'est interactif. Moi je me montre, on me laisse des commentaires auxquels on répond. Ok, mais je vois que vous vous faites du bien en vous vous astiquant le poireau et je suppose jusqu'à vous vider les couilles de votre jus. Et moi rien. J'aimerai bien recevoir des contributions, montrant votre bite dressée et le foutre qu' elle répend à la vue de mes orifices. J'aimerai bien moi aussi me branler et me faire jouir devant vos images. Faites vite, j'ai envie de m'astiquer le bouton devant mon mari, en contemplant vos queues dressées. Je sais que pendant que ma main s'activera entre mes cuisses à la vue de vos bites en érection, mon mari me racontera comment vos mains se sont activées sur vos tiges pendant que vous visionniez mes photos et à la lecture des articles.

 Si j'ai une douzaine de blogueurs qui me font parvenir ce que j'attends, je vous promets que les prochaines photos de ma chatte seront humides et même très dégoulinantes.