Mercredi 2 juillet
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16:19
Un instant de pur bonheur auprès de mon Ange
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Voici le récit d’un souvenir
lointain, mais très présent dans ma pensée et surtout non déformé par le temps. Cela remonte à une vingtaine d’années. A cette époque Maéva avait une jupe longue
portefeuille de couleur jaune, en voile de coton léger comme un plume. Outre le fait de voler au vent, la lumière en contre jour lui donnée une transparence proportionnelle
à son intensité. Un jour que nous nous promenions à Béziers, j’ai entendu une femme s’exclamer en voyant ce que j’imagine, le cul de ma femme à peine dissimulé par la frêle
opacité du tissage. Elle portait cette jupe accompagnée d’un corsage blanc largement déboutonnée, afin que je puisse admirer ses seins libres sous le tissu. A la moindre occasion où
elle devait se pencher, j’apercevais ses tétons dressés par le frottement de l’étoffe. L’ensemble lui donnait un air gitane. C’est ainsi vêtu qu’un jour nous sommes allé à un
défilé de char. Moi je portais un short en toile sans rien en dessous. Nous attendions depuis un certain temps l’arrivé de la procession, quand je me suis retrouvé placé derrière
ma femme. La prenant par la taille pour me blottir contre elle, j’ai tout de suite ressenti la chaleur de ses fesses, qu’elle avait exposées juste avant au soleil sur le sable
dorée de la plage. Mon étreinte s’en trouva plus forte, et cette chaleur accompagnée de ses formes m’envahit le bas ventre. Je sentais son cul épouser mes formes, ma queue dans sa
raie, et cette chaleur qui se répandant en moi. Elle commença par remuer de la croupe de droite et de gauche, faisant rouler ma queue bien dure, marquant midi, d’une fesse à
l’autre en passant dans son profond sillon. J’étais aux anges. Je dus lui demander d’arrêter, sous peine de me voir éjaculer dans mon short, au milieu de cette foule. Mais je
constatais une belle tache de mouille sur celui-ci que je cachais en mettant ma chemisette par-dessus. La suite est banale. Le vrai souvenir, c’est cet instant au combien
intense de deux corps qui se fondent pour ne former qu’un. Je crois que ce jour là j’ai senti cette fusion charnelle de deux êtres. Nous étions tout seul au monde, moi Roméo et
toi Juliette. En
souvenir j’ai gardé cette jupe qui ne se démode pas et qu’elle porte de temps en temps pour mon plus grand plaisir.
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Par Maéva et voyeur34
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Mercredi 16 juillet
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16:36
Un instant de poésie pour un moment de forte émotion.
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Il est 18H00, je suis devant mon PC à classer des photos quand Maéva s’allonge sur le lit. Ce n’est pas
la forme. Je tourne mon visage vers elle. La première chose que j’aperçois et qui inonde mes yeux d’un bonheur immense, son sexe. Il est face à moi, légèrement de trois
quart. C’est un instant de plénitude. La lumière sur son sexe à la peau dorée par le soleil d’aout est une pure merveille. Son pubis imberbe renforce cette image qui me plonge
dans un profond bonheur. Je suis en extase devant cette image. Plus question de pensées sexuelles. Je contemple son fruit, bijou de la nature révélé par l’absence de pilosité. Le
moment est fort, intense en émotions charnelles. Ma bouche s’avance, dépose du bout des lèvres un baisé tendre et profond. J’effleure le fruit pour ne pas le dénaturer. Je le
contemple, me délecte de sa forme, de sa peau si douce. Aimer le regarder, simplement parce qu’il est beau, parce qu’il dégage en moi un instant de tendresse. Ma main à
remplacé la sienne sur son ventre. J’ai massé celui-ci avec délicatesse, mes avec fermeté. Cela lui a fait du bien. Avant de repartir à nos occupations journalières, j’ai
contemplé une dernière fois son bijou libéré de son écrin de poils, ai déposé un dernier baisé sur le haut de son sexe, là où fini son pubis et commence ses lèvres. Un baisé
d’amour tendre, de ceux que l’on apprend au fil du temps à cheminer ensemble.
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Par Maéva et voyeur34
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Mercredi 30 novembre
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07:10
Par Maéva et voyeur34
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