Pour une de nos toutes dernières après-midi de plage, j’avais souhaité rester assez tard pour
immortaliser le coucher de soleil. Un ciel bleu avec quelques nuages étant préférables, j’ai donc attendu ce jour avec impatience. Donc le jour venu, pas question d’aller à la
plage en début d’après-midi. C’est donc vers 16h30 que nous avons débarqué sur le sable. La plage était passablement occupée, et trouver une place pour se poser était chose pas
facile, surtout si l’on ne souhaite pas trop déranger les gens en étant trop près les uns des autres. C’est entre plusieurs couples que nous avons trouvé notre bonheur, avec un
petit bémol pour le couple à notre gauche, qui était assez proche de nous. Une fois installé, j’ai commencé comme d’habitude à caresser les fesses de Maéva, en essayant
d’être assez discret par rapport au couple qui se trouvait à notre gauche. Puis un couple est arrivé et s’est installé juste derrière le couple qui était à notre gauche. Le
monsieur indiquait à sa femme qu’ils seraient mieux en étant décalé, mais la femme a préféré l’endroit qu’elle avait choisi. En les regardant parlementer pour savoir où ils
allaient se mettre, j’ai compris pourquoi le monsieur avait fait le choix de sa position. De l’endroit qu’il indiquait à sa femme, il avait aussi une vue sur la mienne bien
meilleure que de là où voulait se mettre madame. Une vue plein axe sur le cul de ma femme que je continuais à caresser et qui était parcouru du regard de notre homme. Une fois
installé, le monsieur n’a cessait de bouger pour mieux voir le cul de Maéva que je caressais, lui écartant la raie pour qu’il puisse mater son petit trou. Après la séance de
caresses sur le cul de ma femme, j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le dos. Une fois en position, je me suis mis dans un premier temps à lui passer une protection solaire, avec
pour final, la protection de son sexe, en enduisant celui-ci de lait solaire. Je faisais durer le plaisir avec de nombreux passage de mes doigts sur les lèvres. Le dernier passage
de ma main sur sont sexe se traduit bien souvent, par l’index que je laisse trainer sur les lèvres en appuyant sur celles-ci, afin que mon doigt s’insinue dans sa fente de petite
salope. Après cela j’ai continué à lui caresser le sexe, mais plus discrètement, la main sur le haut de la cuisse, l’auriculaire venant frôler les petites lèvres. Tout cela sous
l’œil averti de notre voyeur. Quand je dis voyeur je devrais dire voyeurs. Oui ce n’était pas un mais plusieurs voyeurs qui mataient. En plus de notre homme, il y avait deux
couples qui nous regardaient. Je ne m’en étais pas aperçu trop occupé à surveiller le voyeur. Au final même le couple le plus proche a commencé à se caresser, mais de façon plus
soft. Puis avec l’heure qui avançait, la plage a commencé à se vider. Au final, il ne restait plus dans notre coin, que nous, un couple et un mec tout seul. Le mec bien qu’un peu
loin de nous, jetait de temps en temps des regards vers nous. Moi voyant cela je caressais le cul ou la chatte de Maéva. Ma femme de temps en temps me caressait la queue. C’est
alors que j’ai dit à ma femme, « suces moi ». Comme elle était gênée par la présence du couple juste derrière nous, je lui ai dit que c’était la dernière fois pour cette
année. Alors elle a juste arrangée le sac de plage pour se cacher derrière, moi j’étais allongé sur le dos, elle sur le ventre, perpendiculaire à moi, le visage à hauteur de ma
queue, et elle a commencé à me sucer la bite. Ce fut la dernière pipe en plein air que Maéva me fit. Un vrai régal. Je ne sais si le couple ou l’homme resté seul a aperçu ma femme
me suçant, car à cet instant précis je savourais le contact de ses lèvres fraiches et de sa gorge chaude, et le vent sur ma bite humide de la salive de ma petite salope pour
amplifier le plaisir.
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