Comme à notre habitude nous nous étions installé
dans les dunes, en attente d'un voyeur, dont je pressentais l'arrivé éminente. La jupe ultra courte de Maéva et son corsage qui ne cachait rien de ses seins aux tétons
parés de leurs bijoux, avaient fait mouches au près des hommes que nous avions croisés. J'expliquais ce que j'attendais à Maéva, lorsque nous vîmes arriver un homme. Ma femme
joua le jeu. Allongé sur le dos, elle commença par relever une cuisse pour se frotter une fesse, comme s'il y avait quelque chose qui la gêné. Puis ce fut l'intérieur des cuisses,
ou sa main essuya l'aine mais aussi une partie de sa fente. L'homme était accroché. Faisant semblant de chercher autour de lui une place, il posa sa serviette à moins de 10 mètres
de nous sur une position en surplomb de nous, mais un peu excentrée. Une fois installé notre voyeur, commença à regarder en direction des cuisses de ma femme. Elle s'en aperçut.
Relevant la tête, elle pris appui sur ses coudes pour regarder dans la direction de notre homme. Quand celui-ci croisa son regard, le léger mouvement, mais visible des cuisses de
Maéva s'ouvrant encore plus fut comme un sauf-conduit pour notre voyeur, mais aussi pour moi. Les cuisses largement écartées, offrant sa fente à nos regards, je posais ma main sur
son pubis imberbe, avant que mes doigts glissent sur ses lèvres. Je me mis à lui masturber délicatement l'abricot. Maéva posa sa main sur son pubis, tirant sur sa chair, comme pour
me demander de l'amener vers la jouissance. En écartant ses lèvres, ses doigts m'aidèrent à glisser les miens dans son puit d'amour tout juteux. L'homme nous voyant faire, se mis à
se masturber. Ma femme me demanda de faire une pose et profita de cet instant pour secouer sa serviette. Quand elle la replaça, elle prit soin de bien l'orienter vers notre voyeur.
D'abord accroupie, elle se mit à quatre pattes, le cul bien tendu, bien cambré, jambes écartées, pour parfaire sa couche. Cette salope offrait à notre voyeur une vue imprenable sur
sa fente et sa raie bien ouverte. Image qui eu comme effet, d'attirer son regard comme l'aimant attire le fer. Le regard collé au cul de ma femme. Il en veut et bien il en aura. Ma
main se pose sur la croupe de Maéva, la caresse. Elle me tend son cul. Je laisse traîner le majeur dans sa raie. Mon doigt s'arrête sur son petit trou. Légère pression de celui-ci,
je sens le cul de Maéva qui se cambre encore plus, comme s'il cherchait à s'empaler. Moi aussi je pousse et je sens une douce chaleur se propager jusqu'à ma deuxième phalange.
Je suis dans son cul. Le mec se branle avec vigueur et je m'aperçois que ce n'est pas un mais quatre voyeurs qui sont dans les dunes en plus du premier. Mon premier réflexe est de
tout arrêter. Je demande à Maéva de s'allonger. Elle se met sur le ventre et moi sur le coté. Nous nous mettons à discuter. Je la remercie pour ce qu'elle vient de m'offrir. Je
l'embrasse tendrement sur la bouche, Lui prodigue des je t'aime à n'en plus finir. Ma main de temps en temps lui caresse les fesses. Cela fait bien un quart d'heure que nous sommes
devenus sages, lorsque nous percevons une voix s'excusant de nous déranger. Ma femme et moi nous retournons et oh surprise, qui voyons-nous : Notre voyeur. De surprise, ma femme
devient inquiète. L'homme s'en aperçoit et tient à nous rassurer. Il veut seulement nous présenter ses remerciements en ces termes.
- Je teins à vous remercier pour l'agréable moment que vous m'avez donné.
s'adressant à moi et à ma femme:
- puis-je complimenter madame
Je suis le seul à acquiescer et comme Maéva n'a rien dit, l'homme se lance.
- Avant toute chose Madame je vous trouve très belle. Ce que je vais vous dire est un
compliment et non une insulte. Vous êtes une belle petite Salope avec un grand S. Vous êtes la femme que beaucoup
d'hommes aimeraient avoir comme compagne. Vous êtes superbe. Un superbe cul, un sexe dont on ne se lasse pas de regarder. Qui donne envie de toucher et dont la douceur doit être
enivrante. Voilà je ne vais pas plus vous importuner. J'oubliais, vous n'avez bien fait bander. Merci et peut-être à une autre fois.
L'homme est reparti s'allonger sur sa serviette. Maéva et moi nous nous sommes regardés,
un peu surpris. La surprise passée, j'ai commencé par glisser doucement dans l'oreille de Maéva :
- Peut-être qu'il voulait voir si j'acceptais et si tu voulais te laisser caresser la
chatte. Moi cela ne m'aurait pas déplu de voir des doigts te fouiller la foufoune. On se serait mis à deux pour te faire jouir. Pendant que je lui glissais mes paroles au creux de
l'oreille, mes doigts prenaient possession de sa fente. Oh la salope, elle était toute juteuse. Des filets de mouille me collaient aux doigts. Qu'elle salope!
- Tu veux que je lui fasse signe de venir.
- Non
- J'aimerai tant voir des doigts te caresser. Fais moi plaisir.
- Non
- Allez on te fera jouir.
- Non et Non. Et demain tu me demanderas quoi!
- Rien je voulais juste te voir écarter les cuisses au contact des doigts d'un inconnu. Te
savoir assez salope pour te faire tripoter la chatte et le cul devant ton mari. Allez s'il te plait, fait moi plaisir, fais moi bander.
- Tu m'énerves, un vrai gosse, toujours des caprices, il faut que tu ais le dernier
mot.
- Je peux lui faire signe?
- Fais ce que tu veux. De toute façon tant que je n'aurai pas dit oui, tu n'arrêteras pas de demander
jusqu'à ce que je cède.
- C'est oui?
- Oui.
Je dépose un baiser d'amour sur ses lèvres. Puis je regarde dans la direction de l'homme et lui fais
signe de venir. Celui-ci s'approche. Arrivé à notre hauteur, je lui indique qu'il peut prendre sa serviette et venir s'installer à coté de nous et qu'à ma demande Maéva veut
bien se laisser caresser la chatte par lui.
Le voici qui revient et s'installe juste à coté de ma femme. Il tiens à nous remercier et tout
particulièrement Maéva. C'est moi qui engage les réjouissances en commençant par caresser les seins de ma femme puis je descends sur son pubis. Mes doigts se posent sur sa fente.
Elle est toute trempée et l'indique à notre voyeur en lui disant de constater par lui même. Les doigts de l'homme viennent de se poser sur le sexe de Maéva, un grand frisson me
parcourt tout le corps. L'homme est agréablement surpris par la douceur de son sexe et le signifie à ma femme. Je lui explique que celui-ci est entièrement épilé, poil par poil,
par mes soins et cela régulièrement. J'ai remarqué que les autres voyeurs se sont rapprochés de nous. Notre compagnons d'exhibe est en pleine séance de masturbation de la
fente de ma femme. Mes doigts se mêlent aux siens pour prodiguer encore plus de plaisir à ma femme. Je fais remarquer à celle-ci, que notre voyeur à la bite bien raide et qu'il
faudrait peut-être faire quelque chose pour lui. La main de Maéva saisit la bite du mec et commence à lui masturber la tige. Moi de mon coté, j'encourage notre inconnu
à l'emmener jusqu'au bout. Je la traite de petite salope, pendant que nos mains s'occupent de sa fente. Pendant que les doigts de notre invité lui fouillent profondément la
chatte, les miens s'occupent de son petit trou. Les râles annonciateurs de sa jouissance provoque chez notre voyeur une montée de sève annonciatrice d'une éjaculation éminente.
Maéva me le fait savoir par ces paroles " le salop il va lâcher sa purée ". Pendant ce temps les autres voyeurs ont mis à profit l'excitation de ma femme pour se rapprocher.
J'adresse à notre hôte la requête suivante; " vas y éjacule sur ses seins. L'homme prend sa bite en main et se met à se branler énergiquement pendant que Maéva lui caresse les
couilles. Moi pendant ce temps j'astique le bouton de ma salope. Elle se raidit, ses jambes deviennent deux bout deux bois pendant qu'un long râle sort de sa bouche. Des jets de
sperme onctueux se répandent sur ses seins. De ma main droite j'étale ce jus en lui caressant la poitrine. Bientôt une crème blanche couvre ses seins. Pendant que Maéva et
notre voyeur jouissaient, les autres voyeurs la bite à la main se branlaient en nous regardant. Leur sperme a fini en jets puissant dans le sable. Après avoir repris nos esprits,
nous avons pris nos affaires et sommes repartis chacun de notre coté. La cueillette avait été très bonne.
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