Comme toujours en vacances, tenues obligatoires pour Maéva, jupes très courtes et corsages
pas sages pour faire ses courses au supermarché du coin. C’est ainsi qu’une fois par semaine, nous nous rendons au Leclerc de Béziers. Maéva dans sa petite jupette, avec de
préférence, chaussures à talon. Ils ne sont pas vertigineux, mais les cinq centimètres gagnés en hauteur sont très appréciable. Ils ont le pouvoir d’allonger ses jambes déjà
grandes, et donc de réduire la distance de nos yeux à son cul, mais surtout de cambrer ses reins, mettant en valeur son joli petit cul. Reins cambrés signifie que la jupe qui
couvre ses fesses suit le mouvement. Alors quand on sait qu’en temps normal elle arrive juste à hauteur de la jointure des cuisses avec celles.ci, humm… je vous laisse imaginer la
suite.
Sur les quatre ou cinq fois où nous sommes allés faire nos courses dans ce magasin, il y en
a une qui m’a laissé un souvenir mémorable. En temps normal, Maéva ne se penche jamais en avant pour prendre un article dans une gondole, lorsqu’elle est ainsi vêtue. Il ne faut pas
oublier qu’elle ne porte pas de culotte. Aussi je lui ai expliqué, qu’elle pouvait se pencher sans que personne ne puisse rien voir, si elle faisait attention lorsqu’elle se penche,
à se pencher le dos tourné face à la gondole qui se trouve derrière elle, en lui expliquant que le champ de vision étant très étroit on ne pouvait rien voir. Après ces explications
antérieures et quelques invectives sur le terrain, antérieure à cette journée mémorable, Maéva à donc pris l’habitude de faire comme je vous ai dit, quand elle doit prendre un
article qui n’est pas à sa hauteur. Connaissant ma femme, je savais qu’un jour ou l’autre, l’habitude lui ferait oublier sa tenue vestimentaire, sauf que je ne pensais pas que cela
serait si tôt. C’est dans le rayon apéritif que cela s’est passé. Comme toujours je traine quelques mètres derrière Maéva, pour le plaisir d’admirer ses jambes, et dans l’espoir
d’entrevoir ses fesses. Elle s’est arrêtée aux biscuits apéro, moi j’ai continué et me suis mis en face au rayon alcool. Je regardais plus Maéva que les bouteilles. Un homme et
arrivé juste à côté de moi, j’ai fait semblant de choisir une bouteille. C’est alors que je l’ai entendu dire « quel cul ». Je me suis retourné, j’ai vu ma femme, penché
en avant, les fesses bien en vue sous sa jupe à volant, la chatte à l’air. La vision n’a duré que quelques secondes. Moi j’ai repris ma quête dans le rayon. L’homme m’a regardé et
m’a dit « vous avez vu, elle n’a pas de culotte » j’ai répondu que j’avais vu. Sur ce, il a ajouté « je lui mettrais bien ma queue entre les cuisses de cette
salope ». Il s’est arrêté de parler, car il a vu ma femme venir dans sa direction. Je ne vous raconte pas la tête du mec quand Maéva m’a demandé « tu trouves ce que tu
veux » et que j’ai répondu « oui » en prenant la première bouteille que j’avais sous la main. Nous avons quitté le rayon, et continué nos courses. J’ai aperçu l’homme
il nous suivait de loin. J’en ai profité pour posé à mainte reprise, ma main sur les fesses de Maéva (je précise, la main sur la jupe et non en dessous). Quand nous sommes arrivés à
la caisse, j’ai vu l’homme arriver et se poster en bout de rayon, et je l’ai vu mater quand Maéva allait chercher les courses au fond du cadi, pour les mettre sur le tapi. A la
caisse je passe toujours devant, c’est moi qui range les courses. Puis quand tout a été sur le tapi, l’homme a filé à une autre caisse. Je l’ai vu quitter le magasin, et quand nous
nous sommes retrouvés sur le parking Maéva et moi, je ne doutais pas qu’il devait se trouver quelque part, dans sa voiture, épiant la jupe de ma femme. J’en ai profité cette fois,
pour glisser ma main sous sa jupe et lui caresser ses fesses du bout des doigts. Ce n’est pas facile quand on marche, mais ça a l’avantage de soulever un peu plus le tissu. Quand
nous avons ragé les courses dans le coffre de la voiture, Maéva et moi, j’ai vu une voiture arriver et ralentir a notre hauteur en passant devant derrière nous. Quand j’ai vu la
voiture au loin venir vers nous, j’étais sur que c’était lui, et je ne me suis pas trompé. Il a eu le tout le temps d’admirer le cul de ma femme, vu la vitesse du véhicule emprunté
à un escargot. L’homme a souri tout en continuant sa route. Nous nous sommes rentrés chez nous.
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