Samedi 10 mai
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/Mai
18:29
Exhibe sur une
plage naturiste
Eté 2005 plage naturiste de Sérignan
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Nous étions descendus le matin de bonne heure, de
façons à profiter des derniers instants de soleil. Je mettais à profit ces instants pour discrètement caresser l’entrejambe de ma femme qui était allongée sur le dos, jambes
bien écartées. Pas si discret que cela, puisqu' un homme d’une trentaine d’année, est venu se promener le long de la plage jusqu' à notre hauteur. Voyant celui-ci j’ai continué
à caresser ma femme en regardant dans sa direction. Il pouvait voir les jambes bien écartées de ma femme et mes doigts qui effleurés son sexe. Après avoir bien mâté et être
reparti à sa place, une cinquantaine de mettre plus loin, il a continué à regarder dans notre direction, et moi j’ai continué à caresser ma femme. Puis il s’est levé, prenant
ses affaires et est partie plus loin comme s’il voulait changer d’endroit. J’ai tout de suite pensé qu’il allait revenir se mettre à coté de nous. Effectivement c’est ce
qu’il a fait. Il s'est mis sur le coté pour nous regarder. J’ai continué à caresser ma femme, et il a pu voir ceci. Ma femme allongée sur le dos, mes doigts chatouillant ses petites lèvres puis les écartant pour
qu’il puisse admirer le rosé de son antre. Puis celle-ci positionné en chien de fusil, la jambe bien relevé, le cul tourné vers lui, j' ai tiré sur une fesse pour dégager sa
raie afin qu'il puisse admirer son oeillet. Le manège a durée plus d’une heure. Quand nous sommes partis, il a pu voir que ma femme portait comme corsage, un
simple caraco fait au crochet, avec de gros ajouts laissant à la vue sa poitrine et ses tétons pointant se faufiler dans les trous. Nous sommes retournés à la plage l’après midi
et après un certain temps, celui-ci est arrivé. Il s'est positionné le regard dans l'axe de l'entrejambe de ma femme, et n'a cessé de mater tout l'après midi. Et moi, J'ai
profité pour recommencer mon manège. Ma femme allongée sur le ventre, je lui ai écarté des deux mains, ses fesses pour qu'il puisse bien voir son oeillet. Petit regret, que
R... n'est pas été là pour le jouer à quatre mains.
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Eté 2006 plage naturiste de Sérignan
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Drôle d’année ; un vent frais soufflant du nord qui soulève le
sable, et nous voilà contraints de nous réfugier dans les dunes qui bordent la plage. Mais pour ne pas avoir un mauvais souvenir, autant profiter de la situation, et mettre à
profit ces circonstances. Pour ce faire, pas besoin de chercher très loin, tous les jours, des voyeurs se promènent dans ces dunes, à la recherche de leur nourriture. Et bien j’ai
profité de cette situation pour leur en donner. Il suffisait au moment ou ceux-ci passaient, de caresser ma femme, pour les appâter. Donc c‘est ce que j’ai fait. Lors de la
première exhibe, l’homme était au dessus de nous, à environ 8 mètres, lorsque je me suis mis à caresser ma femme. Mes doigts effleuraient son ventre et descendaient jusqu’à son
pubis. Le voyeur a pris position pour me regarder. Voyant que ma femme se laissait faire, ne soupçonnant pas la présence d’un tiers, je me suis hasardé à descendre mes doigts sur
son clito. Je demander à ma femme si je pouvais continuer, et reçu une réponse positive. Je me mis donc à caresser ses petites lèvres et son clito. Mes doigts fouillaient l’antre
chaud de Maéva sous le regard de l’homme. Mes regards vers lui pendant que je masturbais le bouton de ma belle, avaient fini de le rassurer sur mes intensions de lui offrir ce
spectacle. C ‘est sous ses yeux que le corps de ma femme se raidi sous les jouissances renouvelées que mes doigts lui procurèrent. Pour finir je glisser au creux de l’oreille
de Maéva, que je souhaitais déposer un baisé sur les lèvres de son doux fruit. Acceptant, ma bouche pris celles-ci, les aspirant pour goûter à son parfum, tout cela en présence du
voyeur.
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La deuxième exhibe fut réciproque entre un couple et ma femme et moi. A
peine dix mètre entre nous l’homme caresse les seins de sa femme et s’aventure sur son ventre sans trop s’hasarder vers sa fourche. Moi voyant cela, je décide de me servir de la
séance de produit solaire, pour balader mes mains entre ses cuisses. J’insiste jusqu’au moment où l’homme s’aperçoit de mon manège. De ce que je vois, l’homme indique à sa femme
ce qu’il vient de voir et sans doute profite t-il de cette révélation pour lui proposer de faire de même. Pendant ce temps ma femme s’est retournée pour faire bronzer ses fesses.
Nouvel étalement de lait solaire sur ses fesses ou mes doigts s’égarent dans sa raie et mon index s’engouffre dans son petit trou. Mes doigts se promènent sur ses lèvres en
essayant de les ouvrir. Pendant ce temps je m’aperçois que la femme caresse le sexe de son homme, pendant que lui s’aventure sur le sien, qu’elle expose à ma vue. Bref ce fut une
belle après midi, ou les caresses des uns étaient surenchéries par celles des autres. Ce fut un échange de plaisirs voyeurs.
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En attendant les prochains récits, j’aimerai connaître les avis des
voyeurs. Cerise sur le gâteau, le hasard faisant bien les choses, pourquoi pas le commentaire d’un des voyeurs de la plage.
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Encore plus de photos ( grand format) et commentaires sur mon site
perso...
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Par voyeur34
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Vendredi 20 juin
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/Juin
09:48
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Il arrive parfois, lorsque nous décidons d’aller à la plage de bonne heure le matin, que je demande à ma
femme de passer cette tenue très légère. Chose qu’elle fait lorsque nous arrivons sur le parking de la plage. Il n’est pas rare que nous croisions des hommes sur le sentier qui
mène à celle-ci. Lorsque nous remontons il y a plus de monde, et les regards appuyés sur ma femme, ne me déplaisent pas.
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Encore plus de photos (grand format) et commentaires sur mon site perso...
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Par Maéva et voyeur34
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Mercredi 25 juin
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25
/06
/Juin
16:44
Un cul bien tendue pour attirer sa
proie
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Enfin le soleil, et avec lui l’envie de plage. On ressort les tenues légères. Aujourd’hui, jupe en jean
très courte, en dessous ! Rien que ma nudité. Cela plait à mon mari de me savoir nue comme un ver et pour seul refuge de cette nudité, un minuscule bout de tissus. C’est
ainsi que nous prenons la direction de la plage, me faisant caresser le minou par la brise légère. Vue la longueur de la jupe, elle n’a pas de mal, le tissus s’arrêtant là où
commence le lobe des fesses. C’est dans cette tenue qu’accroupie à quatre patte, j’aide mon marie à installer les serviettes sur le sable. Belle vue garanti sur mes fesses et ma
chatte, pour les spectateurs se trouvant derrière moi. Nous voici installés, et comme toujours je laisse à mon mari le soin de me protéger du soleil. Comme j’aime sentir la
chaleur du soleil sur mon abricot et que mon mari aime me voir les jambes écartées, je m’exécute pour son plaisir et le mien. Je sais que lui c’est pour voir ma fente au soleil,
mais aussi pour me la faire mater par des mâles voyeurs.
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Maéva était allongée sur le coté, le cul tendu, une jambe repliée, m’offrant une vue splendide sur sa
raie, lorsque je vis deux hommes s’installer devant nous légèrement à notre droite. Visiblement ils ne faisaient pas parti de ces gens qui viennent se coller à vous, même s’il y a
de la place tout autour. Cependant je remarquais quelques regards en direction de ma femme. J’indiquais à Maéva que nous étions en présence de deux apprentis voyeurs. Comme
convenu, celle-ci se mis sur le dos. Je me servis de la séance de protection solaire pour les appâter. Je commençais par enduire les seins en faisant durer le plaisir, puis le
ventre. Je jetais de temps en temps des coups d’œil dans leur direction pour constater qu’eux aussi faisait de même. Je continuais par les jambes, en démarrant de la cheville pour
remonter vers la cuisse. Enfin je mis sur mes doigts une bonne dose de lait solaire, que je déposais sur son pubis, juste au dessus de la naissance des grandes lèvres. Je
commençais par étaler sur son pubis le lait avant que mes doigts ne plongent entre ses cuisses. A cet instant je demandais à Maéva d’écarter encore plus celles-ci. Ils purent voir
mes doigts se promener sur les lèvres grandes et petites. Voir ce fruit tout lisse, doux comme la peau d’un abricot, se faire tripoter sous leurs yeux.
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Comme mon mari m’avait expliquée, allongée sur le dos, j‘ai relevé la tête et me suis mis en appui sur
les coudes, afin de jeter un regard dans leur direction sans pour cela leur indiquer clairement que je les surveillais. Au premier regard qu’ils jetèrent dans ma direction,
j’ouvris encore plus mes cuisses, ne laissant aucun doute sur mon intention de m’exhiber. M’étant à nouveau allongée, je remontais mes jambes pour prendre appui sur la plante des
pieds. Pendant ce changement de position, mes cuisses étaient restées ouvertes. Je restais un moment dans cette position, jusqu’au moment où mon mari me demanda de faire le
papillon. Le ballet commençait ou je devais ouvrir, puis refermer mes cuisses. Quand je dis fermées, il faut entendre ouvertes et quand je dis ouvertes, c’est franchement ouverte,
au maximum de ce que je puisse les ouvrir. Dans cette position bien écartée, que je me mis à faire des rotations du bassin, balançant de droite à gauche et inversement, mon
abricot bien à la vue de ces messieurs. Enfin comme prévu par mon mari, je fis semblant de m’essuyer le sexe avec les mains, comme si du sable se trouvait collé sur la peau.
Mes mains essuyant celui-ci de haut en bas avec un mouvement partant vers l’extérieur, ce qui avait pour effet d’entrouvrir mes lèvres. Je fis remarquer à mon mari que j’avais
chaud. Ce qui signifiait, que j’étais chaude, que mon abricot était bien juteux. Le soleil sur ma chatte plus l’exhibe, avaient déclenché chez moi ce plaisir que j’avais hâte de
partager avec mon mari.
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Maéva venait de se retourner pour se mettre sur le ventre, m’offrant une belle vue sur ses fesses, quand
je vis un homme poser sa serviette à trois ou quatre mètres de nous. Vu la position de celle-ci, il ne faisait aucun doute que le regard de l’homme était en plein dans l’axe
de ses cuisses. Nous avions affaire à un voyeur. Et bien il allait voir. Notre homme allongé sur le ventre, le visage tourné vers nous, le regard plongé entre les cuisses de
Maéva, avait une vue imprenable sur son cul et son abricot. Même sur le ventre, j’aime que ma petite salope écarte bien les cuisses pour tout montrer. Bref il voulait voir,
j’allais lui montrer. Je demandais à Maéva si elle souhaitait que je la protège en espérant une réponse positive. C’est avec soulagement que j’entendis le oui. Je commençais par
enduire les épaules, pour descendre vers les reins en évitant la naissance des fesses. Je repris du bas des jambes pour remonter sur le haut des cuisses. Enfin je déposais des
noix de lait sur son cul. Ma main droite se posa sur sa fesse gauche pour commencer à étaler le lait. Je regardais dans la direction de l’homme tout en continuant mon massage de
celle-ci. Je faisais durer le plaisir de la caresse et celui du voyeur. A plusieurs reprises mes doigts s’aventurèrent dans la raie du cul pour en sortir et à l’occasion ouvrir
celle-ci, afin de montrer un œillet légèrement entrouvert, preuve d’une occupation régulière du lieu. J’utilisais le même manège pour la deuxième. Enfin je déposais sur le
bout de mes doigts un peu de produit et plongeais ceux-ci entre les cuisses, pour enduire son abricot. Quand je regardais dans la direction de l’homme, je vis que celui-ci s’était
tourné vers nous, montrant son sexe déjà bien gonflé d’excitation. Après m’être protégé à mon tour, j’ai fait semblant d’essuyer mes mains sur les fesses de Maéva, mais aussi
entre ses cuisses…..
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Au retour de la plage, dans la voiture, j’ai pu constater que le fruit de ma douce était bien juteux.
Quelle belle petite salope d’amour elle peut-être parfois pour moi.
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Par Maéva et voyeur34
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