Je vous ai souvent parlé d'un voyeur très sympathique avec qui j'ai eu des
contacts téléphoniques. Le dernier contact en date était pour mettre au point notre système de communication afin que je l'avertisse de notre présence à la plage. Par la même
occasion je lui ai signifié que je désirais voir ses mains sur le corps de ma femme et plus exactement, ses doigts sur sa fente, que j'aimerais le voir jouir sur les seins de
Maéva, pour que j'étale cette crème en lui caressant la poitrine. Hélas malgré des rendez-vous pris, pour des raisons professionnelles, il n'y a pas eu de rencontre. Nos vacances
allaient se terminer sans aucune exhibe. C'est pourquoi la dernière journée, nous avons décidé de faire un tour dans les dunes.
Maéva s'exhibe simplement pour me faire plaisir. Ce n'est pas sa tasse de café, aussi elle préfère ne pas savoir qu'il y a un voyeur quand je la tripote. Si j'ai le malheur
de lui dire, elle se limite au stricte nécessaire en me demandant de ne pas aller trop loin dans mes caresses. Pourtant cette fois quelque chose à changé.
Allongée sur le ventre, les cuisses bien écartées, Maéva se faisait bronzer. Moi je lui caressais ses fesses en laissant trainer ma main dans sa raie. L’écartant pour regarder son
œillet au soleil. Enfin je vis arriver sur le haut de la dune un homme. Automatiquement ma main qui avait quitté les fesses de Maéva, reprirent l'ouvrage. L'homme s'aperçu de
la chose et vint se poster derrière une touffe d'herbe folle, à moins de cinq mètres de nous. Je demandais à Maéva si elle voulait que je la protège. Sa
réponse affirmative me remplit de joie. Je passe sur les détails pour n'en venir qu'à l'essentiel, ses fesses. Ma main droite fit des allée et venu sur son cul, plongeant
dans sa raie tout en l'écartant pour mettre à jour son petit trou, sur lequel je laissais trainer mon index. Sans oublier sa fente que mes doigts venaient titiller quand ma main
plongeait entre ses cuisses. J'avais attrapé mon voyeur. Ce n'est qu'après un certain temps de ce traitement que je faisais subir à Maéva que je lui signifiais l'arrivé d'un
voyeur.
A la reprise de mes attouchements, Maéva eu un léger mouvement de réprobation, signifiant que je pouvait la caresser sans aller dans l'excès, ce que je ne mis pas en pratique et
que je fis comprendre à ma femme. Je vis bien le peu de résistance de ma douce à cette décision et mes mains prirent à nouveau le chemin de son sillon fessier. D’une main
j'écartais ses fesses pendant que l'autre glissait le long de sa raie ainsi offerte à notre voyeur. Mes doigts s'arrêtaient sur son petit trou pour le masser. Je n'en gardais
qu'un pointé sur son œillet, les autres me servant à ouvrir encore plus son cul déjà ouvert par l'autre main. De mon doigt resté sur son petit trou, j'appliquais une pression
légère sur celui-ci. Le cul ainsi ouvert, l'homme ne perdit pas un seul instant de l'enculage du cul de Maéva par mon doigt que je fis tournoyer en même temps qu'il s'enfonçait
dans ce puits d'amour, si doux et au combien élastique, sans aucune résistance. Il faut dire que presque tous les jours, je devrais dire toutes les nuits, je lui enfile les
quatres doigts de la main, et le cinquième n'est pas loin de se glisser dedans avec les autres. Quel plaisir de sentir sa rondelle se contracter sur eux. Revenons à notre exhibe,
l'homme qui se trouvait à moins de cinq mètres de nous, avait la vision du cul bien écarté de ma femme, dont la rondelle se faisait défoncer par mon doigt que je ressortis après
un certain temps. Je repris mes attouchements de son cul et de sa chatte que mes doigts frôlaient, lorsqu'ils glissaient entre ses cuisses qu'elle avait bien ouvertes à ma
demande. Après vingt bonnes minutes de ce traitement, je demandais à ma femme de se retourner, pour offrir à notre voyeur, une vue imprenable sur son con imberbe. Jambes bien
écartées pour une meilleure vision de sa fente au voyeur, je commençais par lui passer du lait sur tout le corps. C'est droit dans les yeux que je regardais notre homme, lorsque
ma main commença à étendre le lait sur sa fente. dès lors ma main ne quitta plus son fruit. Après de multiples caresses du bout des doigts sur ses petites lèvres, les effleurant à
peine, je me mis à les écarter pour que notre homme puisse voir le rosé de la chair et son petit clito. Après quelques protestations de Maéva, celle-ci se laissa faire. Ayant
glissé mon doigt dans sa fente, je le fis descendre jusqu'à son puit d'amour. Je découvris son trou à bites tout juteux, plein d'une mouille bien gluante. Quand je retirais mon
doigt, celui-ci emmena un filet de mouille avec lui. Maéva, ma salope d'amour mouillait comme une chienne en chaleur. Je lui glissais à l'oreille que c'était une belle petite
salope,une petite pute comme j'aimais qu'elle soit. Je lui mis deux doigts dans son trous à bites pour la branler puis je lui astiquais le clito. Cette salope a joui comme une
vrai chienne. Je l'ai traité comme elle aime entendre, de petite salope, de belle pute à son mari, ce qui lui a donné un second orgasme.
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