Exhibe à la plage

Mardi 14 septembre 2 14 /09 /Sep 16:19
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Pour notre première matinée de plage, j’avais l’intention de demander à ma femme, de passer celle-ci dans les dunes. Cela faisait trop longtemps que j’attendais cet instant et Maéva le compris, quand sur le chemin menant à la plage j’en fis la demande. Comme à l’habitude, nous étions presque les premiers sur la plage. Nous avions croisé trois, quatre personnes seulement sur le chemin. Notre petit coin de dunes était libre. Nous nous posâmes et comme le temps passait sans la moindre apparition d’un voyeur. Multipliant les caresses sur ses fesses pour attirer l’attention du moindre mâle qui pourrait nous apercevoir. J’expliquais à Maéva ce que j’attendais d’elle lorsque homme se poserait pour mater. C’est vers les dix heures qu’enfin celui-ci apparu, la quarantaine, lunette de soleil et petite moustache. Remontant la dune il est venu installer sa serviette sur le même niveau que nous à seulement cinq mètres le regard juste dans l’axe des cuisses de ma belle. A cet instant ma petite salope était sur le ventre, de ce fait n’ayant pas vu le voyeur arriver, je l’informais de sa présence et d’appliquer les conseils que je lui avais donnés.

C’est ainsi que je vis ma petite femme jeter un regard par-dessus son épaule dans la direction de notre voyeur, lui signifiant ainsi qu’elle savait qu’il était là. Puis après avoir repris sa lecture, elle prit une pose de trois-quarts sur le flan, une jambe bien remontée, mettant ainsi bien en évidence son cul et sa raie. Elle l’ouvrit largement pour dévoiler sa rondelle, en tirant la main à plat sur sa cuisse, écartant ainsi ses fesses et offrant son petit trou à la vue de notre voyeur. Pendant tout ce temps, la main de celui-ci ne cessa de caresser sa bite, fier d’exhiber sa queue bien raide. Maéva  au bout s’étant remise sur le ventre les jambes bien écartées, je me mis à explorer sa raie et sa fente, caressant ses fesses, puis écartant de mes mains ses fesses pour bien montrer son œillet brun au voyeur, puis ma main dans sa raie je descendais jusqu’à son sexe, lui caressant tour à tour les grandes lèvres, titillant son clito et ses petites lèvres. A un moment, je mouillais mon index et le lui enfonçais dans le cul, en imprimant un mouvement de rotation, une fois celui-ci dans son anus. Maéva aime cette caresse, qu’elle me demande souvent quand je lui masturbe sa fente o quand je la lui lèche. Voyant tout cela, notre voyeur s’est le ver pour venir nous voir. Je lui ai fait signe que non. Celui-ci est retourné à sa place. Je savais que Maéva n’était pas prête pour ce genre de relation. Pour que notre voyeur ne soit pas trop frustré, j’ai demandé à ma petite salope de se mettre sur le dos afin de montrer son con à notre homme, en écartant bien les cuisses. Constatant à mon goût, que ma petite salope pouvait faire mieux, je posais ma main sur l’intérieur de ses cuisses et poussait de façon à les lui ouvrir, ce qu’elle fit sans résistance, offrant de façon provocante son abricot imberbe au regard du voyeur. Je profitais de son bijou sexuel bien ouvert, pour glisser mes doigts à l’intérieur et d’écarter ses petites lèvres, dévoilant ainsi la chair rosée de ce fruit déjà bien juteux. Mes doigts s’enfoncèrent aisément à l’intérieur, sans la moindre résistance, aidé par le jus gluant et onctueux de sa mouille. L’homme s’est bien branlé avant de nous quitter.

Une fois rentré à la maison et à peine déshabillés, je me suis collé contre le cul de ma femme, mes mains sur ses seins. Elle, elle a tendu ses fesses, je me suis glissé dans sa chatte toute juteuse. Trop excité, je nefut pas long avant que je jouisse. Je la couchais alors sur le lit et lui masturbais la fente en la traitant comme elle aime, de petite salope, de petite pute. Elle ne fut elle mon plus à jouir. Je lui ai donné plusieurs orgasmes clitoridiens en lui caressant son sexe accompagné de mots crus comme elle aime entendre.

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Mercredi 15 septembre 3 15 /09 /Sep 18:41
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Comme de coutume, je caressais les fesses de ma femme, quand notre voyeur est arrivé. La trentaine, plutôt mignon, allure sportive. Bref le genre avec lequel je verrais bien Maéva se laisser convaincre de se faire caresser en demandant de venir se joindre à nous. Pour cette deuxième exhibe, notre homme était très proche. Au plus, celui-ci était à moins de quatre mètre, sur le même niveau que nous. Dans le prolongement de l’axe des cuisses de ma femme. Celui-ci était allongé sur le ventre. Comme à l’habitude j’informais Maéva de sa présence, et  lui demandais de bien ouvrir ses cuisses pour qu’il puisse voir mes doigts lui caresser la moule. Tout d’abord je lui écartais la raie du cul pour dévoiler son petit trou. Celui-ci s’ouvrit vu le traitement qu’il avait subit pendant la nuit. Comme je ne dormais pas j’en ai profité pour lui introduire quatre doigts jusqu’à la deuxième phalange. Pendant plus d’une heure sont trou fut bien dilaté ce qui eu pour effet de laisser son sphincter très souple toute la journée. Fort de cette constatation, je mouillais le majeur et l’index et plantais mes deux doigts dans le trou du cul de ma salope. Celle-ci remua sa croupe en signe de contestation, trouvant que j’allais un peu loin. Malgré son opposition, je persistais jusqu’à ce que mes doigts eu été avalés par son petit trou. Pendant ce temps je voyais la main de notre voyeur, se glisser sous son ventre pour atteindre sa queue, afin sans doute, de la mettre dans une position où sa raideur lui permettrait de mieux apprécier l’état de tension de son membre. Je retirais mes doigts de son petit trou afin de m’occuper de son sexe. Ayant jugé que de sa place, ma main était une entrave à ce que le voyeur espérer voir, je lui fis signe de se déplacer. C’est fou comme dans cette situation, on peut expliquer par des gestes, ce que l’on souhaite faire comprendre. Et en plus cela fonctionne. Une fois notre homme en place, je commençais à titiller les petites lèvres de ma belle. Je ne fus pas long à deviner que celle-ci appréciait mes caresses, ses fesses trahissant le plaisir qu’elle prenait, par un début de chair de poule localisée dans un premier temps le long de sa raie. Au fur et à mesure que mes doigts devenaient  pressants, la chair de poule se répandit à toutes ses fesses. Puis ses jambes se tendirent, s’écartèrent pour mieux recevoir mes caresses, ses fesses se redressèrent, se tendant vers le ciel. Ciel qu’elle n’était pas loin d’atteindre et que je formulais avec ma bouche en direction du voyeur, en articulant chaque syllabe sans que le moindre son sorte de ma bouche « elle va jouir ». Et c’est dans une tension extrême de son corps, qu’un râle contenu me faisait comprendre qu’elle venait de jouir.

L’homme me fit signe en mimant avec ses doigts l’envie qu’il avait de toucher lui aussi au sexe de Maéva. Hélas je sais que Maéva n’est pas prête pour ce genre de relation, aussi c’est avec regret que je lui signifié que cela était impossible. J’ai demandé à Maéva de se retourné afin de lui caresser le sexe et d’offrir à notre homme, la vue intégrale de son sexe imberbe. Je repris mes caresses en espérant que Maéva se laisserait aller à un deuxième orgasme. Hélas  elle me fis comprendre qu’elle en avait assez, et de plus l’homme par ses geste m’informait avec regret qu’il devait partir.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib
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Samedi 18 septembre 6 18 /09 /Sep 11:15
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Pour cette troisième matinée d’exhibe, ils furent deux à venir regarder les formes et charmes de ma femme. Le premier contrairement à la majorité des voyeurs, s’est placé sur le coté, juste au sommet de la dune, à environ cinq mètres de nous. De sa position, il avait une vue plongeante sur les fesses de Maéva et de mes mains qui les lui caressaient, et plus. Comme à l’habitude, pendant que je m’occupe de Maéva, je jette un coup d’œil vers le voyeur pou voir sa réaction. J’aime et suis fier lorsque l’homme qui regarde ma femme, bande ou s’excite en se tripotant la bite. En plus s’il jouit, c’est la cerise sur le gâteau. Je me dis qu’elle doit être très bandante ma salope, pour les mettre tous dans cet état. Mon rêve serait qu’un jour elle accepte en autre la présence d’un voyeur juste à coté de nous, que celui-ci se branle et lui gicle au dessus de ses seins, et moi je me mettrai à les lui caresser pour répandre tout ce jus sur sa poitrine. Quand on rentrerait à la maison et que je me plaquerai contre elle, elle sentirait le foutre et je la traiterais de salope, de petite pute. En attendant, notre voyeur lui ne se tripotait pas. Je pensais même qu’il ne bandait pas. De là ou nous étions, je le voyais de face, et comme il été assis, les jambes repliées sur la poitrine, je ne percevais que le bout de sa queue, donc difficile pour voir son état d’excitation jusqu’au moment où celui-ci par des contractions du bassin, se mis à agiter sa bite. Voyant cela je lui fis signe de se déplacer en lui indiquant l’endroit, afin qu’il soit face à la raie du cul de ma petite salope. Une fois en place, j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le dos, afin qu’elle lui face découvrir son sexe imberbe. Les jambes bien écartées de ma salope dévoilant sa vulve et mes doigts qui écartaient ses petites lèvres ont eu pour effet d’augmenter la fréquence des contractions de notre voyeur et l’agitation de sa queue. Quand il s’est levé pour partir, il avait la bite à la verticale, presque plaqué sur le ventre. Sans doute n’a-t-il pas osé jouir devant nous, mes son désir de se finir était trop grand, alors retour à la maison. Sans doute un timide et en plus assez jeune, moins de trente ans.

C’est peu après son départ, qu’un deuxième voyeur est arrivé. Lui n’a pas hésitait à mettre sa serviette le regard dans le cul de ma femme. Comme ma femme était allongée sur le dos, je me suis occupé de sa fente. Comme ses cuisses étaient grandes ouvertes, ses grosses lèvres l’étaient aussi. Je n’ai doc eu qu’à lui écarter les petites lèvres, et voilà mes doigts qui courent sur la chair rosé de son antre. Ils courent jusqu’à lui mettre deux doigts dans son trou à bites. J’ai joué ainsi pendant un bon moment, pendant que notre voyeur s’astiquait le gourdin. Comme il était l’heure de rentrer, l’homme a assisté à l’habillage de ma femme. Ce jour là elle portait sa petite jupe en jean à volant et un corsage à gros trous qui ne cachait rien de ses seins. C’est la queue raide qu’il a remis son pantacourt. Comme ma femme et moi, il ne portait pas de slip ce qui se voyait évidemment.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : Exhibition sans vulgarité
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  • 09/01/1948
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  • amoureux sans limite de Maéva, je voudrais pouvoir regarder son corps 24h/24 - 7j/7 et savoir que d'autres puissent admirer ses charmes en l'exhibant devant des voyeurs.

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