Lundi 23 mai
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13:04
Par Maéva et voyeur34
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Dimanche 11 septembre
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07:38
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Pour cette première matinée de plage j’avais ajouté dans le sac de Maéva une robe dos nue
très ajourée, robe qu’elle portera chaque matin plage. Tellement ajourée que la porter pour sortir dans la rue pour aller à la voiture était impassable. Il ne restait plus que la
solution une tenue pour partir de notre lieu de résidence et un déshabillage sur le parking de la plage, pour enfiler celle-ci. D’un parking à la plage environ 500 mètres à
parcourir pour arriver sur la plage. Sur le chemin nous n’avons croisé personne. Cependant sur la dune, on voyait des silhouettes se déplacer, mais pas forcément dans la bonne
direction. Moi qui espérais croiser des hommes qui voyant la tenue de ma femme feraient demi-tour, rien. Je sentais l’affaire bien mal engagée.
Arrivés sur la plage direction les dunes, au même emplacement que l’année dernière. Déballage
des serviettes et j’entends ma femme me dire en voilà un. En effet nous n’avions pas fini notre installation que déjà un voyeur prenait son cartier. Tien me dis-je voilà une
connaissance. D’où était-il sorti, je ne sais pas. Toujours est-il qu’il tombait à point. Notre installation terminé Maéva s’est allongé sur le ventre. J’avais par rapport aux
autres années, installé les serviettes de façon à ce que celles-ci soient plus près des postes d’observations que pouvaient occuper les voyeurs.
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J’avais à peine commencé à caresser Maéva quand je remarquais un autre homme se tenant debout
situé un peu plus loin sur la dune. Il avait l’air de regarder un peu partout. Je me demandais si finalement ce n’était un autre voyeur. J’entrepris donc de caresser ma femme
comme de coutume, en lui caressant les fesses, laissant mes doigts trainer de-ci de-là. Tantôt dans sa raie, tantôt sur son sexe.
Je lui caressais le cul en écartant de mes mains ses fesses pour montrer au voyeur son petit
trou. Lui était allongé sur le coté, se tripotant la queue. Au fur et à mesure de ses caresses, sa bite a pris de l’ampleur et une raideur, qui m’indiquaient que ce que je lui
montrais de ma femme lui plaisait. Puis j’ai mouillé un doigt avec ma salive avant de le planter dans le cul de Maéva. Cette salope frétillait. Je sentais que mes caresses la
faisaient mouiller. Après avoir sorti le doigt de son cul je lui ai demandé de contracter son sexe et son petit trou pour que notre voyeur et la vision de son petit trou qui
palpite. Pendant qu’elle s’amusait à ce petit jeu, je me suis aperçu que l’homme qui se tenait debout non loin de nous, avait une érection, le sexe tendu à l’horizontale. J’ai
continuais à caresser le cul de ma femme, lui faisant ouvrir encore plus les cuisses pour que notre voyeur en voit encore plus. Mes doigts ont glissés entre les cuisses de ma
femme, caressant en premier ses petites lèvres humides, puis avec deux doigts j’ai écarté celles-ci pour loger un troisième doigt dans sa fente. J’ai poussé l’exploration jusqu’à
glisser mon doigt dans un vagin bien inondé de mouille. Mon doigt fourré dans son trou à bites, j’ai investi de l’autre main la raie de son cul pour lui masser le cul. Pendant ce
temps mon voyeur continuait à se masturber frénétiquement la queue. En retirant mes mains de sa chatte et de son cul, j’ai fait en sorte de bien écarter tout cela afin de montrer
les deux orifices de ma salope à notre voyeur. Celui-ci n’y pouvant plus à éjaculé sur le sable. Avant de partir celui-ci, ma fait un petit signe pour me dire
« super ».
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Par Maéva et voyeur34
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Lundi 12 septembre
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06:55
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Cela faisait à peine cinq minutes que notre voyeur était parti que je voyais arriver sur le
haut de la dune, un homme la queue raide à l’horizontale. Je me suis demandé si ce n’était pas celui que j’avais aperçu lors de la première exhibe, pendant que j’offrais au regard
de notre premier voyeur, les charmes de Maéva. Sans doute était-il resté en embuscade, regardant tout ce qui se passait. J’allais donc avoir droit pour la deuxième fois dans la
matinée, à la présence d’un nouvel homme, et donc d’une nouvelle exhibe. Celui-ci est venu s’installer au même endroit que le premier, sauf que sa position pour mater ma femme
était sans équivoque. Il s’est assis face à nous, en appui sur ses mains posées en arrière sur le sable, jambes bien écartées, nous montrant fièrement son sexe droit comme un pic
tendu vers le ciel. Lui aussi voulait exhiber sa queue afin que ma femme puisse la mater. J’ai donc entrepris ma femme. Caresse sur ses fesses, puis la main dans la raie du cul,
écartant celle-ci, dévoilant ainsi son œillet d’un brun tendre. Hélas cette exhibe n’a pas durée longtemps, car un troisième homme est arrivé, faisant fuire le deuxième, la queue
toujours aussi raide. Dommage, j’aurai préféré que les deux soient là pour assister à ce qui allait suivre.
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Vu de Maéva depuis l'emplacement du voyeur
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Par Maéva et voyeur34
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