Lundi 19 septembre
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Notre troisième voyeur de la matinée est déjà venu l’année dernière. Il avait maté ma femme
dans les dunes et sur la plage, où il ne s’était pas gêné de se masturber en regardant Maéva. Dommage que celui-ci ait précipité le départ de notre deuxième voyeur. Me voilà donc
encouragé à poursuivre ce que j’avais commencé par un démarrage sur les chapeaux de roue de notre voyeur, qui à peine allongé se saisit de sa queue pour se branler. C’est donc
avec cet esprit de plaisir que j’envisage de faire jouir ma femme devant ses yeux. Pour arriver à mes fins je commence par glisser ma main entre ses cuisses et m’applique à lui
prodiguer des caresses du bout des doigts sur ses petites lèvres, juste en dessous du clitoris. Les caresses ont à peine commencé que je perçois un frémissement chez Maéva La peau
de ses fesses laisse paraître un léger frissonnement se traduisant par une chair de poule encore discrète. Elle ne sait pas encore aperçu qu’un nouveau voyeur à pris place en
remplacement du premier. Je continue à la caresser pendant que pour l’homme ses premiers attouchements sur sa bite sont devenus une masturbation appuyée. Voir ainsi un homme se
masturber parce qu’il mate le cul et la raie de ma femme me fait mouiller. J’active donc les caresses sur ses petites lèvres, les écartent ouvrant ainsi sa fente et son trou à
bites, pendant que de l’autre main mes doigts écartent sa raie juste à l’endroit de son petit trou, l’ouvrant ainsi pour que mon voyeur puisse voir que l’ouverture du trou de son
cul laisse à penser qu’il est habitué à se faire bourrer. Voyant que ma salope prend un vif plaisir à se faire tripoter ainsi, je lui introduis un doigt dans le cul et l’autre
dans son trou à bites. Sa mouille chez ma salope. Je ressors le doigt de son sexe pour m’occuper de son clito pendant que mon autre doigt planté dans son cul lui masse l’anus.
J’augmente la cadence et sens le corps de ma salope se raidir légèrement. Là j’y vais franchement mes mains sont frénétiques et je sens son corps se tendre de plus en plus. Elle
explose, elle jouit, je continue le traitement que je lui applique, elle se tortille dans tous les sens n’en peut plus, me supplie d’arrêter. Notre voyeur a assisté à toute la
scène. Après s’être bien masturbé la bite, il repart en me faisant des petits signes de la main qui veulent dire super et merci pour l’exhibe.
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Par Maéva et voyeur34
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Mercredi 21 septembre
3
21
/09
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14:56
Comme toutes les fois où nous sommes allés à la plage le matin, ma femme porte sa robe qui ne
cache rien de sa nudité. Sur le chemin nous n’avons croisé personne, juste aperçu des hommes au loin. Tout change quand nous arrivons sur le haut de l’escalier qui mène à la plage.
Là un homme qui se promène en haut de la dune, croise notre chemin en passant juste derrière nous. A-t-il vu que ma femme est nue sous sa robe ? Sans doute, je ne vois pas
comment ne pas voir tout ce qu’elle montre, son cul, ses seins et sa chatte. Direction notre petit coin exhibe dans les dunes. Même pas le temps de s’installer, que déjà se pointe
un voyeur qui remonte du bord de l’eau en direction de notre repère, puis c’est le tour de deux autres qui arrive du haut de la dune. Ma femme bien qu’elle s’exhibe, n’aime pas
quand il y a trop de monde autour de nous. Nous nous installons. Le voyeur qui montait de la plage est un habitué, il était là la fois précédente et il vient nous voir depuis deux
ans. Les deux autres sont des inconnus. Je commence tranquillement à la caresser sur les cuisses puis sur les fesses. Je ne suis pas rassuré de tout ce monde autour de nous, surtout
que depuis cette année la police patrouille. Ne sentant pas trop la chose, je préfère arrêter mes caresses et attend que nos voyeur se décourage d’attendre, ce qui ne tarde pas à
arriver. Finalement il n’en reste plus qu’un, et celui qui reste n’est autre que celui qui vient depuis quelques temps mater ma femme. Enfin un peu plus serein, je reprends mes
caresses sur le cul de ma femme. Je peux lui écarter les fesses et dévoiler ainsi son petit trou du cul en les lui écartant, mettre mes doigts dans son cul pour le titiller, pendant
ce temps notre voyeur se tripote la queue, l’exhibe pour me montrer que la vue du cul de Maéva lui met la bite raide. Ce salaud profite un max de ce que ma femme lui montre et du
petit plus que je rajoute à son exhibe. Elle écarte au maximum ses cuisses pour qu’en plus de son cul, elle lui dévoile sa fente. Je demande à Maéva de jouer avec son petit trou en
lui imprimant des mouvements alternés de contraction. C’est tout son petit cul qui s’anime de contractions, ses fesses se rebondissent alternativement, son petit trou se resserre
(comme des clins d’œil) mais aussi sa chatte dont les mouvements procurés par la contraction, semblent appeler le voyeur ou vouloir avaler une bite. Tout cela m’a fortement excité
et mes doigts se sont mis à astiquer le con de Maéva et à envahir les trous à bites de ma petite salope. Notre voyeur à continué à se branler la queue sans pour cela éjaculer. Après
deux jours sans voyeurs, ceci était le bien venu
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Par Maéva et voyeur34
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Vendredi 30 septembre
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06:20
Comme depuis le début de cet été, ma femme se change sur le parking pour revêtir sa robe noire qui ne
cache pas grand-chose de sa nudité. Comme nous arrivons tôt sur la plage il n’y a pas grand mode, aussi il n’y a pas grand monde qui puisse s’apercevoir de la tenue de Maéva. Nous
nous installons sur le bord de la plage, perpendiculaire au rivage. Ainsi quand Maéva aura les cuisses écartées, les hommes qui passeront au bord de l’eau, auront une vision bien
nette de l’abricot et du cul de ma femme. En plus je pourrais attirer leur regard en caressant ma femme pour attiser leur curiosité. Finalement c’est un couple venu s’installer
non loin de nous qui a enclenché ma démarche exhibitionniste. Dès que je posais une main sur la cuisse de ma Maéva, la femme du couple se mettait à nous regarder. Finalement elle
à bien remarqué que dès qu’un homme pointait le bout de son nez, ma main se posait sur la jambe de ma femme, remontant le long de sa cuisse jusqu’à son entrecuisse. Ce
qu’elle ne voyait pas, c’est mon petit doigt qui venait chatouiller les petites lèvres de son sexe. A moins que ce ne soit sur ses fesses que ma main se balade. Là elle avait tout
le loisir de me regarder faire. Ce petit manège à durée tout le temps que nous avons passé à la plage. Certains mâles ont bien vue mon manège, surtout un qui est repassé trois
fois devant nous, regardant chaque fois le cul ou le sexe lisse de ma femme. Pour finir quand nous sommes repartis, ma femme a mis sa robe pleine de trous qui ne cache rien de son
anatomie. La femme qui ne cessait de nous mater a eu un regard qui en disait long du genre « de mieux en mieux, j’en crois pas mes yeux. S’exhiber ainsi quelle
salope, et son mari quel salaud montrer sa femme de cette façon ».
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Par Maéva et voyeur34
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