Exhibe à la plage

Lundi 20 septembre 1 20 /09 /Sep 08:46
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Cette quatrième exhibe n’était pas prémédité puisque non programmé par nos soins. Nous avions planté notre parasol en cette belle après-midi sans vent au milieu de gens déjà installé, dans une trouée qui nous permettait de ne pas être les uns contre les autres et qui malgré tout laissait encore de la place à une famille de venir s’installer. Nous étions là depuis un moment, ma femme était allongée sur le dos un bouquin à la main, quand je vis arriver se dirigeant vers nous, le voyeur de notre première exhibe. Sans doute nous avait-il repérés grâce à notre parasol. En effet c’est juste devant nous qu’il posa sa serviette, perpendiculairement, à cinq, six mètres. Pour nous faire comprendre qu’il était là pour mater ma femme, il se mit directement sur le flan, mettant ainsi en exhibe sa queue, afin que l’on puisse bien voir son excitation. Pour ne pas attirer l’attention des personnes qui étaient autour de nous, j’ai profitais de la séance d’étalement de produit solaire. Comme de coutume c’est après lavoir protégé tout le corps de ma Maéva, en insistant sur ses seins qui se sont mis à pointer, que je me suis occupé de son abricot. Sans retenue, j’ai bien enduit de lait ses grosses lèvres jusqu’à la raie de son cul pour terminer sur ses petites lèvres, en laissant trainer mes doigts, se servant de mon index pour appuyer sur sa chair jusqu’à ce celui-ci lui pénètre la fente. A cet instant  je jetais un coup d’œil vers notre voyeur, et ai pu constater que celui-ci bandait et que de sa main, discrètement se caressait la tige. A un moment celui-ci est parti se mouiller. Pendant qu’il était absent un couple qui était là, a levé le camp, libérant la place. Quand notre voyeur est remonté, voyant que l’espace laissé libre lui permettait d’être mieux positionné par rapport à nous, celui-ci à pris sa serviette, la secouée et positionnée de façon que son regard soit pile dans l’axe de la raie du cul de ma femme, qui entre temps s’était retournée. Toujours tournée vers nous la queue raide, je lui ai offert pendant que je la protégé avec le produit solaire, la vue de sa raie ouverte, de sa rondelle, de mon petit doigt qui titillait les petites lèvres  de sa vulve. Je lui ai même demandé de se mettre en chien de fusil et de tirer sur sa fesse pour que la raie de son cul soit bien ouverte et offrir sa rondelle brune au regard de notre homme. Les photos ci-dessus en sont un exemple très démonstratif. Ma salope s'est exécutée et a pris la pose un bon moment.  Puis ma femme s’est remise sur le dos pour écouter de la musique avec son MP3. Là Maéva s’est mise à bouger ses cuisses au rythme de la musique, ouvrant ses cuisses, les refermant, puis les ouvrant à nouveau, variant l’amplitude d’ouverture à l’extrême. Bref une vraie salope qui veut exciter un mec. Elle a réussi. Il bandait comme un cerf, et par la même occasion  on s’est fait remarquer par l’entourage. Il y avait certaines personnes qui ne cessaient de nous mater, nous et le voyeur. Bref nous ne sommes pas passés inaperçus. Comme il était l’heure de rentrer, quand nous nous sommes levés Maéva et moi pour ranger nos affaires, notre homme en à fait de même. Il est parti avant nous, mais nous n’étions pas loin derrière. Alors aujourd’hui, je me demande ce que les gens ont pu imaginer.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib
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Mardi 21 septembre 2 21 /09 /Sep 11:41
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Cette après-midi là, le soleil était au rendez-vous, mais le vent qui soufflait fort n’était pas pour me rassurer sur l’après-midi plage. Comme le veille le sable devait voler rendant le farniente désagréable. C’est donc sans conviction que nous nous sommes rendus à la plage. Dès notre arrivé, mes suppositions se sont avérées exactes. Le sable volé et il avait plus de monde dans les dunes que sur la plage. Donc le seul choix qui nous restait, était de faire comme les autres. La place habituelle où nous allons étant prise et les dunes bien occupées, nous n’avons trouvé refuge que sur le haut de celles-ci, presque sur le sentier où les gens passent. Nous n’étions pas à l’abri, mais le sable ne volait pas. Cela faisait plus d’une demi-heure, quand j’ai vu une vieille connaissance monter la dune non loin de nous. J’avais reconnu un voyeur rencontré sur la plage, il y a deux ans. A cette époque l’homme avait maté discrètement ma femme une après midi. En le voyant, j’ai tout de suite entrepris de caresser l’intérieur de sa cuisse, juste à la naissance de sa fourche. Dans un premier temps notre homme arrivé au haut de la dune a jeté un coup d’œil vers nous puis est parti à l’opposé de nous. Ne n’avouant pas vaincu, j’ai continué à la caresser, mais cette fois j’ai laissé mes doigts trainer sur sa fente, et oh surprise l’homme s’est retourné, regardant vers nous. Là, la vision de mes doigts sur le sexe de Maéva lui a fait faire demi-tour. Il est venu s’installer derrière deux touffes d’herbes folles à environ une huitaine de mètre de nous, a coupé les quelques brins qui pouvaient gêner sa vue et par la même occasion le cacher de nous. J’ai prévenu ma femme qu’un voyeur venait d’arriver et de fait que j’aimerai bien qu’elle écarte bien ses cuisses pour montrer son abricot tout lisse. Elle s’est exécutée en faisant en sorte de bien se mettre face à lui pour qu’il puisse bien la voir se faire tripoter. Notre homme si discret il y a deux ans, a commencé à se branler. J’ai fait de même en masturbant le joli petit con de ma femme. J’ai écarté les lèvres de son sexe pour lui montrer l’intérieur tout rose de ce fruit bien juteux. Je les ai ouvertes et mes doigts ont écarté sa chair de façon à ouvrir son trou à bite. Maéva avait le sexe ouvert et notre voyeur s’est mis à simuler le coït en donnant des coups de rein comme si sa queue allait et venait dans la chatte de ma salope. Quand ma femme lui a montré son cul et sa rondelle, j’ai mouillé mes doigts avec ma salive et je les ai enfilés dans le trou de son cul. L’homme se branlait de plus belle et j’ai vu sa crème blanche de son gland. Le salaud venait de jouir. Après s’être bien vidé les couilles notre homme à remballé et avant de partir, ma fait signe de la tête et des yeux ce que j’ai interprété comme : ouah la vache c’était beau quel cul, quelle chatte et quelle belle salope tu as. C’était super bon.

Enfin tout cela à bien duré une bonne heure. Comme toujours, j’avais la queue bien juteuse et l’envie de rentrer et me faire ma petite salope par tous les trous.

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : Exhibition sans vulgarité
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Mardi 21 septembre 2 21 /09 /Sep 18:15
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Ce matin, j’ai demandé à Maéva de me faire plaisir en mettant son rosebul, ce qu’elle a accepté sans la moindre opposition. C’est donc en mini jupe en jean au ras du cul et son bijou planté dans le cul, que ma petite salope est partie pour la plage, en sachant que nous irions dans les dunes et que muni de mon APN j’allais prendre des photos de son cul. C’est donc avec son bijou anal que ma femme s’est allongée sur le ventre pour m’offrir son cul ainsi paré, d’abord dans des poses sage, puis carrément racoleuses. J’avais déjà dans l’idée en prenant les premières photos que je dirais sages, qu’en les lui montrant, elles me serviraient à lui démontrer que l’on ne voyait rien quand elle le portait, en vue qu’un de ces jours, je lui propose de descendre avec au bord de l’eau. Mais çà ce sera pour l’année prochaine. Après avoir rangé le matériel, je me mis à caresser les fesses de Maéva, à admirer son cul ainsi paré. J’attendais le moment où elle me demanderait de lui ôter le bijou. Surpris il ne vint pas. C’est donc le rosebul dans le cul que je le lui caressais, quand j’ai vu arriver un homme sur le haut de la dune. A son passage à notre hauteur, j’avais la main sur les fesses de ma femme. Quand il a jeté un œil vers nous, ce n’était plus une main qui caressait ses fesses, mais les deux, ouvrant la raie de son cul, dévoilant ainsi son bijou. L’homme s’est arrêté cherchant un endroit où se mettre. A cet instant notre homme était devenu notre voyeur. Je lui fis signe de venir se poster sur la petite butte face à nous. C’est donc là qu’il prit place, à moins de huit mètres du cul de Maéva. Je repris mes caresses de son cul et de sa raie en faisant en sorte de la lui écarter afin de laisser voir son bijou figé dans le cul, puis de passer mes doigts sur sa fente, titillant, écartant ses lèvres. Notre voyeur avait la queue raide et sa main entretenait cette raideur par des attouchements. Il me fit des signes avec ses doigts pour savoir s’il pouvait se joindre à nous pour lui caresser la fente, puis avec sa langue me fit comprendre qu’il aimerait bien lui lécher l’abricot. Bien entendu, moi je n’aurais pas été contre, mais connaissant ma femme, je lui ai fait comprendre que ce n’était pas possible. A notre petit jeu, un autre voyeur s’était joint à nous. Maintenant ils étaient deux à se masturber. C’est en me redressant pour m’asseoir afin de  déposer un baiser sur sa rondelle, que je vis derrière une touffe d’herbe un troisième homme. Ils étaient maintenant trois, trois à mater le cul de ma femme. A ma demande Maéva se retourna, offrant à la vue de nos hôtes, son con tout lisse. Celle-ci ayant aperçu qu’il y avait d’autres voyeurs, me fit la remarque, que bientôt ce serait une partouse. Mes doigts le visitèrent en long et en large écartant ses lèvres pour glisser mes doigts à l’intérieur, montrer sa chair toute rose et luisante de mouille, bref faire monter la pression chez nos voyeurs. Et pour monter, elle est montée la pression. Le voyeur face à nous, a commencé par bien exhiber sa bite bien raide. On aurait dit qu’il avait un manche en bois plaqué contre son ventre. Le salaud bandait comme un âne. Puis après avoir bien mis en évidence sa queue, il a repris les va et vient de sa main sur son manche, pendant que moi, je m’étais aidé de ma main pour écarter encore plus les cuisses de ma femme et que mes doigts avaient investis sa fente gluante, jouant avec sa mouille, pénétrant son trou à bites de petite pute qu’elle est. Le voyeur qui nous faisait face n’en pouvant plus de cette chatte qui se faisait masturber, dans un dernier assaut de sa main sur sa bite, a éjaculé en me montrant bien les giclées de foutre qui sortaient de son gland. Il s’est secoué la queue jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme ait coulé. La suite je ne me souviens plus très bien, si nous sommes partis avant eux, ce que je crois, ou si c’est l’inverse. Pour les deux autres voyeurs, mon attention pour celui qui nous faisait face, était si grande, que je ne peux dire, si eux aussi on jouit.

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 Ces deux photos ont été réalisées un autre jour
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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib
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  • Maéva et voyeur34
  • Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
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  • 09/01/1948
  • salope sodomie amateur exhib photo
  • amoureux sans limite de Maéva, je voudrais pouvoir regarder son corps 24h/24 - 7j/7 et savoir que d'autres puissent admirer ses charmes en l'exhibant devant des voyeurs.

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