Samedi 5 juillet
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17:54
Souvenir d'une exhibe à la plage
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Nous étions sur une plage naturiste, elle, allongée sur le ventre, une jambe repliée pour dégager son
abricot tout lisse et le rendre encore plus visible à l'homme qui se trouvait à quelques mètres de nous. Dans cette position, son corps avait pivoté et je lui ai demandé de
cambrer ses reins. Son cul s'en est trouvé par le fait beaucoup plus exposé au regard de ce mâle, mais surtout plus provoquant. Posant une main sur sa fesse, elle l'a écartée pour
bien ouvrir sa raie et offrir au regard son œillet brun à l'orifice distendu par la pratique de la sodomie. Après avoir exposé sa rondelle béante et son joli cul, elle a glissé sa
main sur son ventre jusqu'à sa belle connasse et s'est masturbé le bouton en faisant tournoyer ses doigts, les glissant par moment le long de sa fente. Après cette belle
exhibition qui m'a beaucoup plu, je lui ai demandé de se mettre sur le dos et, sous prétexte de lui passer une protection solaire sur le corps, j'ai caressé sa figue, d'abord pour
étaler le produit, puis pour le plaisir de la masturber sous les yeux de 1' homme. Mes doigts n'ont pu résister à l'envie de l'enfouir et c'est avec une facilité déconcertante,
due à sa mouille, car la salope avait l'abricot tout juteux, que mes doigts ont fouillé profondément ce beau fruit. Hélas, la suite n'a pas confirmé le bon début. Ma femme a été
prise de panique lorsqu'elle a vu l'homme nous suivre. Après avoir fait diversion, celui-ci a laché prise. De fait, la suite s'en est trouvée passablement
compromise.
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Par Maéva et voyeur34
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Dimanche 13 juillet
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16:32
Et s'il y avait un lendemain
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C’est notre dernière matinée à la plage. Le vent frais du nord souffle en
rafale. Ma femme me demande où est ce que je vais. Vu le vent, je lui dis dans les dunes. Elle ne semble pas convaincue de la nécessité, et pense plutôt qu’une fois encore, je
souhaite la voir s’exhiber. Elle me suit, et nous voilà à la place que nous avons eue pendant toutes ces vacances. Nous voilà installés, et commençons à faire bronzette, elle sur
le ventre et moi allongé sur mon flan gauche à la regarder. Ma main droite ne peut rester une seconde sans le contact de sa peau. Je lui caresse le dos pendant que nous discutons.
Au bout d’un moment, j’aperçois un homme sur le chemin qui serpente en haut de la dune, qui se dirige vers nous. Je le vois passer juste au dessus de nous et nous dépasser. Arrivé
sur le promontoire, juste en face de nous, je le vois installer sa serviette et se positionner en voyeur le visage tourné vers nous. Je signale à Maéva que nous avons la visite
d’un voyeur et lui demande si je peux la caresser. Elle me donne son autorisation tout en fixant les limites. L’homme a gardé ses lunettes de soleil pour nous regarder. Je
commence donc, sous prétexte la séance de protection solaire, à enduire ma femme d’une huile de bronzage pailletée sur tout son corps, c'est-à-dire, ces fesses, la raie du cul et
une partie de son abricot, le tout en écartant le plus possible ses cuisses et ses fesses. Pendant que ma main se glisse dans sa raie, je regarde l’homme. Celui-ci ne tarde pas à
enlever ses lunettes et je reconnais notre très sympathique voyeur. J’ai donc recommencé le même manège que la fois précédente. Par signe, je lui fais comprendre qu’il peut se
masturber s’il veut, ce qu’il fera jusqu’au moment où, toujours par signe, je lui fais comprendre qu’en se plaçant juste en dessous d’où il est, il sera juste dans l’axe du sexe
de ma femme. C’est ce qu’il fait en se réinstallant à environ cinq mètre de nous. Discrètement je sors mon bout de papier sur lequel sont indiquées les coordonnées du blog et lui
montre en lui faisant signe qu’il le prenne après notre départ. Je l’enfouis dans le sable en laissant dépasser un coin de la missive. Après avoir bien montré le cul de ma femme
et son petit trou largement visité par mes doigts, je demande à Maéva de se retourner. La voici sur le dos et mes doigts dans sa fente. Je la caresse, l’écarte pour montrer
l’intérieur. Notre voyeur comme lors de l’exhibe précédente, me fait des signes qui en disent long sur le plaisir qu’il prend à regarder ce que je lui offre de Maéva. Vient le
moment où je demande à ma petite salope de faire semblant d’enlever du sable en s’essuyant l’intérieur de l’entrecuisse, en relevant la jambe. Elle s’exécute mais ne soulève
qu’une jambe. Petite explication pour lui dire de soulever les deux, en s’essuyant, les mains partant de sa fente vers l’extérieur afin que son abricot s’ouvre. C’est ce qu’elle
fait. Le résultat, les yeux ronds et la langue pendante de notre voyeur, furent les signes révélateurs de ce qu’il venait de voir et d’apprécier.
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Discrètement je faisais savoir à notre voyeur que nous allions redescendre sur la plage. Pour
ramasser sa serviette, Maéva s'est mise à quatre patte, le cul tourné vers notre voyeur. J'en ai profité pour lui passer mes doigts sur sa fente et dans la raie du cul. Nous avons
essayé de poser nos serviettes au bord de l’eau, mais le vent était si fort, que tout s’envolait. Avec si peu de regret, du moins pour ma part, nous sommes remontés dans les dunes
reprendre notre place. La première chose que j’ai vérifiée, ma missive avait disparue mais notre voyeur était parti. Cela faisait à peine cinq minutes que nous étions à nouveau
allongés sur nos serviettes, quand je vis celui-ci réapparaître. Il se positionna comme avant notre départ. Maéva était allongé sur le ventre. Celui-ci me fit voir le papier qu’il
avait récupéré et me fit comprendre qu’à mon tour je devais en faire autant, puis l’enfoui dans le sable, un coin dépassant de celui-ci. Il reprit sa serviette et disparu. Je ne
savais pas comment récupérer ce bout de papier. L’idée me vint de dire à Maéva que je voulais vérifier ce que notre voyeur pouvait voir d’où il était. Je me déplaçais jusqu’aux
positions où celui-ci s’était posté. Problème Maéva était allongé sur le dos et me regardait. Pas possible de récupérer sans qu’elle s’en aperçoive. Je lui demande de se mettre
sur le ventre et de me montrer son cul, toujours dans le but de vérifier la vue. Elle se retourne et me tend son cul comme j’aurai aimé la voir faire avec notre voyeur. Dans cette
position, une vraie salope s’offre à mes yeux. Je n’ai pas oublié que je dois récupérer le papier. Ma main plonge dans le sable, s’en saisit et l’enfouit dans la poche de mon
short. Ce jour là il y a eu quatre voyeurs qui se sont installés pour regarder Maéva se faire tripoter. A chaque fois je leur faisais signe de partir. Je ne pense pas que Maéva
soit prête à voir quatre hommes matant sa fente.
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Une fois chez nous, je me suis empressé de lire le message du voyeur.
Celui-ci était inscrit au dos du papier que je lui avais laissé. Mauvais, je pensais, il n’a pas internet. Son message disait ceci
Je recherche couple exhibe pour passer un moment à trois. Si
« Non », je peux seulement regarder. Avec son numéro de portable.
Depuis j’ai eu un contact avec lui, hélas il n’a pas internet.
Maéva a vu notre voyeur quand celui-ci est parti. Elle l’a trouvé
plutôt pas mal avec un beau cul et m'a demandé s'il avait une grosse bite, car ma t-elle dit, c'était la seule chose qu'elle n'avait pa vue. Moi je lui ai expliqué tous ces faits et
gestes qu’il m’a fait pendant nos exhibes. Elle ne ma croyait pas, mais je pense qu’elle est plutôt flattée.
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Par Maéva et voyeur34
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Mardi 26 août
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26
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16:51
Désirs quand tu nous tiens
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Voici seulement dix minutes que nous sommes dans les
dunes, allongés sur nos serviettes, que déjà un voyeur vient s’installer à quelques mètres de nous, le regard enfoui entre les cuisses largement écartées de Maéva. Positionné de
trois quarts notre voyeur offre aux regards de ma femme, une anatomie au volume qui laisse présager des proportions hors du commun. Mes mains ne peuvent résister plus longtemps à
venir caresser le haut des cuisses de Maéva, pour enfin glisser vers sa fente. Mes doigts effleurent ses lèvres pendant que mon regard est tourné vers notre voyeur. Celui semble
d’emblai apprécier ce qu’il se passe sous ses yeux et sa main se saisie de sa queue pour se caresser. Voyant que notre voyeur n’était pas indifférent à ce qu’il voyait, je
susurrais à l’oreille de ma femme ce que j’aimerais bien la voir faire. En premier se relever en s’appuyant sur ses coudes et regarder notre voyeur pendant que mes doigts
caresseraient son sexe. Dans un deuxième temps, qu’une de ses mains vienne se joindre à la mienne pour offrir ce spectacle à notre voyeur. Sa protester, ma femme se mis sur les
coudes, sans toutefois regarder l’homme. Je repris mes caresses sur son abricot, l’homme les siennes sur sa bite. Je glissais ses quelques mots à ma femme « écarte bien les
cuisses salope qu’il puisse bien voir ». Sans plus attendre je vis l’entrecuisse de ma femme s’ouvrir largement, offrant son sexe aux regards du mâle et encore plus à mes
doigts qui d’une caresse à peine appuyée, maintenant lui astiquaient franchement le bouton. Je n’eu pas à lui demander de regarder notre voyeur. Son excitation lui avait enlevé
toute inhibition. Son regard franchement tourné vers notre voyeur, je senti son sexe venir chercher mes doigts et les siens se mêler aux miens. Je me demandais si cette frénésie
qui s’était emparée de Maéva était due à mes caresses ou au spectacle que lui offrait notre voyeur. Un sexe énorme, une tige d’au moins plus de vingt centimètre de long et en
diamètre cinq ou six centimètres. Un vrai pieu, tendu à l’extrême. Mes doigts quittèrent le sexe de ma femme pendant qu’elle s’allongeait sur le dos, sans que ses doigts n’aient
quitté son bouton. Tellement absorbé par cette vision, je n’avais pas vu que deux autres voyeurs s’étaient installés la queue à la main, se branlant eux aussi. J’ai vu ma femme se
masturber l’abricot jusqu’au moment où ses jambes se sont tendues et que des gloussements sont sortis de sa bouche. J’ai eu juste le temps de dire à Maéva que notre voyeur était
au bord de l’explosion et qu’elle regarde, pour voir sa queue expulser à plusieurs reprises des jets de sperme dans le sable. C’est alors que ma femme a vu les deux autres hommes.
Elle m’a juste traité de salaud. Après avoir repris ses esprits, elle a souhaité partir. Je lui ai juste demandé de se mettre à quatre pattes pour rassembler nos affaires et
profiter de la pose pour bien tendre son cul et bien écarter les cuisses pour que nos voyeurs aient une dernière vue de ses charmes. Et voilà Maéva le cul bien tendu jambes
écartées, le buste plus bas que les fesses, écartant de ce fait sa raie et offrant son œillet aux regards des mâles, cherchant je ne sais quoi au fond de son sac. A cette vue, je
vois que les voyeurs ont repris en main leur instrument. Ma main se pose sur le dos de ma femme et je ne peux résister au plaisir de glisser mes doigts vers sa raie. Je passe
à l’intérieur sans m’arrêter pour arriver à son sexe. Complètement inondé de mouille bien gluante, mes doigts plongent dans son puit d’amour, en ressorte pour caresser ses lèvres
toutes gonflées. Je remonte mes doigts gluants de sa mouille sur son œillet, et d’une légère pression enfonce deux doigts dans son cul jusqu’à la deuxième phalange, en imprimant
un mouvement de rotation, puis écarte mes deux doigts pour lui ouvrir encore plus son petit trou. Elle me dit « salaud arrête » et se relève. Nous repartons,
laissant nos voyeurs en quête d’une autre proie. Tout cela doit être bon à vivre, mais pour l’instant n’est qu’un fantasme, en attendant les beaux jours et peut-être devenir
réalité. Le plaisir est là où l’on souhaite le trouver. Alors pourquoi pas dans les dunes l’été prochain.
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Par Maéva et voyeur34
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