Mercredi 25 juin
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16:44
Un cul bien tendue pour attirer sa
proie
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Enfin le soleil, et avec lui l’envie de plage. On ressort les tenues légères. Aujourd’hui, jupe en jean
très courte, en dessous ! Rien que ma nudité. Cela plait à mon mari de me savoir nue comme un ver et pour seul refuge de cette nudité, un minuscule bout de tissus. C’est
ainsi que nous prenons la direction de la plage, me faisant caresser le minou par la brise légère. Vue la longueur de la jupe, elle n’a pas de mal, le tissus s’arrêtant là où
commence le lobe des fesses. C’est dans cette tenue qu’accroupie à quatre patte, j’aide mon marie à installer les serviettes sur le sable. Belle vue garanti sur mes fesses et ma
chatte, pour les spectateurs se trouvant derrière moi. Nous voici installés, et comme toujours je laisse à mon mari le soin de me protéger du soleil. Comme j’aime sentir la
chaleur du soleil sur mon abricot et que mon mari aime me voir les jambes écartées, je m’exécute pour son plaisir et le mien. Je sais que lui c’est pour voir ma fente au soleil,
mais aussi pour me la faire mater par des mâles voyeurs.
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Maéva était allongée sur le coté, le cul tendu, une jambe repliée, m’offrant une vue splendide sur sa
raie, lorsque je vis deux hommes s’installer devant nous légèrement à notre droite. Visiblement ils ne faisaient pas parti de ces gens qui viennent se coller à vous, même s’il y a
de la place tout autour. Cependant je remarquais quelques regards en direction de ma femme. J’indiquais à Maéva que nous étions en présence de deux apprentis voyeurs. Comme
convenu, celle-ci se mis sur le dos. Je me servis de la séance de protection solaire pour les appâter. Je commençais par enduire les seins en faisant durer le plaisir, puis le
ventre. Je jetais de temps en temps des coups d’œil dans leur direction pour constater qu’eux aussi faisait de même. Je continuais par les jambes, en démarrant de la cheville pour
remonter vers la cuisse. Enfin je mis sur mes doigts une bonne dose de lait solaire, que je déposais sur son pubis, juste au dessus de la naissance des grandes lèvres. Je
commençais par étaler sur son pubis le lait avant que mes doigts ne plongent entre ses cuisses. A cet instant je demandais à Maéva d’écarter encore plus celles-ci. Ils purent voir
mes doigts se promener sur les lèvres grandes et petites. Voir ce fruit tout lisse, doux comme la peau d’un abricot, se faire tripoter sous leurs yeux.
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Comme mon mari m’avait expliquée, allongée sur le dos, j‘ai relevé la tête et me suis mis en appui sur
les coudes, afin de jeter un regard dans leur direction sans pour cela leur indiquer clairement que je les surveillais. Au premier regard qu’ils jetèrent dans ma direction,
j’ouvris encore plus mes cuisses, ne laissant aucun doute sur mon intention de m’exhiber. M’étant à nouveau allongée, je remontais mes jambes pour prendre appui sur la plante des
pieds. Pendant ce changement de position, mes cuisses étaient restées ouvertes. Je restais un moment dans cette position, jusqu’au moment où mon mari me demanda de faire le
papillon. Le ballet commençait ou je devais ouvrir, puis refermer mes cuisses. Quand je dis fermées, il faut entendre ouvertes et quand je dis ouvertes, c’est franchement ouverte,
au maximum de ce que je puisse les ouvrir. Dans cette position bien écartée, que je me mis à faire des rotations du bassin, balançant de droite à gauche et inversement, mon
abricot bien à la vue de ces messieurs. Enfin comme prévu par mon mari, je fis semblant de m’essuyer le sexe avec les mains, comme si du sable se trouvait collé sur la peau.
Mes mains essuyant celui-ci de haut en bas avec un mouvement partant vers l’extérieur, ce qui avait pour effet d’entrouvrir mes lèvres. Je fis remarquer à mon mari que j’avais
chaud. Ce qui signifiait, que j’étais chaude, que mon abricot était bien juteux. Le soleil sur ma chatte plus l’exhibe, avaient déclenché chez moi ce plaisir que j’avais hâte de
partager avec mon mari.
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Maéva venait de se retourner pour se mettre sur le ventre, m’offrant une belle vue sur ses fesses, quand
je vis un homme poser sa serviette à trois ou quatre mètres de nous. Vu la position de celle-ci, il ne faisait aucun doute que le regard de l’homme était en plein dans l’axe
de ses cuisses. Nous avions affaire à un voyeur. Et bien il allait voir. Notre homme allongé sur le ventre, le visage tourné vers nous, le regard plongé entre les cuisses de
Maéva, avait une vue imprenable sur son cul et son abricot. Même sur le ventre, j’aime que ma petite salope écarte bien les cuisses pour tout montrer. Bref il voulait voir,
j’allais lui montrer. Je demandais à Maéva si elle souhaitait que je la protège en espérant une réponse positive. C’est avec soulagement que j’entendis le oui. Je commençais par
enduire les épaules, pour descendre vers les reins en évitant la naissance des fesses. Je repris du bas des jambes pour remonter sur le haut des cuisses. Enfin je déposais des
noix de lait sur son cul. Ma main droite se posa sur sa fesse gauche pour commencer à étaler le lait. Je regardais dans la direction de l’homme tout en continuant mon massage de
celle-ci. Je faisais durer le plaisir de la caresse et celui du voyeur. A plusieurs reprises mes doigts s’aventurèrent dans la raie du cul pour en sortir et à l’occasion ouvrir
celle-ci, afin de montrer un œillet légèrement entrouvert, preuve d’une occupation régulière du lieu. J’utilisais le même manège pour la deuxième. Enfin je déposais sur le
bout de mes doigts un peu de produit et plongeais ceux-ci entre les cuisses, pour enduire son abricot. Quand je regardais dans la direction de l’homme, je vis que celui-ci s’était
tourné vers nous, montrant son sexe déjà bien gonflé d’excitation. Après m’être protégé à mon tour, j’ai fait semblant d’essuyer mes mains sur les fesses de Maéva, mais aussi
entre ses cuisses…..
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Au retour de la plage, dans la voiture, j’ai pu constater que le fruit de ma douce était bien juteux.
Quelle belle petite salope d’amour elle peut-être parfois pour moi.
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Par Maéva et voyeur34
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