Pour cette dernière matinée de plage, nous sommes allés dans les dunes, en espérant voir un
voyeur venir mater Maéva. Avec sa jupe qui lui arrivait au ras des fesses, je me disais que si nous venions à croiser un homme sur le chemin ou le parking, celui-ci pourrait être
tenté de nous suivre jusqu’à la plage, et pourquoi pas venir se mettre juste à côté de nous pour nous mater. Hélas personne ne nous avait suivis. Alors une fois installé dans les
dunes, je me suis mis à caresser ma femme et plus particulièrement son cul, vu qu’elle était allongée sur le ventre. Même qu’il n’y ait personne, je ne peux m’empêcher de caresser
ses fesses et glisser ma main dans la raie de son cul, c’est viscéral. Mes mains sont attirées par sa peau, ses formes et sa chair. J’espérais voir quelqu’un passer et voir
celui-ci s’arrêter et j’ai eu raison. Un homme est venu s’installer non loin de nous, sur un des chemins en haut de la dune qui sert de passage aux nombreux voyeurs pour
l’explorer du regard et dénicher d’éventuels exhibitionnistes comme nous. Lorsque j’avais installé nos serviettes, je m’étais arrangé pour les positionner de telle façon à les
orienter pour que du chemin le plus proche, on puisse bien mater l’entrecuisse de ma femme. L’homme était à moins de cinq mètres de nous. Comme je n’avais pas cessé de caresser ma
femme pendant son installation, il a tout de suite commencé à se caresser la queue, qui n’a pas tardée à se mettre en érection. Il bandait bien dur, ce qui m’a encouragé à bien
écarter la raie du cul de Maéva pour qu’il puisse bien voir sa rondelle et son petit trou entrouvert. Je lui caresse aussi la chatte et comme elle a les jambes bien écartées, je
lui écarte les petites lèvres en m’aidant de mes doigts, les lui écartant de façon à ouvrir son antre de salope, son trou à bites. L’homme se branle plus qu’il ne se caresse. De
mes deux mains j’écarte ses fesses, la rondelle tendue, le trou du cul entrouvert, je plonge le bout de ma langue à l’intérieur en dardant le bout de celle-ci et en infligeant une
pression sur celui-ci, pour encore plus m’enfoncer en elle avant que je ne face tournoyer ma langue dans son cul. Je sais que Maéva aime ça. Quand ma langue quitte son cul, je
vois notre voyeur très afféré sur sa queue. Alors je demande à Maéva de se retourner, ce qu’elle fait, montrant ainsi son abricot tout lisse à notre voyeur. Cette fois ma main ne
quittera pas la chatte de ma femme. Je commence à lui astiquer le bouton. Comme notre voyeur apprécie la chose, le rythme de sa main sur sa queue s’accélère. Je réponds à son
plaisir en augmentant la cadence de mes caresses sur le clito et les lèvres de ma femme. Le moteur commence à s’emballer, l’homme accélère encore plus la cadence et ainsi de suite
nous nous auto motivons, jusqu’au moment ou je le vois prendre un mouchoir de sa main libre, quelque va et vient de l’autre main sur sa queue, puis il la bloque à hauteur des
couilles, la hampe tendue, le gland gonflé, et je vois jaillir son foutre, en plusieurs jets puissants. Il a vidé ses couilles dans le mouchoir, s’est essuyé le bout de la queue,
pris ses affaires, ma fait signe merci et à disparu.
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