Samedi 12 juillet
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Quatrième exhibe pour un voyeur Sympathique
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Pour la quatrième fois, nous nous retrouvons dans les dunes. Il est à peine dix heures, la température
est fraiche pour la saison, mais ici c’est supportable car à l’abri du vent. Ma femme se doute que nous allons être la proie des voyeurs et que je ne suis pas mécontent. Elle me
dit que finalement, on je vais à la plage que pour cela. C’est un peu vrai, car l’après midi où il y a beaucoup de monde, je regarde autour pour voir s’il n’y a pas un male qui
mate du coté de l’entrejambe de Maéva. Si c’est le cas, je n’arrête pas de caresser ma douce et de laisser trainer les mains dans des endroits très intimes. Pour revenir à cette
matinée, nous sommes installés au même endroit que lors de nos premières exhibes. Comme d’habitude je caresse ma femme. Ma main droite se promène sur l’arrière d’une cuisse,
remonte sur la fesse où elle s’attarde puis fini dans le creux de ses reins pour redescendre sur l’autre fesses et enfin la cuisse. Ces caresses font parties de ce que
j’appellerai l’appât et ce matin là comme les autres, il a bien fonctionné. L’homme qui venait de passer sur le sentier qui domine notre refuge, nous a regardés. A peine nous
a-t-il dépassés que ma main remonte sur les fesses de Maéva et plonge dans sa raie. A cet instant mon regard ne quitte plus l’homme. Je sais qu’il va se retourner, ce qu’il
fait. Mon regard ne le quitte pas, pendant que ma main amplifie l’ampleur des caresses dans la raie du cul de ma femme. Mon comportement lui fait comprendre que je cherche
quelqu’un comme lui. Un voyeur pour nous mater. L’homme s’arrête. Il déballe sa serviette et s’installe à cinq mètre de nous. D’où il est il voit ça, le cul de Maéva comme sur
la photo ( j’ai vérifié ).
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Notre voyeur est installé perpendiculairement à nous, en appui sur un coude et son flan droit. Moi je
continu à caresser ma femme. Je vois la main gauche de notre voyeur se saisir de sa queue et commencer à se la caresser. Mes mains sont toujours sur les fesses de Maéva.
J’arrête un court instant pour glisser à l’oreille de ma femme que nous avons un voyeur et qu’elle veuille bien écarter encore plus ses cuisses, ce qu’elle fait. Ainsi écarté,
son abricot est plus visible par l’homme qui d’un geste de sa main gauche pouce levé, me signifie super. Je reprends mes caresses et décide d’écarter les fesses de Maéva, afin
que notre voyeur puisse bien voir son petit trou. Pendant cette opération je le regarde. L’expression de son visage ne me laisse aucun doute il veut dire « j’apprécie ce
que tu me montres, c’est beau, ça m’excite ». Sa main ne caresse plus son sexe. Il se branle. Mes doigts ont plongés à plusieurs reprises dans la raie de Maéva. Sa raie
écartée, mes doigts investissant son petit trou. Lors de ces attouchements, la raie ouverte, montrant son petit trou, je me suis servi de deux doigts pour écarter ses petites
lèvres et ouvrir son deuxième puits d’amour. Je voyais notre voyeur les yeux écarquillés, la bouche en « O » et le pouce levé. Ma femme voulant se retourner, j’ai fait
signe à notre voyeur qu’il devait cesser de se masturber. J’avais peur que cela déplaise ma femme de voir un homme se branler parce qu’il mate son cul. Notre voyeur s’est
sagement exécuté en me faisant comprendre qu’il avait compris.
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Maéva allongé sur le dos, à bien ouvert ses cuisses, montrant bien son abricot.
Moi je n’ai pas perdu de temps pour poser ma main dessus et glisser mes doigts à l’intérieur. Je lui ai écarté les petites lèvres. Mes doigts ont fait pression sur son
bouton pour mettre en évidence son clito. Chaque fois j’ai eu droit de notre voyeur, à des signes me faisant comprendre qu’il appréciait ce qu’il voyait, son doigt n’a cessé
d’être levé, sa bouche en « O », ses yeux écarquillés et sa langue pendante. En plus physiquement, il n’était pas mal. Je trouvais que son physique correspondait aux
critères de Maéva. Nous n’allions pas tarder à partir. Comme je trouvais notre voyeur très sympathique, je lui faisais des signes pour lui expliquer que l’après midi nous étions
sur la plage vers les quinze heures. D’un geste de la tête, il me fit signe qu’il avait compris. Les jours qui suivirent nous ne le revîmes pas. Je regrettais de ne pas
avoir pu lui donner les coordonnées de mon blog, pour pouvoir communiquer. Depuis le jour de cette exhibe, je gardais sur moi un petit bout de papier avec les coordonnées
du blog, dans le cas où nous le reverrions. Petite
parenthèse, ce jour là au tout début de notre exhibe devant notre voyeur, je vis arriver notre cycliste qui s’installa à trois mètre de nous. Ma femme ne pouvait le voir
car il était dissimulé à sa vue, par des touffes d’herbes folles. Comme il était toujours habillé, je lui ai fait signe de partir, ce qu’il fit. Il a continuait à roder sans
toutefois trop s’approcher.
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Par Maéva et voyeur34
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Publié dans : Exhibe coquine
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Samedi 12 juillet
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17:04
Trois orgasmes sinon rien
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Ce matin pas de vent, cela va être dur de négocier notre petit coin de dune. C’est en effet ce qui se passe. Maéva souhaite
s’allonger sur le bord de la plage. Je lui demande juste un petit peu, pour le plaisir de passer mes mains sur son corps. Elle cède.
Nous voila installé, toujours au même endroit, juste en
haut de la dune, seul le sentier qui serpente et les caches dans les herbes folles qu’occupent les voyeurs, surplombe notre promontoire d’à peine un mètre. Il est tôt et pas
de voyeur à l’horizon. Ma main droite caresse les fesses de ma douce, tourne et retourne sur ses courbes, plonge dans sa raie. Mes doigts viennent titiller ses petites lèvres, se
glissent dans son puits d’amour en ressortent pour courir à nouveau sur les lèvres en les effleurant, s’arrête sur son bouton. Ma main imprime à mes doigts un mouvement de
rotation sur son clito, puis repart en sens inverse, vers son puits d’amour, et ainsi de suite. Ce massage ne tarde pas à faire effet. Les fesses de Maéva son parcourues par des
frissons lui donnant la chair de poule. Voyant cela, je pose ma main gauche entre ses deux fesses et commence à lui caresser son œillet du majeur, pendant que ma main droite
s’occupe de sa fente. La chair de poule se fait de plus en plus visible. Mon majeur plonge dans son cul. Je le sens bien au chaud dans son petit trou et commence à le faire
tournoyer à l’intérieur de son anus. La conjugaison du massage de son petit trou et de son abricot ne tarde pas à montrer ses effets. Je sens son corps se raidir et devine son
râle contenue. Après son premier orgasme, j’allège la pression de mes doigts sur sa fente et mon majeur se fige dans son cul. Le léger contact de mes doigts sur son con ne tarde
pas à lui déclencher le deuxième orgasme. Mes doigts ont repris leur activité avec plus de pression pour l’envoyer au septième ciel. Je lui procurais un troisième orgasme avec les
mêmes ingrédients. Repu, elle me demandait de cesser. Mes mains reprirent le chemin de ses fesses pour les caresser et y déposer un baisé d’amour, pour la remercier de ses
jouissances. Quoi de plus beau que de voir sa femme jouir, fusse même avec un autre homme. C’est alors que je vis comme sorti du sable une tête, juste en face de nous. Je me suis
demandé depuis quand ce voyeur était là et je me le demande encore.
A-t-il tout vu ?
Je ne sais.
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Nous sommes restés encore une vingtaine de minutes où j’ai caressé le cul et la fente de ma femme devant
l’homme qui regardait, prétextant qu’un voyeur venait de s’installer. Sachant notre départ proche, j’ai fait signe au voyeur (à l’insu de Maéva), que nous allions descendre au
bord de l’eau. Celui-ci à si mal manœuvré, que ma femme a vu son manège et de fait n’a pas voulu continuer à se montrer une fois au bord de l’eau.
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Par Maéva et voyeur34
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Publié dans : Exhibe coquine
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Samedi 12 juillet
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16:30
Un cycliste égaré entre mont de vénus et col de ...
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Toujours se sacré vent qui nous oblige à nous réfugier dans les dunes pour mon plus grand plaisir, car
je sais que là, je vais pouvoir caresser Maéva et que je ne serai pas en reste pour glisser mes doigts dans sa fente et la raie du cul, avec je l’espère la complicité d’un voyeur.
Aujourd’hui c’est elle qui a choisi sa tenue, histoire de me faire plaisir. Très sobre, mini paréo à la taille et corsage crochet à gros trous et bien sur chaine à chaque
cheville, à la taille et pour couronner le tout, bijoux aux seins. Tout pour me plaire. Sur le chemin qui serpente du parking aux dunes nous ne croisons personne, les seules
personnes rencontrées l’ont été sur le parking. Arrivé au pied des dunes, nous apercevons quelques hommes qui se promènent dans celles-ci et un cycliste s’affairant à attacher son
vélo à une balustrade. Nous passons à quelques mètres de lui. Il nous regarde, pour être plus juste je devrais dire qu’il regarde ma femme. Ses seins ne sont pas cachés et il peu
voir que sous le paréo il n’y a pas de maillot pour cacher le sexe de Maéva.
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Nous entamons la monté de la dune puis la descente de l’escalier et nous nous dirigeons vers le même
endroit des dunes où nous avions fait notre première exhibe. Maéva sait que j’ai pris mon APN. A peine arrivé à destination, je signifie à ma femme que je souhaiterais prendre une
photo dans cette tenue. Nos rabanes à peine étalées pour poser nos affaire, et me voici prenant mes deux premiers clichés. Je remarque alors que notre cycliste se promène en haut
des dunes, dans notre direction. Je soupçonne celui-ci de venir voir ce qui se passe de notre coté. Nous finissons de nous installer quand celui-ci passe juste au dessus d’où nous
sommes. J’attends que notre cycliste s’éloigne pour demander à ma belle de procéder à la suite de la séance photo interrompue lors de notre première exhibe. Je la fais mettre sur
le coté, une jambe relevée, afin de bien ouvrir sa fourche et prendre son abricot. C’est une pose qui manque à mon album.
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Enfin je lui demande se mettre sur le ventre histoire de prendre pour la énième fois ses fesses. Le
temps d’expliquer ce que je souhaite comme poses à ma petite salope et me voici en position pour mitrailler de mon objectif le petit cul de Maéva. Pendant tout ce temps je n’ai
pas fait attention à ce qui pouvait se passer autour de nous. Première photo dans une pose plutôt gentille. Pour la deuxième je lui demande d’écarter de la main sa fesse, afin
d’ouvrir la raie du cul et ainsi dévoiler son petit trou. De cet adage, qui peut le moins peut le plus, je glisse dans l’oreille de ma douce, que je souhaite glisser ma
langue dans son œillet, histoire de le lui ouvrir pour la photo. Après sa négation, je réussis à la convaincre qu’il n’y a pas de voyeur, chose que je vérifie en jetant un regard
circulaire. Elle accepte avec réticence. Me voilà plantant ma langue dans son petit trou que je sens résister. Je renouvelle la manœuvre pensant que ma deuxième attaque aura plus
de succès. Voyant que je ne parviendrais pas plus à lui ouvrir le cul ( normalement ma langue rentre comme dans du beurre et son petit trou reste bien béant ), je me décide de
prendre la photo. D’une main ma femme écarte une fesse et la mienne l’aide à écarter la deuxième. Fin de séance ; je range mon APN et me retourne pour prendre place au coté
de ma douce.
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Oh surprise, une tête dépasse de derrière la dune, juste au dessus de nous. Cinq mètre nous sépare. Je
comprends alors qu’il a tout vu. Notre voyeur n’est autre que le cycliste. L’effet de surprise passé, mes regards vers lui en même temps que les caresses entre les cuisses de
Maéva, lui ont fait bien comprendre que j’étais consentant à ce qui regarde. J’ai donc commencé à caresser ma femme. Son abricot, glissant mes doigts dans sa fente, écartant ses
petites lèvres pour lui montrer l’intérieur du fruit. Faisant courir mes doigts sur ses petites lèvres, glissant le majeur à l’intérieur de celle-ci jusqu’à son orifice vaginal.
Son cul a subit le même traitement. Ma main dans ses fesses, laissant trainer l’auriculaire dans sa raie, quand ce n’était pas le majeur qui fouillait le trou de son cul. Fesse
écarté des deux mains pour mieux voir son œillet et mon doigt qui pointait à l’intérieur. Voilà le spectacle que nous offrîmes à notre voyeur (toujours en tenue de cycliste) et
qui dura plus de deux heures. Nous le revîmes le lendemain et une autre fois encore, en attente d’une autre exhibe, que je lui refusais en le lui faisant comprendre. Sur une plage
naturiste, on peut tolérer les textiles une fois, mais après ….
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Par Maéva et voyeur34
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Publié dans : Exhibe coquine
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