Dimanche 13 juillet
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Enchainée sous sa mini jupe en jean
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C’est avec sa mini jupe en jean qui lui arrive au ras des fesses et son string fait de dentelle, chaines
et perle que Maéva a fait le tour des marchands sur le marché de Sérignan.
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Mais là ou j’en ai vu le plus c’est avec sa robe en dentelle verte (avec son jupon), lorsqu’à l’étal du
marchand de légume, elle s’est penchée pour choisir et attraper les courgettes qui se trouvaient dans les cagettes les plus éloignées. Quel spectacle que son cul offert à ma vue.
C’était divin, les deux lobes de ses fesses et la raie de son cul ainsi offerts à mes yeux et sans doute à d’autres qui trainaient en quête d’un plaisir visuel.
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Par Maéva et voyeur34
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Publié dans : Exhibe en ville
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Dimanche 13 juillet
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16:32
Et s'il y avait un lendemain
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C’est notre dernière matinée à la plage. Le vent frais du nord souffle en
rafale. Ma femme me demande où est ce que je vais. Vu le vent, je lui dis dans les dunes. Elle ne semble pas convaincue de la nécessité, et pense plutôt qu’une fois encore, je
souhaite la voir s’exhiber. Elle me suit, et nous voilà à la place que nous avons eue pendant toutes ces vacances. Nous voilà installés, et commençons à faire bronzette, elle sur
le ventre et moi allongé sur mon flan gauche à la regarder. Ma main droite ne peut rester une seconde sans le contact de sa peau. Je lui caresse le dos pendant que nous discutons.
Au bout d’un moment, j’aperçois un homme sur le chemin qui serpente en haut de la dune, qui se dirige vers nous. Je le vois passer juste au dessus de nous et nous dépasser. Arrivé
sur le promontoire, juste en face de nous, je le vois installer sa serviette et se positionner en voyeur le visage tourné vers nous. Je signale à Maéva que nous avons la visite
d’un voyeur et lui demande si je peux la caresser. Elle me donne son autorisation tout en fixant les limites. L’homme a gardé ses lunettes de soleil pour nous regarder. Je
commence donc, sous prétexte la séance de protection solaire, à enduire ma femme d’une huile de bronzage pailletée sur tout son corps, c'est-à-dire, ces fesses, la raie du cul et
une partie de son abricot, le tout en écartant le plus possible ses cuisses et ses fesses. Pendant que ma main se glisse dans sa raie, je regarde l’homme. Celui-ci ne tarde pas à
enlever ses lunettes et je reconnais notre très sympathique voyeur. J’ai donc recommencé le même manège que la fois précédente. Par signe, je lui fais comprendre qu’il peut se
masturber s’il veut, ce qu’il fera jusqu’au moment où, toujours par signe, je lui fais comprendre qu’en se plaçant juste en dessous d’où il est, il sera juste dans l’axe du sexe
de ma femme. C’est ce qu’il fait en se réinstallant à environ cinq mètre de nous. Discrètement je sors mon bout de papier sur lequel sont indiquées les coordonnées du blog et lui
montre en lui faisant signe qu’il le prenne après notre départ. Je l’enfouis dans le sable en laissant dépasser un coin de la missive. Après avoir bien montré le cul de ma femme
et son petit trou largement visité par mes doigts, je demande à Maéva de se retourner. La voici sur le dos et mes doigts dans sa fente. Je la caresse, l’écarte pour montrer
l’intérieur. Notre voyeur comme lors de l’exhibe précédente, me fait des signes qui en disent long sur le plaisir qu’il prend à regarder ce que je lui offre de Maéva. Vient le
moment où je demande à ma petite salope de faire semblant d’enlever du sable en s’essuyant l’intérieur de l’entrecuisse, en relevant la jambe. Elle s’exécute mais ne soulève
qu’une jambe. Petite explication pour lui dire de soulever les deux, en s’essuyant, les mains partant de sa fente vers l’extérieur afin que son abricot s’ouvre. C’est ce qu’elle
fait. Le résultat, les yeux ronds et la langue pendante de notre voyeur, furent les signes révélateurs de ce qu’il venait de voir et d’apprécier.
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Discrètement je faisais savoir à notre voyeur que nous allions redescendre sur la plage. Pour
ramasser sa serviette, Maéva s'est mise à quatre patte, le cul tourné vers notre voyeur. J'en ai profité pour lui passer mes doigts sur sa fente et dans la raie du cul. Nous avons
essayé de poser nos serviettes au bord de l’eau, mais le vent était si fort, que tout s’envolait. Avec si peu de regret, du moins pour ma part, nous sommes remontés dans les dunes
reprendre notre place. La première chose que j’ai vérifiée, ma missive avait disparue mais notre voyeur était parti. Cela faisait à peine cinq minutes que nous étions à nouveau
allongés sur nos serviettes, quand je vis celui-ci réapparaître. Il se positionna comme avant notre départ. Maéva était allongé sur le ventre. Celui-ci me fit voir le papier qu’il
avait récupéré et me fit comprendre qu’à mon tour je devais en faire autant, puis l’enfoui dans le sable, un coin dépassant de celui-ci. Il reprit sa serviette et disparu. Je ne
savais pas comment récupérer ce bout de papier. L’idée me vint de dire à Maéva que je voulais vérifier ce que notre voyeur pouvait voir d’où il était. Je me déplaçais jusqu’aux
positions où celui-ci s’était posté. Problème Maéva était allongé sur le dos et me regardait. Pas possible de récupérer sans qu’elle s’en aperçoive. Je lui demande de se mettre
sur le ventre et de me montrer son cul, toujours dans le but de vérifier la vue. Elle se retourne et me tend son cul comme j’aurai aimé la voir faire avec notre voyeur. Dans cette
position, une vraie salope s’offre à mes yeux. Je n’ai pas oublié que je dois récupérer le papier. Ma main plonge dans le sable, s’en saisit et l’enfouit dans la poche de mon
short. Ce jour là il y a eu quatre voyeurs qui se sont installés pour regarder Maéva se faire tripoter. A chaque fois je leur faisais signe de partir. Je ne pense pas que Maéva
soit prête à voir quatre hommes matant sa fente.
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Une fois chez nous, je me suis empressé de lire le message du voyeur.
Celui-ci était inscrit au dos du papier que je lui avais laissé. Mauvais, je pensais, il n’a pas internet. Son message disait ceci
Je recherche couple exhibe pour passer un moment à trois. Si
« Non », je peux seulement regarder. Avec son numéro de portable.
Depuis j’ai eu un contact avec lui, hélas il n’a pas internet.
Maéva a vu notre voyeur quand celui-ci est parti. Elle l’a trouvé
plutôt pas mal avec un beau cul et m'a demandé s'il avait une grosse bite, car ma t-elle dit, c'était la seule chose qu'elle n'avait pa vue. Moi je lui ai expliqué tous ces faits et
gestes qu’il m’a fait pendant nos exhibes. Elle ne ma croyait pas, mais je pense qu’elle est plutôt flattée.
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Par Maéva et voyeur34
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Publié dans : Exhibe à la plage
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Par Maéva et voyeur34
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