Maéva étant désireuse de s'acheter une petite robe, nous avons passé plusieurs matinées dans les magasins, pour trouver un modèle qui nous plût C'est après de longues recherches que je suis tombé sur une petite merveille, une robe noire, courte et évasée, au tissu fluide et léger. Je demandai à Maéva, qui ne paraissait pas enchantée, de l'essayer. Je savais qu'elle était nue sous son corsage et ne portait qu'un string rouge, transparent, sous son short. Quand elle ressortit de la cabine d'essayage, mon sexe se mit à bander. Sous la robe, on devinait le mini-slip rouge de ma Divine mais le plus affolant c'étaient ses seins, dont le tissu diaphane ne savait cacher les aréoles ni les tétons. Dans le magasin, nous n'étions pas seuls ; un homme, dont l'épouse était elle aussi en essayage, portait fréquemment son regard sur Maéva. Il la regardait de la tête aux pieds, avec un air ravi. Ma femme s'étant aperçue de la transparence de la robe, ne voulait pas l'acheter. Après quelques pourparlers, je réussis à la convaincre. Et c'est ainsi que j'ai pu admirer Maéva dans les rues et les boutiques, nue ou presque... ou bien pire ! Le tissu était tellement léger que, si l'on était assez près d'elle, on pouvait distinguer les poils de son pubis, qui sont pourtant assez clairsemés.

Ce fut un plaisir fou de voir ma femme s'exhibant ainsi. Les derniers jours de vacances, Maéva a mis un corsage en coton, fait au crochet. Celui-ci est tellement ajouré, et ses trous sont si grands, que ses tétons avaient bien du mal à trouver une cachette pour se dissimuler. Je pris un vif plaisir à les voir se dresser sous la brise marine. Sur la plage, j'aime que Maéva se tienne juste au bord de l'eau, les jambes écartées, et qu'elle fasse bronzer son abricot sans l'ombre d'un poil. Les passants peuvent à loisir mater son joli petit con tout nu. Pour ma part, je multiplie les allées et venues de la plage à l'eau pour faire comme les autres : regarder l'entrecuisse de ma femme.