Pour cette neuvième exhibe, Maéva à son habitude lorsqu’elle arrive à la plage, se pose sur sa serviette, le cul au soleil, les jambes bien écartées afin que sa chatte prenne le soleil. Ok, mais quand même, moi je me dis que finalement elle aime montrer son cul et en plus en étant sur le ventre les jambes bien écartées, elle montre aussi sa chatte. Donc le voyeur qui mate, il a la totale. Je pense que ma petite salope aime çà, montrer son cul et le reste en même temps. Donc c’est dans cette position que notre voyeur a vu mes mains sur le cul de ma femme. Moi voyant que notre hôte prenait place j’ai continué à lui caresser le cul, sauf que mes mains ne couraient plus uniquement sur ses joues, elles avaient aussi investies la raie de son cul. L’homme me fit signe à plusieurs reprises avec ses doigts, s’il pouvait lui aussi venir mettre les siens. Je lui faisais signe qu’hélas je ne pouvais répondre positivement à sa demande, en lui faisant comprendre que ma femme n’était pas consentante. Pour alléger sa déception, je lui fis signe de changer de place, en lui indiquant qu’il verrait mieux s’il ne restait pas sur le côté. Il prit sa serviette et se mis comme je lui avais fait comprendre, face à nous. Pendant que mes mains caressaient le cul et la fente de Maéva, lui s’astiquait la queue. J’ai demandé à ma femme de se retourner afin de montrer entièrement son abricot imberbe. Jambes bien écartées, elle s’est offerte au voyeur qui continuait à se masturber la tige. Moi pendant ce temps mes doigts caressaient sa fente, écartant ses petites lèvres, puis pénétrant le trou à bites de ma salope. Après ce petit traitement, j’ai demandé à Maéva de se remettre sur le ventre. Une fois qu’elle fût dans cette position, je lui demandais si je pouvais déposer un baisé sur sa rondelle. Ayant eu son autorisation mais mains écartèrent dans un premier temps ses fesses pour dévoiler son œillet. Par mon regard appuyé en direction du voyeur, j’essayais de lui faire comprendre qu’il ne devait pas rater ce qui allait venir. Je me penchais vers son petit trou, y déposait mes lèvres, puis je pointais le bout de  ma langue bien tendu et pénétrais son petit trou. Quand je ressortis de son cul, son œillet est resté ouvert, tellement le traitement que je lui imposais toutes les nuits avec mes quatre doigts enfoncés jusqu’à la deuxième phalange, avaient assoupli sa rondelle. Quand j’ai regardé notre voyeur, celui-ci semblait désolé. Les doigts des mains mouillées de son foutre, le salaud avait éjaculé dans ses mains. Je compris sa désolation de ne pas avoir pu résister à la jouissance que mon acte et le trou du cul béant de Maéva. Peu de temps après, celui-ci s’est habillé puis nous a quitté en me faisant comprendre qu’il avait fortement apprécié notre exhibe.