Pour notre première matinée de plage, j’avais l’intention de demander à ma femme, de passer
celle-ci dans les dunes. Cela faisait trop longtemps que j’attendais cet instant et Maéva le compris, quand sur le chemin menant à la plage j’en fis la demande. Comme à
l’habitude, nous étions presque les premiers sur la plage. Nous avions croisé trois, quatre personnes seulement sur le chemin. Notre petit coin de dunes était libre. Nous nous
posâmes et comme le temps passait sans la moindre apparition d’un voyeur. Multipliant les caresses sur ses fesses pour attirer l’attention du moindre mâle qui pourrait nous
apercevoir. J’expliquais à Maéva ce que j’attendais d’elle lorsque homme se poserait pour mater. C’est vers les dix heures qu’enfin celui-ci apparu, la quarantaine, lunette de
soleil et petite moustache. Remontant la dune il est venu installer sa serviette sur le même niveau que nous à seulement cinq mètres le regard juste dans l’axe des cuisses de ma
belle. A cet instant ma petite salope était sur le ventre, de ce fait n’ayant pas vu le voyeur arriver, je l’informais de sa présence et d’appliquer les conseils que je lui avais
donnés.
C’est ainsi que je vis ma petite femme jeter un regard par-dessus son épaule dans la
direction de notre voyeur, lui signifiant ainsi qu’elle savait qu’il était là. Puis après avoir repris sa lecture, elle prit une pose de trois-quarts sur le flan, une jambe bien
remontée, mettant ainsi bien en évidence son cul et sa raie. Elle l’ouvrit largement pour dévoiler sa rondelle, en tirant la main à plat sur sa cuisse, écartant ainsi ses fesses
et offrant son petit trou à la vue de notre voyeur. Pendant tout ce temps, la main de celui-ci ne cessa de caresser sa bite, fier d’exhiber sa queue bien raide. Maéva au
bout s’étant remise sur le ventre les jambes bien écartées, je me mis à explorer sa raie et sa fente, caressant ses fesses, puis écartant de mes mains ses fesses pour bien montrer
son œillet brun au voyeur, puis ma main dans sa raie je descendais jusqu’à son sexe, lui caressant tour à tour les grandes lèvres, titillant son clito et ses petites lèvres. A un
moment, je mouillais mon index et le lui enfonçais dans le cul, en imprimant un mouvement de rotation, une fois celui-ci dans son anus. Maéva aime cette caresse, qu’elle me
demande souvent quand je lui masturbe sa fente o quand je la lui lèche. Voyant tout cela, notre voyeur s’est le ver pour venir nous voir. Je lui ai fait signe que non. Celui-ci
est retourné à sa place. Je savais que Maéva n’était pas prête pour ce genre de relation. Pour que notre voyeur ne soit pas trop frustré, j’ai demandé à ma petite salope de se
mettre sur le dos afin de montrer son con à notre homme, en écartant bien les cuisses. Constatant à mon goût, que ma petite salope pouvait faire mieux, je posais ma main sur
l’intérieur de ses cuisses et poussait de façon à les lui ouvrir, ce qu’elle fit sans résistance, offrant de façon provocante son abricot imberbe au regard du voyeur. Je profitais
de son bijou sexuel bien ouvert, pour glisser mes doigts à l’intérieur et d’écarter ses petites lèvres, dévoilant ainsi la chair rosée de ce fruit déjà bien juteux. Mes doigts
s’enfoncèrent aisément à l’intérieur, sans la moindre résistance, aidé par le jus gluant et onctueux de sa mouille. L’homme s’est bien branlé avant de nous quitter.
Une fois rentré à la maison et à peine déshabillés, je me suis collé contre
le cul de ma femme, mes mains sur ses seins. Elle, elle a tendu ses fesses, je me suis glissé dans sa chatte toute juteuse. Trop excité, je nefut pas long avant que je
jouisse. Je la couchais alors sur le lit et lui masturbais la fente en la traitant comme elle aime, de petite salope, de petite pute. Elle ne fut elle mon plus à jouir. Je
lui ai donné plusieurs orgasmes clitoridiens en lui caressant son sexe accompagné de mots crus comme elle aime entendre.
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