Arrivé sur la plage vers 15H00 en cette belle après-midi, nous trouvâmes un petit coin pour
poser nos serviettes. Tout autour de nous des couples installés, dont le plus proche se trouvait perpendiculaire à nous, à nos pieds et sur la droite de Maéva et moi à sa gauche.
L’espace qui nous séparait n’excédé pas cinq mètres. A un moment un homme est arrivé qui après les avoir salué, s’est allongé à côté d’eux et par la même occasion le plus proche
de nous, ce qui avait réduit l’espace à quatre mètres entre lui et Maéva. Lors de son installation j’avais remarqué que de temps en temps il
lorgnait les fesses de ma femme, qui à l’instant présent, se trouvait allongé sur le ventre. Une fois notre homme installé, je me suis dit que je pourrais profiter de l’étalage de
crème solaire sur le corps de ma femme pour attirer son attention et s’il se mettait à mater, poursuivre un peu plus loin mes attouchements, jusqu’à doigter l’abricot de ma petite
salope. Peine perdue, aucune réaction à mes mains qui s’occupe de ma femme. Monsieur est allongé sur le ventre et discute avec l’autre homme, pendant que madame a l’air de
s’ennuyer. Puisque c’est ainsi je m’allonge moi aussi, et prends le baladeur pour écouter de la musique. Comme j’aime toucher le corps de Maéva, mes mains ne restent pas souvent
sages. C’est ainsi que fréquemment, je caresse son ventre ou ses cuisses, voir ses fesses. A un moment je me suis assis pour mettre de la crème solaire à ma femme, celle-ci
s’étant mise sur le dos. Notre voisin semblait être toujours aussi désintéressé. A un moment j’ai regardé autour de moi avec un mouvement d’aller retour. Si dans le mouvement
d’aller je n’ai remarqué l’homme, au retour, son regard vers nous m’a accroché. En détaillant un peu plus cet homme, je remarquais qu’assis, il nous faisait face, jambes écartées
et que sa main trainait dans son entrecuisse. Je ne fus pas long à comprendre au mouvement de sa main qu’il se tripotait la queue. Pour répondre et confirmer mes impressions, je
me mis à caresser moi aussi l’entrecuisse de Maéva. Il n’y avait plus de doute, l’homme répondait aux caresses que je faisais à ma femme par celles de sa queue. Dans un premier
temps je pensais qu’il était seul, mais en fait il était avec une femme qui devait être la sienne. A un moment, je dirai sa femme, a discuté avec lui, puis est parti vers la
paillote de la plage. Moi pendant ce temps je continuais à tripoter Maéva, sa chatte en laissant trainer le petit doigt dans sa fente, son cul où mes doigts se perdaient dans sa
raie, tirant avec le plat de la main sur une fesse pour la lui écarter et montrer son petit trou. L’homme a repris ses attouchements dès le départ de sa femme et quand celle –ci
est revenue après un long moment, j’ai vu notre voyeur prendre du sable pour en recouvrir du mouillé, par ce que je pense être du sperme. Oui notre voyeur avait joui pendant
l’absence de sa femme, bien que celui-ci se trouvait entouré par d’autres couples. Moi de mon coté, j’ai continué à caresser ma femme, et la surprise est venue lorsqu’avec Maéva
nous avons décidé d’aller nous baigner. C’est à cet instant en m’asseyant, que j’ai vu l’homme qui se trouvait juste à coté de nous, celui qui était à quatre mètres de nous, se
retourner et mettre en évidence sa bite toute raide. Le salaud n’avait rien perdu de mon manège, et moi trop affairé avec le voyeur, je n’avais pas vu que j’en avais un tout près.
Nous sommes allés nous baigner et quand nous sommes remontés sa bite était redevenue normale. Nous sommes restés un petit moment avant de plier bagages. Pendant tout ce temps,
notre voisin n’a cessé de nous regarder et moi de tripoter Maéva.
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