Pour cette troisième matinée d’exhibe, ils furent deux à venir regarder les formes et charmes
de ma femme. Le premier contrairement à la majorité des voyeurs, s’est placé sur le coté, juste au sommet de la dune, à environ cinq mètres de nous. De sa position, il avait une
vue plongeante sur les fesses de Maéva et de mes mains qui les lui caressaient, et plus. Comme à l’habitude, pendant que je m’occupe de Maéva, je jette un coup d’œil vers le
voyeur pou voir sa réaction. J’aime et suis fier lorsque l’homme qui regarde ma femme, bande ou s’excite en se tripotant la bite. En plus s’il jouit, c’est la cerise sur le
gâteau. Je me dis qu’elle doit être très bandante ma salope, pour les mettre tous dans cet état. Mon rêve serait qu’un jour elle accepte en autre la présence d’un voyeur juste à
coté de nous, que celui-ci se branle et lui gicle au dessus de ses seins, et moi je me mettrai à les lui caresser pour répandre tout ce jus sur sa poitrine. Quand on rentrerait à
la maison et que je me plaquerai contre elle, elle sentirait le foutre et je la traiterais de salope, de petite pute. En attendant, notre voyeur lui ne se tripotait pas. Je
pensais même qu’il ne bandait pas. De là ou nous étions, je le voyais de face, et comme il été assis, les jambes repliées sur la poitrine, je ne percevais que le bout de sa queue,
donc difficile pour voir son état d’excitation jusqu’au moment où celui-ci par des contractions du bassin, se mis à agiter sa bite. Voyant cela je lui fis signe de se déplacer en
lui indiquant l’endroit, afin qu’il soit face à la raie du cul de ma petite salope. Une fois en place, j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le dos, afin qu’elle lui face
découvrir son sexe imberbe. Les jambes bien écartées de ma salope dévoilant sa vulve et mes doigts qui écartaient ses petites lèvres ont eu pour effet d’augmenter la fréquence des
contractions de notre voyeur et l’agitation de sa queue. Quand il s’est levé pour partir, il avait la bite à la verticale, presque plaqué sur le ventre. Sans doute n’a-t-il pas
osé jouir devant nous, mes son désir de se finir était trop grand, alors retour à la maison. Sans doute un timide et en plus assez jeune, moins de trente ans.
C’est peu après son départ, qu’un deuxième voyeur est arrivé. Lui n’a pas hésitait à mettre
sa serviette le regard dans le cul de ma femme. Comme ma femme était allongée sur le dos, je me suis occupé de sa fente. Comme ses cuisses étaient grandes ouvertes, ses grosses
lèvres l’étaient aussi. Je n’ai doc eu qu’à lui écarter les petites lèvres, et voilà mes doigts qui courent sur la chair rosé de son antre. Ils courent jusqu’à lui mettre deux
doigts dans son trou à bites. J’ai joué ainsi pendant un bon moment, pendant que notre voyeur s’astiquait le gourdin. Comme il était l’heure de rentrer, l’homme a assisté à
l’habillage de ma femme. Ce jour là elle portait sa petite jupe en jean à volant et un corsage à gros trous qui ne cachait rien de ses seins. C’est la queue raide qu’il a remis
son pantacourt. Comme ma femme et moi, il ne portait pas de slip ce qui se voyait évidemment.
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