Les petites vacances d’avril se sont terminées agréablement. Deux jours de plage juste à la
fin. Ce fut l’occasion de reprendre contact avec la mer et retrouver certaines habitudes. Dans le peu de monde qui se trouve là, y aurait-il un voyeur qui traine son envie de
mater. Le premier jour nenni, point de cette espèce, pourtant la température était estivale. Deuxième jour, nous étions installés depuis un certain temps, lorsque je vis arriver
un couple sans que rien ne le distingue des autres couples qui venaient se faire bronzer, sauf qu’au moment où l’homme a retiré sont short, celui-ci ne portait pas de slip. Là je
me suis dit, en voilà un qui fait comme moi, et si sa femme faisait comme la mienne. Alors j’ai regardé, et quand elle s’est penchée en avant pour ramasser ou poser quelque chose
sur le sable, sous sa mini jupe point de culotte.
C’était bon je tenais nos voyeurs. Comme de coutume pour attirer l’œil du voyeur, rien de tel
qu’une petite séance de produit solaire qui se termine toujours par mes doigts dans la raie du cul ou entre ses cuisses, trainant comme une caresse, sur les lèvres de son con. Et
ça marche, le mec s’est mis à caresser le cul de sa femme, pendant que mes doigts trainaient sur les petites lèvres de l’abricot tout lisse de ma salope qui écartait largement ses
cuisses. Je devrais dire plutôt ouvrait ses cuisses, jambes repliées, comme un papillon qui écarte ses ailes. Quelle belle salope quand elle veut. Si au début j’étais timide dans
mes attouchements, (normal en début de saison), j’ai vite repris mes marques et à la fin j’avais la paume de la main sur son mon de vénus et mes doigts sur sa fente, et Maéva ,
les jambes bien écartées montrant sa chatte déjà bien juteuse. Ma femme s’étant mise sur le ventre, c’est son cul qui fut la proie de mes mains. Mes doigts ont fouillé sa raie,
écartant les fesses pour mettre au jour son petit trou. Pendant tout ce temps l’homme de ce couple n’a cessé de mater ma salope. Nous avons donné des idées à un autre couple.
Quand je me suis mis à mon tour sur le ventre, la femme du couple qui se trouvait juste devant nous, avait une de ses jambes qui était remontée et posée sur les fesses de son
mari, offrant à mes yeux le spectacle de sa raie. L’homme a remarqué que je regardais sa femme, et sans doute lui a-t-il dit quelque chose. Celle-ci comme par hasard a passé une
main sur ses fesses, de façon à ouvrir la raie de son cul et dévoiler ainsi son œillet tout brun. Puis j’ai eu droit à son sexe qui était aussi lisse que celui de ma femme. Elle
me l’a montré de façon plus discrète que Maéva le fait. Son mari n’a cessé de parlementer avant qu’elle ose, dans une position assise, en appui sur les mains derrière, elle
s’amusait avec ses pieds à balayer le sable d’un mouvement alternatif, découvrant ainsi son minou à mes yeux. Parfois elle arrêtait ce va et vient dans une position ouverte, me
laissant admirer ainsi sa jolie fente. Mais tout à une fin, alors vivement cet été que l’on recommence.
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