Ce jour là nous étions descendus à la ville faire quelques emplettes. Pour cela Maéva s’était habillé avec une robe noire assez courte et des leggings. Ce qu’il faut que je précise, c’est que cette robe comporte dans sa partie inférieure, un motif fait de petits ajours façon dentelle de calais, laissant voir ses fesses si elle n’a rien en dessous. Dès notre retour, après avoir rangé les courses, ma femme s’est mise à l’aise, en enlevant legging et string. J’étais aux anges admirant ses fesses, sa raie et son mont de vénus tout lisse. Le contraste de sa peau pas encore bronzée et le noir de la robe ne passait pas inaperçu. Ce jour là, comme tous les mois, le livreur de surgelé devait venir nous apporter notre commande. Je me disais que ma femme allait se changer un peu avant l’arrivé de notre homme, mais plus l’instant approchait et plus le doute m’envahissait. Quoi ! elle n’allait pas recevoir le livreur dans cette tenue. C’était impossible qu’il ne s’aperçoive qu’elle le recevait le cul à l’air. C’est pourtant ce qui est arrivé. Connaissant les habitudes de livraison, je m’étais absenté pour soulager ma vessie me disant qu’après il serait trop tard et risquais de rater l’évènement. Hélas ce fut plus qu’une petite envie et comme si le hasard s’en mêlait, j’entendis la sonnette retentir. Ma femme est allée ouvrir offrant au premier regard du livreur, son mon de vénus et sans doute le précédent pour aller dans la cuisine, son cul et sa raie. Je n’ai pu assister a cet instant et j’imagine le regard furtif du livreur, qui peut-être est reparti, la queue tendue dans son pantalon.