Lundi 8 octobre
1
08
/10
/Oct
07:33
|
|
Pour cette nouvelle sortie au Leclerc de Béziers, Maéva avait mis sa mini jupe en jean. Une
mini que j’apprécie, car elle se termine par un volant qui s’évase vers l’extérieur. De ce fait le moindre mouvement de son torse en avant se traduit par la découverte de ses
fesses. Il faut dire qu’en temps normal, la jupe arrive déjà au ras du cul. C’est un réel plaisir pour moi de la savoir sans rien en dessous et quand je marche derrière elle,
d’entrevoir au fil de ses pas, la naissance de son cul. Si le vent s’en mêle être sur de voir la raie de son cul. Pour parfaire la tenue, un petit haut qui laisse deviner des
tétons dressés voulant traverser le tissu. Je comprends aisément le regard de tous ces mâles qui se portent sur ma femme, j’en suis fier. Je suis sur qu’ils pensent plein de
choses, du genre je me la ferais bien cette salope. Bref, dans le lot de tous ces regards, il y en a eu un qui n’a cessé de nous suivre dans tous les rayons du magasin. Des qu’on
changeait de rayon, celui-ci pointait le bout de son nez pour mater ma femme. Moi j’attendais de trouver un rayon où il n’y ai personne pour passer la main au cul de Maéva en
espérant que notre voyeur s’aperçoive de la chose. On a enfin trouvait, j’ai mis la main au cul de Maéva et je lui ai demandé qu’elle se penche pour me montrer son cul, chose
faite après qu’elle ait pris un peu de distance, en faisant semblant de prendre un article tout en bas de la gondole, pour que je puisse bien mater. J’ai bien vu son cul et son
sexe tout lisse. Un bref coup d’œil derrière moi m’a confirmé la présence de notre homme. Nous sommes partis vers un autre rayon et nous n’avons plus vu le monsieur, sans doute
satisfait de ce qu’il venait de voir. Ma femme m’a refait son cinéma dans un autre rayon, mais il n’y avait que moi pour voir, sauf s’il y avait des caméras de surveillance. Quand
nous sommes sortis pour aller à notre voiture et mettre les courses dans le coffre, je me suis arrangé pour qu’elle soit obligée de se pencher pour la voiture, histoire d’être
surprise le cul à l’air par un utilisateur du parking. Finalement c’est en allant ramener le chariot au point de stockage, sans doute la brise relevant un peu le volant (d’où
j’étais je ne pouvais voir ses fesses car de face par rapport à moi), qu’une voiture passant d’abord derrière elle, est venue se garer juste à côté de moi. Quand les gens sont
sortis du véhicule, la dame a dit à son mari « J’ai jamais vu çà, y en a qui non pas froid aux yeux ». L’homme avait un air radieux, sans doute de ce qu’il venait de
voir. Il était encore présent, quand Maéva est montée dans la voiture. Je leur ai fait un grand sourire puis nous sommes partis.
|
|
|
|
|
|
|
Par Maéva et voyeur34
-
-
Publié dans : Exhibe en ville
3
Mercredi 3 octobre
3
03
/10
/Oct
07:33
Cela faisait à peine cinq minutes que le voyeur précédent était parti, qu’un deuxième est
venu s’installer en lieu et place du précédent. Il s’est positionné assis sur le bord du promontoire situé à moins de cinq mètres de nous, jambes écartées pour que ma femme puisse
bien voir sa queue. J’ai donc repris mon manège, caressant le sexe de Maéva, écartant les petites lèvres de son abricot pour montrer la chair toute rose de son fruit juteux. Son
sexe faisait de petits clapotis sous mes caresses, signe de la présence d’un jus bien onctueux. Il faut dire que cela faisait moins de dix minutes qu’elle venait de jouir. Quel
plaisir de sentir sous ses doigts la chair de ses lèvres débordant de cette mouille onctueuse. Je ne suis pas résisté à l’envie que j’avais de gouter à son nectar. J’ai mis ma
tête entre ses cuisses et enfoui ma langue entre ses lèvres pour gouter à son jus. Quand j’ai relevé la tête l’homme se branlait. J’ai demandé à Maéva de se retourner pour offrir
son cul aux regards de notre voyeur. J’ai commencé par lui caresser les fesses, les lui écartant pour dévoiler son trou du cul. Comme ma femme était très réceptive, j’ai osé les
lui écarter des deux mains pour que son petit trou s’entrouvre. En même temps, en m’aidant des majeurs, j’ai écarté les lèvres de son abricot et ouvrir son trou à bites. L’homme
avait sous ses yeux, les deux orifices entrouverts de ma salope. Cela a du lui plaire, car la main qui s’agitait sur, n’a pas tardée à faire couler un liquide blanchâtre. Les jets
de foutre se sont répandus sur le sable. Après avoir joui, l’homme a pris ses affaires pour partir. Il s’est dirigé vers nous et s’est adressé à moi et m’a dit « super votre
blog ». Une fois que celui-ci s’est éloigné, Maéva m’a dit « tu as un blog », j’ai répondu « j’en ai plusieurs ».
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Par Maéva et voyeur34
-
-
Publié dans : Exhibe à la plage
4
Mercredi 3 octobre
3
03
/10
/Oct
06:42
Par Maéva et voyeur34
-
-
Publié dans : Exhibe nature
4
Derniers Commentaires