Je tripote tes seins tout en t'embrassant ma petite salope. Tu me suces avec ta bouche de petite pute pendant que je caresse ton abricot tout lisse, que je bouffe juste après tout en enfonçant des doigts ce qui te fait jouir et rend ta chatte toute mouillée. Après t'avoir fait du bien en te léchant, je te prends dans toutes les positions. En levrette comme une petite pute, tu dois aimer. Après t'avoir bien ramoné ta chatte, je t'encule. Je défonce ton petit trou de salope et tu cries, tu jouis comme une petite pute. Je te fais tellement mouiller que tu dégoulines comme une salope. Pour finir, je me vide les couilles dans ta petite bouche à pipe et tu avales goulument

En espérant que tout cela te plaise Maëva, ferais-tu des photos pour moi pour me remercier?

Tout d’abord merci pour cette contribution accompagnée d’un commentaire où l’auteur s’est lâché. Merci, on a aimé. On en veut beaucoup des contributions comme celle-ci.

Pour en venir au sujet principal, Maéva adore se faire sucer les seins, et pou l’avoir essayé fut un temps, une bouche sur chaque téton toi et moi lui suçant ses bouts, pendant que nos mains s’égarent sur ses fesses et sur sa chatte. Mais attention pas le droit de glisser un doigt dans sa fente, juste lui effleurer les lèvres pour la faire mouiller. Pendant que Maéva se fera tripoter, elle aura pris nos queues, une dans chaque main, caressant nos tiges et nos couilles. Nos mains pourront aller constater au bout de peu de temps que son abricot et très juteux d’une mouille aussi onctueuse qu’abondante. Je te laisserai bouffer l’abricot tout lisse de ma petite salope comme tu dis. Après l’avoir bien prise par tous les trous comme tu dis, tu viendras te branler au dessus de ses seins. Tu videras tes couilles sur les seins de ma petite pute, comme tu dis si bien. Maéva me demandera de lui caresser les nichons avec ton foutre. Je ne pourrais résister à cette demande de ma salope. Ses paroles dans la bouche de Maéva déclencheront mon éjaculation. Je viderai mes couilles sur son pubis et pendant que je lui caresserai les seins avec ta crème, toi tu lui masturberas sa chatte avec mon jus. Ma salope adore se faire caresser l’abricot avec du jus de couilles. Maéva, petite salope, jouira plusieurs fois, cinq, six fois de suite, voir plus si de temps en temps on lui accorde une pause de quelques secondes. Maéva la petite salope se sera transformée en petite pute.

Comme hier matin nous avions vu un couple faire l’amour sur la plage, j’avais espéré y retourner le lendemain matin. Hélas pour de multiple raisons, nous n’y sommes allés que l’après-midi, en me disant que l’on avait peut-être raté quelque chose. Quand nous sommes arrivé, il y avait déjà un homme qui été là. La place de la veille étant libre, nous nous sommes installés au même endroit. J’avais déjà vu cet homme les autres jours. C’était celui qui se tripotait le sexe dès qu’on le regardait. Vint un couple qui s’installa juste un peu plus haut que nous, à seulement 4 à 5 mètres. Dès qu’ils furent installés, monsieur passa une main sur les fesses de sa compagne. Me voyant que je regardais, il continua ses caresses. Je fis donc comme lui en caressant le cul de Maéva. Comme lui aussi regardait dans notre direction, je  me suis occupé de la chatte de Maéva. Nos échanges visuel par caresses  de nos femmes, ont durés quelques temps, jusqu’à ce qu’un voyeur viennent s’installer juste un peu plus bas que nous, légèrement décalé par rapport à ma femme. Ce qui ne l’empêchait de voir l’entrecuisse de Maéva. Après avoir constaté cette présence, j’ai redoublé mes caresses sur le  sexe de Maéva. Notre voyeur a commencé de se tripoter la queue. De là où était le voyeur, il ne pouvait voir le couple qui se trouvait au dessus de nous, car celui-ci avait mit un parasol, l’isolant de certain regard. Comme moi je pouvais voir j’ai jeté un œil pour voir ce qu’il faisait. Madame était assise discutant avec monsieur qui était allongé. Me voyant regarder, madame a porté sa main sur la queue de son mari pour la lui caresser. Me regardant, elle s’est penchée et de sa main a dirigé le gland de son homme vers sa bouche qui l’a avalée. Voyant cela j’en ai informé Maéva qui a voulu vérifier mes dires. Emoustillé comme j’étais, je me suis occupé de ma femme, voulant moi aussi montrer au voyeur qui était en dessous de nous, ce que je faisais à ma femme. Dès que ma main s’est posée sur ses fesses et que mes doigts se sont enfouis dans sa raie, l’homme a repris sa masturbation. De temps en temps il me montrait son gland tout gonflé par le plaisir qu’il prenait à nous regarder faire. Il pouvait voir mes doigts titillaient les lèvres du sexe de Maéva. Je glissais à nouveau à l’oreille de Maéva, que la femme avait recommencé de sucer son mari. Ma femme se mis sur le coté pour jeter un œil puis dans une position ou son entrecuisse était ouverte, elle a commencé par se tripoter. Dans un premier temps discrètement, ne sachant si cela était des caresses ou si elle s’enlevait du sable. Puis sans retenue, elle s’est masturbée. Dans la position où elle était, notre voyeur avait la vue sur son abricot, et le mouvement de sa main sur sa bite était sans équivoque. Il voyait ma femme se masturber, et lui nous montrait sa bite et sont énorme gland en érection. C’est moi qui ai fini ma femme en la faisant jouir devant notre voyeur. Quand nous sommes rentrés à la maison, Maéva a commencé par m’enlever le haut, puis tous nos affaits ont volés. Dès que ma main s’est posée sur son sexe et que mon index s’est glissait dans sa fente, un frisson m’a couru dans tout le dos. Son sexe était juteux, dégoulinant d’une mouille onctueuse que ma langue est allée cueillir au fond de son puis d’amour. Je me suis délecté de son nectar et elle du mien avant de poursuivre nos ébats.

Depuis je lui ai dit que cet été, elle devra me sucer sur la plage et j’espère aussi qu’elle se masturbera devant des voyeurs.