Jeudi 21 juin
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Dernière après-midi avant notre départ. Toujours vêtu de sa petite jupe courte dont j’ai fait
disparaître la doublure, nous voilà partis à la plage. Le frêle tissu des volants de la jupe ont tendance à se soulever dès la moindre bise. Ses fesses s’en trouvent dévoilées et
exhibées au regard des gens qui se trouvent là. Je pense déjà à cet été dans cette tenue pour faire ses courses. Nous nous dirigeons vers notre coin et croisons quelques
personnes, hommes, couples et femmes seules. Bien sur il faut toujours escalader les rochers que la tempête a dévoilés en emportant le sable. Cet exercice est sujet à des
contorsions qui dévoilent la nudité du cul de Maéva. Pas la moindre ficelle entre ses fesses et l’assurance de montrer son abricot si elle se penche de trop. Nous voilà arrivés,
nous nous installons. Déjà deux hommes et une femme sont présents sur le lieu. Tout trois sont chacun dans leur coin. Cela fait un petit moment que nous sommes là et décidons de
nous baigner. C’est peu après le début de notre bain, que je vois arriver le voyeur de la veille, celui qui me montrait son gland bien gonflé par l’excitation que lui procurait le
cul et la chatte de ma femme, de ses attouchements, mais aussi des caresses que je pratiquais sur le cul et le sexe de Maéva. Dès que j’ai vu le voyeur, j’ai dit à Maéva que je
remontais. Elle me suivit. Comme la veille, je me suis mis à caresser le cul et le con de ma femme. Le voyeur lui se touchait la queue et son érection était aussi importante que
la veille. Un deuxième voyeur est venu se poster juste à côté de nous. Il s’est positionné sur le côté, offrant à la vue de Maéva son sexe à demi rigide. Il est resté tout le
temps dans cette position jusqu’à son départ. Moi, c’était le voyeur de la veille que je voulais voir s’exciter en regardant le cul de ma petite salope. J’ai fait ce qu’il
fallait, monsieur à bien bandé. Les deux hommes qui se trouvaient là à notre arrivé, sont descendu au bord de l’eau. Nous étions justes sous leurs regards pendant tout le temps où
je caressais le cul de Maéva, que mes doigts glissaient dans sa raie que j’écartais pour que tous puissent voir son petit trou. Sa fente, je l’ai doitée, caressée pour qu’ils
restent sur leur faim avant notre départ. Sur que le soir leurs femmes ont du passer à la casserole.
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Par Maéva et voyeur34
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