Il y a peu de temps, R….
est revenu nous voir et ma petite salope s’est vêtue d’un corsage court, fermé par un bouton à l’encolure, sans soutient gorge, de fait lorsqu’elle se penchait, on voyait ses
seins nue, et d’une jupe courte fendue sur le côté qui ne cachait rien de la nudité de son sexe. Le fait de se montrer ainsi, si dénudé, a fait monter le désir et l’envie de se
faire tripoter. Après s’être absentée un instant, elle nous est revenue avec une jupe très courte qui lui arrivait au ras du cul, l’abricot tout juteux, qu’elle a offert à
R…pendant que R… lui caressait la fente en lui suçant les seins, je m’occupais de son cul tout en frôlant sa fente que je trouvais très juteuse. C’est là qu’a commencé notre
soirée. Après s’être fait tripoter la fente cette salope est venue frotter son cul contre le bas ventre de R…, sa queue collée dans la raie, elle lui astiquait la tige avec ses
fesses. Après s’être fait abondamment lécher le con, ma salope se l’est fait bourrer. Elle disait qu’il léchait bien et qu’il savait se servir de sa grosse queue. Puis elle s’est
fait prendre le cul, deux fois par la grosse bite de R…Il l’a bourré bien longtemps et sa queue bandée à l’extrême avait encore grossie. Puis il s’est retiré pour partir et lui
envoyer des giclées de sperme sur les reins, qu’il a étalé de ses mains sur son cul. C’était la première fois qu’elle recevait du sperme sur son corps autre que le
mien.
Avec le temps, il a trouvé les caresses qu’elle apprécie. Si au début sa langue ne
lui procurait pas de plaisir, aujourd’hui Il en est autrement. C’est au cours de l’une de nos rencontres, qu’elle m’a glissé au creux de l’oreille, pendant que sa langue fouillait
sa fente, de son orifice d’amour jusqu’à son clito ;
Il fait ça bien, c’est bon ce qu’il me fait.
Depuis j’ai surpris ma petite salope et R… se roulant un patin. Pour moi, c’était le but de la soirée, savoir si en mon absence elle se laisserait se faire
tripoter et rouler un patin. Pour cela j’étais descendu chercher de la boisson au sous-sol, laissant assez de temps pour qu’elle se laisse entreprendre par ce salaud de R…, qui
était de connivence avec moi. Je les ai surpris, lui une main entre ses cuisses, l’autre autour du cou, les lèvres collées. Quelle belle salope elle fait. Maintenant, elle ose se
jeter sur sa bite pour la sucer, comme cette fois où dans la cuisine, il lui caressait les fesses qu’elle tendait, moi les seins. Elle s’est retournée, a défait sa ceinture,
déboutonné sa braguette et d’une main gourmande, l’a plongée à l’intérieur pour prendre ce gros membre et l’engloutir dans sa bouche, le suçant avec gourmandise. Une autre fois je
l’ai vu grimper sur le canapé, écartant les cuisses pour offrir son abricot à sa langue. Plaquant son sexe sur son visage, elle s’est faite lécher jusqu’à l’orgasme, dans des
râles que je ne peux oublier. Petite salope d’amour elle est devenue. Je veux qu’elle le devienne encore plus, pour enfin l’entendre exprimer toute sa jouissance dans des paroles
crues comme elle sait dire et qu’elle aime entendre. Se délecter de son jus sur ses seins, la voir se faire inonder le visage de cette crème onctueuse.
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