Après avoir garé la voiture sur le parking, Maéva et moi prenons le chemin de la plage. Je ralentis volontairement le pas pour rester derrière Maéva, afin d’admirer son petit cul se balancer sous une jupe en jean qui lui arrive ras les fesses. Arrivé en haut de l’escalier, qui surplombe la plage, nous croisons un homme qui semble chercher quelqu’un du regard. Au passage de Maéva devant sa personne, je vois son regard se détourner vers le haut des cuisses de ma dulcinée. Son visage exprime toute la surprise d’un si beau spectacle et la réjouissance qu’il ressent. Nous continuons notre chemin jusqu’à trouver un petit refuge dans les dunes ou je pourrez m’occuper de ma douce sans attirer l’attention des gens excepté les voyeurs qui hantent ces dunes. C’est en installant nos serviettes que je m’aperçois de la présence de l’homme que nous avions croisé. Celui-ci nous a suivi et je sais pourquoi.

Après nous être allongés sur nos serviettes, je propose à Maéva de la protéger des rayons néfastes du soleil en lui appliquant une crème solaire sur le corps. Je commence par lui enduire les seins et profite de l’instant pour jeter un coup d’œil vers notre homme et constate que déjà celui-ci se caresse la tige tout en regardant dans notre direction.

Après en avoir informé Maéva, je lui glisse quelques mots au creux de l’oreille, lui proposant de s’investir dans une exhibe très coquine histoire d’attiser l’excitation de notre voyeur. Joignant le geste à la parole, ma main a déjà glissé sur son pubis imberbe et mes doigts commence à caresser son bouton. Hélas la position de notre voyeur est bien décalée par rapport à Maéva, aussi je lui  demande  d’écarter un peu plus ses cuisses pour bien ouvrir la vue sur ses lèvres. Elle s’exécute pendant que mes doigts se promènent sur son sexe. Je fait remarquer à ma petite salope que le fait de jeter un coup d’œil en direction de notre homme, tout en écartant les cuisses, serait un moyen de le prévenir qu’elle sait qu’il est là pour mater et qu’elle est consentante pour se laisser mater l’abricot. Se relevant en prenant appui sur les coudes, ma femme regarde l’homme pendant que je l’encourage à relever les cuisses tout en écartant encore plus. C’est fait, c’est la première fois qu’elle ose.

Notre voyeur a compris le message. Il ne quitte plus des yeux l’entrecuisse de ma femme. Mes doigts se promènent fouille le sexe de Maéva. Je sens son humidité envahir mes doigts. C’est alors que je lui dis qu’elle devrait réaligner sa serviette dans l’axe de notre voyeur et de profiter de l’opération pour bien lui tendre le cul. Maéva s’exécute en se mettant accroupi, le dos tourné vers notre homme, puis je la vois se mettre à quatre pattes pour aligner sa serviette le cul tendu bien relevé pendant que son buste touche presque le sol. Cette position lui ouvre la raie du cul et les cuisses écartées offrent une vue imprenable sur un abricot bien luisant de sa mouille. L’homme se branle ouvertement pendant que je passe mes doigts dans la raie du cul de ma femme et que je glisse un doigt dans son anus. Maéva vient de constater l’effet qu’elle vient de procurer. La voici à nouveau sur le dos, mes doigts ont pris possession de son sexe. Je le lui masturbe ouvertement. Je demande à Maéva d’écarter ses lèvres pendant que mes doigts la fouillent. Je vois ses doigts ouvrir sa fente et les miens s’engouffrer dans son trou à bites. Je la vois se raidir et étouffer des gloussements de plaisir. Elle jouit. Notre voyeur devant ce spectacle astique de plus belle sa queue pour finir par des jets de foutre qui vont mourir dans le sable chaud. mes doigts quittent son fruit, emmenant avec eux des filets de mouille bien gluante et onctueuse.