Après avoir laissé la voiture dans un chemin près de la voie férrée, nous nous engageâmes dans un
sentier au travers des vignes. Il faisait déjà chaud pour la saison. Maéva s'était vêtu d'une robe comportant un jupon vert sur lequel venait se mettre une dentelle de la même
couleur, fortement ajourée. Elle connaissait mes intentions de prendre des photos coquines et savait que sa tenue me permettrait de voir ses fesses à la moindre occasion,
d'autant plus que le jupon avait la fâcheuse habitude de remonter lorsqu'elle marchait.
Dès les premières foulées sur le chemin, le jupon de la robe se mis à remonter sur ses hanches, dégageant le haut des cuisses. Nous n'avions pas fait cent mètres que déjà je
pouvais apercevoir le début de ses fesses. Je sentais en moi, c'est à dire dans mon short, ma queue devenir humide. Libre de toute entrave occasionnée par un slip, celle-ci
commençait à gonfler de désir rien qu'à l'idée d'une rencontre imprévue d'un promeneur. Nous abordâmes une côte dont la faible déclivité était suffisante pour me permettre en
restant en arrière de Maéva, de déjà apercevoir la raie de son cul. Je me dis intérieurement " quelle belle salope, se promener ainsi, et quel beau salaud tu fais de lui demander
qu'elle en soit une ". Après un quart d'heure de marche au travers des vignes, nous arrivâmes à l'orée d'un petit bois de feuillu et de pin. Cela faisait un moment que mes mains
mouraient d'impatience de caresser le cul de ma femme. A peine étions-nous à couvert des arbres, que ma main droite se faufilait sous la dentelle et tout naturellement je glissais
mes doigts dans sa raie, cherchant son doux oeillet pour le pénétrer. Maintenant mes deux mains pétrissaient ses fesses. Je sentais ma bite désireuse qu'une main vienne la
caresser. Maéva compris mes envies et tout naturellement commença par me la caresser par dessus le short. Après avoir évacué un peu de nos envies, nous reprîmes la marche tout en
continuant à nous tripoter. Nous arrivâmes dans une clairière, nos regards se croisèrent et sans avoir prononcé la moindre parole on avait deviné ce qui allait se passer. Je pris
une bretelle du jupon que je fis descendre sur son épaule, Maéva la fit glisser le long de son bras. Ainsi je pus dégager le tissu du jupon et mettre à nu son sein. Seul la
dentelle le couvrait sans rien cacher. La même manoeuvre libéra le deuxième. Malgré les protestations de Maéva, je fis glisser le jupon sur ses chevilles. Elle était nue comme un
ver. Une main sur son abricot l'autre sur son cul, je pris dans ma bouche son téton pour le sucer, mes mains fouillant sa raie et son abricot. Après cette mise en bouche, nous
arrivâmes à la séance photo. Après toute une série de poses osées montrant sa chatte et son cul, jambes bien écartées, je lui demandais de prendre une pose cul tendu vers
l'objectif, jambes bien écartées, en s'appuyer sur un arbre à l'aide de ses mains. Je pris toute une série de photos, variant l'angle de prise de vue tout en avançant vers elle.
Ni tenant plus, je lui pris les fesses, une dans chaque main pour les écarter encore plus, et pointais ma langue vers son petit trou. La salope se laissait faire. Je bouffais son
cul et sa chatte pendant dix minutes sans m'arrêter. Tout à coup Maéva me repoussa brusquement en me criant " il y a quelqu'un derrière nous. Je me retournais et vis de l'autre
coté de la clairière un homme la bite à la main qui se branlait. Depuis quand était-il là, Qu'avait-il vu je ne sais pas. Le voyant ainsi s'astiquer le goupillon, je sortis ma
bite et demandais à ma femme de me sucer en joignant le geste à la parole, l'obligeant à s'agenouiller devant ma queue. Après quelques réticences sa bouche me pris. Je ne fus pas
long à me libérer au fond de sa gorge. Nous primes nos affaires et repartîmes par le même chemin en s'habillant.
Merci pour la contribution
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