Comme toujours,
ma petite femme s’est vêtue très légèrement pour aller à la plage. Une simple jupe bien courte, au ras des fesses et de sa foufoune, de quoi attirer l’œil des plus avertis. Sous
son frêle corsage, pointent des tétons libres de toute entrave vestimentaire. Je sais qu’ainsi habillée, sur le chemin de la plage, il y aura des occasions pour apercevoir ses
jolies fesses, en pensant que je ne serais pas seul à en profiter. Aujourd’hui point de dunes, mais le bord de l’eau, juste où commence le sable sec. Après avoir installés nos
serviettes et le parasol, nous voici allongés face au rivage. Maéva aime sentir le soleil sur les lèvres de son sexe, et tout naturellement, elle ouvre ses cuisses, pour que
celles-ci puissent profiter un maximum de ses rayons. A ces heures matinales, il y a beaucoup de personnes qui font du footing au bord de l’eau. Dans cette position, sur le dos
les jambes écartées, je vois les regards des hommes se détourner vers la fourche de Maéva.
Cela faisait la troisième fois que cet homme passait devant nous. Quand je l’aperçu
revenant pour la quatrième fois. Arrivé à notre hauteur, je ne pus résister à l’envie de poser ma main sur le pubis imberbe de ma femme, puis de descendre celle-ci sur l’intérieur
de sa cuisse tout en laissant traîner mes doigts qui effleurèrent son sexe. A la vue de ma main baladeuse, l’homme arrêta sa course, faisant mime de reprendre son souffle, tout en
jetant des regards en coin vers nous. Il comprit qu’il ne nous dérangeait pas, quand il vit mes doigts se poser sur les lèvres vulvaires de Maéva pour les caresser. Des caresses
bien appuyées permirent à mon index de glisser à l’intérieur de ses petites lèvres humides. L’homme debout regardait vers nous tous en feignant des étirements musculaires. Après
avoir bien investi de l’index la fente de Maéva, je plaquais toute ma main sur son sexe, et d’un mouvement bien appuyé, remontais mes doigts sur les lèvres en direction de son
pubis, index plongé dans sa fente. Quand je relevais la tête en direction de l’homme, celui-ci avait la bite à l’équerre. Je demandais alors à Maéva de se mettre sur le ventre.
Elle s’exécuta, offrant ainsi son cul au soleil. Je pris la crème à bronzer pour la protéger en commençant une fois n’est pas coutume par lui enduire les fesses. Mais c’est de sa
raie que je me suis le plus occupé. Mes doigts ont fait le voyage plusieurs fois, avec à chaque passage sur son anus, mon index qui pointait vers celui-ci tout en augmentant sa
pression. Ce qui devait arriver arriva, mon index s’introduisit dans son petit trou. Encouragé par la non réaction de ma femme, je ressortis celui-ci et au passage suivant c’est
mon majeur et mon index que je glissais dans son puit. Les deux doigts plantés dans son cul, j’utilisais la paume de la main pour tirer sur sa fesse et ainsi écarter ses fesses et
ouvrir son cul pour bien montrer son œillet dilaté par mes doigts. Cette exhibe procura chez notre voyeur une superbe érection. Son sexe extrêmement tendu n’était pas loin
d’indiquer midi.
Ce jour là quand Maéva monta les escaliers donnant accès à la plage, elle passa devant
moi, sachant que je traînerais pour être quelques marches en contrebas, histoire de me montrer ses fesses. Seul problème, au moment où j’allais commencer l’escale de celui-ci, un
homme est arrivé et a pris place sur l’escalier à ma place. Moi j’ai du me contenter de rester derrière. Déjà le spectacle était superbe, mais en plus Maéva s’est penché pour
arranger sa chaussure. Ouf quel spectacle, son cul et sa vulve en technicolor sur écran géant. L’homme s’est tourné vers moi et a dit « Putain je la boufferais bien, quelle
belle salope ». Arrivé en haut de l’escalier ma femme en se retournant s’est aperçue de la présence de l’homme. Elle m’a attendu, les joues un peu rouges de honte. Quand j’ai
rejoint Maéva l’homme a eu un petit sourire.
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