Le départ pour la plage s’effectuera de notre lieu de résidence, qui fut calme au début de
notre séjour, et qui devint agité par la suite, agitation du à la mise en place des équipes de fonctionnement du site en vu d’une ouverture totale du village de vacances. Pour
aller à notre voiture nous étions obligés de passer devant toutes ces équipes d’entretien, de cuistos et autres personnes affectées au fonctionnement du site.
Depuis peu, j’ai un accès permanent au web. Je profite donc de cette connexion pour aller
sur mon forum préféré et laisser une annonce, à la recherche de voyeurs pour le lieu où nous sommes.
Pour cette première journée de plage, aucun voyeur n’avait répondu. Après nous être garé sur
le parking direction la plage. C’est ainsi que je pus admirer les longues jambes de Maéva, sa jupe ne couvrant que le juste minimum, ses fesses et quand nous nous sommes
installés, ma petite salope qui ne porte jamais de culotte, à offert à l’entourage, une splendide vue sur son cul et son sexe. Rien de tel pour se faire remarquer. La suite,
jambes bien écartées pour elle, moi profitant que certains mâles regardaient dans notre direction, je lui étalais le lait solaire, sur les fesses, laissant traîner mes doigts dans
la raie du cul de ma belle. Quant à l’autre face, elle eu droit au même traitement, à savoir, ma main sur son sexe pour étaler le produit, un doigt dans sa fente pour le plaisir,
et madame les cuisses bien ouvertes. Les hommes à proximité de nous n’ont cessé de regarder. Le reste de l’après-midi ne fut que, cuisses bien ouvertes de Maéva avec en prime, mes
doigts caressant ses fesses et son abricot tout en explorant de temps en temps son petit trou, ou sa fente. Le soir au moment du départ, je ne me souvient plus comment cela c’est
passé, mais je me suis retourné pour dire quelque chose à ma femme et je ne l’ai plus vu. Je me suis figé cherchant du regard où elle pouvait être, mais rien à l’horizon. Un homme
m’a croisé me lançant ses mots « belle exhibe », puis vous avez perdu votre femme. J’ai du lui répondre oui en même temps que je faisait demi tour. Je la vis arriver
vers moi, elle avait continué pour sortir un peu plus loin. Quand on s’est retrouvé ma femme et moi sur le chemin où j’avais laissé cet homme, il était encore là et attendait.
Quand nous sommes arrivé à sa hauteur il m’a dit « vous l’avez retrouvé » j’ai du dire « oui » et il a ajouté une nouvelle fois « belle exhibe »,
comme pour faire savoir à ma femme qu’il nous avez vu. Je n’ai rien dit car je sais que ma femme n’aurait pas apprécié hélas, que je réponde, dommage.
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