Maintenant il n’était plus simplement un voyeur mais le complice
de nos jeux. Après s’être bien fait doigté la chatte par nous deux, je demandais à ma femme, de la voix et du geste de se retourner pour nous offrir ses fesses. Elle se mit à plat
ventre et lui indiquais que nous allions lui passer du lait solaire. A cet instant, je vis poindre derrière les broussailles une tête. Je réalisais que nous n’étions pas seul dans
les dunes. Un rapide tour d’horizon des dunes me fit découvrir un deuxième voyeur dissimulé derrière une aspérité du terrain, dont une main astiquait son manche. Je signalais à
notre complice la présence des deux voyeurs par un signe des yeux et un doigt sur les lèvres, Maéva ne s’étant aperçu de rien. Après avoir couvert son corps de noix de lait
solaire, nous commençâmes de concert à étaler celui-ci. Arrivé à hauteur de ses fesses, nous primes chacun possession de son cul. Nos mains se sont égarées dans sa raie. J’ai
écarté ses fesses pour lui montrer et ouvrir son petit trou. Notre complice a mouillé son index en déposant un peu de salive sur le bout de son doigt avant de l’appuyer sur son
œillet et de l’enfoncer dans son cul de salope. Je voyais nos voyeurs se branler la queue, des queues tendues par la vision de nos ébats. En même temps que notre complice
s’occupait du cul de Maéva, mes doigts chatouillaient la fente de Maéva, une fente toute juteuse. Cela faisait des bruits de flic-flac. Maéva se remit sur le dos et nous, nous
nous sommes remis à lui tripoter la fente et les seins. A ce régime là, je vis que ma femme prenait du plaisir. Cet pour cette raison que je lui glissais au creux de l’oreille
« caresse lui la queue, que je vois tes doigts sur sa bite, vas-y salope ». Il n’y eu aucune protestation, sa main se posa sur sa queue, ses doigts enserrèrent l’organe
et commencèrent un va et vient lent avec par intermittence des accélérations. Les voyeurs qui étaient autour de nous se branlaient
ouvertement la queue. Je pris en main le sexe de Maéva en demandant de l’aide à notre complice, et tous deux nous nous efforçâmes de l’emmener jusqu’à l’orgasme, moi l’index
planté dans le cul et le pouce dans son trou à bite, lui s’occupant de son clito. On a vu poindre l’orgasme, son corps s’est tendu, des gloussements contrôlés sont sortis de sa
bouche, sa main s’est agitée sur la queue de notre complice, son corps a été secoué de convulsions, un râle est sorti de sa bouche et notre complice est parti en jets puissants
qui se sont écrasés sur les seins de ma salope. J’avais la queue en feu. J’ai pris ma main et j’ai étalé ce foutre sur sa poitrine. Je regardais ma femme, elle était en extase le
sourire au coin des lèvres, l’air amoureuse. J’ai passé mes doigts encore humide du foutre sur ses lèvres, comme pour l’apaiser, sa bouche s’est ouverte pour les sucer. Je me suis
penché sur elle pour l’embrasser. Sa bouche avait le goût du sperme. Pendant ce temps, je crois mais je n’en suis pas sur, mais il me semble que j’ai vu les deux voyeurs éjaculer
eux aussi. Nous sommes resté un bon moment ensemble avec notre complice avant de repartir. Il nous a avoué qu’il aurait bien aimé
goûter le jus de son fruit bien juteux s’il avait était sur que du bord de plage il ne puisse être vu. Les voyeurs eux sont partis avant, voyant qu’il ne se passait plus
rien.
Tout ceci n’est que fantasme sauf deux choses. Un, que le voyeur
existe, que je le préviens quand on va à la plage, que ma femme est au courant de ma démarche. En deux, le récit est tout simplement ce à quoi je pense souvent et que j’aimerais
réaliser. S’il y a une première fois, j’aimerais au moins arriver jusqu’à le voir m’aider à étaler le produit solaire. A partir de là si Maéva se laisse faire, tout est
envisageable.
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