Je crois que tout à commencé sur le chemin qui va du parking à la
plage. C’était tôt le matin vers les 9H00. Pas grand monde sur le chemin si ce n’est un homme qui nous croise. Son visage ne n’est pas inconnu pour semble t-il l’avoir reconnu
comme un voyeur de l’année dernière, mais je ne suis pas sur. Je profite que Maéva porte une jupe en jean qui lui arrive au ras des fesses pour passer ma main sous celle-ci en
faisant bien attention de la lui relever, afin de découvrir ses fesses nues. Si c’est notre voyeur, il n’aura pas manqué de se retourner dans l’espoir de voir s’il y a quelque
chose à mater. S’il a vu ma main sous la jupe de ma femme, sûr qu’il fera demi-tour. On continu notre chemin et je sens une présence qui nous suit. Lorsque nous arrivons en haut
de la dune, Maéva et derrière moi. Je dévale les escaliers et quand je suis en bas, elle est encore en haut et un peu plus loin derrière elle, notre homme. C’est gagné, on va
avoir un spectateur. Quand nous nous installons, lui aussi s’installe. Maéva se met sur le ventre, cuisses ouvertes offrant ses fesses au regard de notre homme. Je commence à la
caresser en lui mettant du lait sur le corps. Ma main plonge sans cesse dans sa raie et mes doigts traînent sur ses petites lèvres et son petit trou. L’homme le sexe à la main se
caresse le sexe et dès que mes doigts écartent la raie du cul de Maéva et que celui-ci aperçoit l’œillet de ma femme les caresses qu’il se prodigue deviennent masturbation. Ce
salaud se branle, astique sa queue sous mon regard pour me montrer le plaisir qu’il prend à nous regarder. La raie ouverte de ma femme, je laisse traîner un doigt sur sa rondelle
car cela semble l’exciter. Chaque fois que je lui montre la rondelle de ma femme, il accélère le mouvement de ses doigts sur sa tige. Pour changer, je pose mes doigts sur les
petites lèvres de son abricot, et commence à les lui masturber. Je ne tarde pas à voir l’effet que procurent mes caresses. Je vois la peau des fesses de Maéva frissonner. Je fais
signe à notre voyeur que son petit cul vient de la trahir, et qu’elle est partie sur le chemin de la jouissance. Je reprends ma masturbation et sens son plaisir monter entre ses
cuisses. Plus l’intensité augmente, plus ses cuisses se resserrent, et plus notre voyeur se branle avec frénésie. Maéva dans un râle étouffé serre ses cuisses raidies par
l’orgasme, le cul tout frissonnant. Je veux continuer, mais elle m’en dissuade. Je reprends donc le chemin de son petit trou. J’écarte ses fesses, porte le majeur à ma
bouche avant de le poser sur sa rondelle et de pousser pour le faire entrer dans son cul. Enfin je demande à Maéva si je peux déposer sur sa rondelle un baiser. Son oui me ravit.
J'écarte nien la raie de son cul et viens poser mes lèvres sur son petit trou et transforme l'essai en pointant ma langue, pénétrant ainsi son cul. De sa position mi-assise,
mi-allongé, notre voyeur se redresse, se met de profil, debout sur ses genoux et se branle avec vigueur. Ce salaud à la queue toute raide, moi de mon coté je continue à le
provoquer en continuant de tripoter le cul de Maéva. La main sur la bite, après une dernière accélération, il finit par vider ses couilles en éjaculant à plusieurs reprises en jet
puissant qui viennent mourir dans le sable. Après s’être bien secoué la bite pour faire tomber les dernières goutes, il est allé se rafraichir les idées dans la mer. Moi je
ne bande pas car trop occupé à donner du plaisir à ma femme et à exciter notre voyeur, mais je mouille comme un jeune puceau. J'ai la queue toute juteuse. A son retour dans les
dunes, j’ai réussi à lui faire comprendre que l’après midi nous serions sur la plage.
A suivre ….
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