Pour cette première matinée dans les dunes, j’ai demandé à Maéva de porter pour la première
fois une robe très sexe, qui lui arrive après avoir tiré sur le tissus, juste au ras des fesses. C’est dire qu’au moindre mouvement, elle remonte et dévoile son cul. Les voyeurs
qui sont déjà dans les dunes à guetter les bons plans, ont du apercevoir ma femme ainsi vêtu sur le chemin qui mène à la plage, car dès notre installation terminé, un voyeur est
arrivé. Il s’est installé à notre gauche sur le haut de la dune à environ cinq, six mètre de nous. J’ai supposé qu’il été aussi un peu exhibe, car il écartait bien ses suisses
pour montrer sa queue, qu’il a commencé à se caresser. Moi je caressais le cul de ma femme en lui écartant la raie du cul, afin qu’il puisse apercevoir ce qu’elle avait de planté
dans le cul.
Pendant tout le temps notre voyeur n’a cessé de se branler. C’est quand j’ai commencé
par plonger ma main entre ses cuisses pour lui caresser l’abricot, que notre voyeur à changé de place. De là où il était, il ne pouvait voir ce que mes doigts faisaient. Il ne
pouvait que deviner. Il s’est donc placé face à l’entrecuisse de Maéva. Dans un premier temps à deux mètres, je lui ai fait signe de reculer, sachant que si ma femme se
retournait, elle n’apprécierait pas que le voyeur soit si près (comme elle dit la tête dans son cul). C’est à quatre mètre de nous que notre voyeur s’est installé. Là il m’a bien
vu caresser le sexe de ma femme, écartant ses lèvres pour montrer la chair rose de son trou à bites. Bien sur j’ai continué à lui caresser le cul en faisant en sorte d’écarter ses
fesses pour montrer son bijou enfin bien visible dans sa globalité par notre homme. Mais mains ont continué à passer de son cul à son abricot et comme ma salope se laissait faire,
j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le dos et de bien écarter les cuisses, lui demandant de corriger sa position pour que sa chatte soit en plein sous le regard de notre voyeur.
Je me suis mis à lui titiller les lèvres, les écartant pour glisser l’index à l’intérieur tout en laissant un doigt sur chaque lèvre de son abricot tout lisse. Je lui ai caressé
le sexe sous le regard de notre voyeur, qui lui se branlait. Puis j’ai profité du total abandon de Maéva pour lui passer ma langue sur sa fente et la lécher. Puis j’ai repris mes
caresses manuelles sur son sexe, tout en demandant à Maéva de me caresser. C’était une première pour elle et pour moi. On s’est amusé ainsi pendant un certain temps. Puis j’ai vu
notre voyeur changer une nouvelle fois de place, revenant se placer sur le coté, mais cette fois à hauteur du sexe de Maéva et à la même distance que précédemment, environ quatre
mètres de ma femme. Les jambes bien écartées il a recommencé à se caresser la queue. Après nos caresses réciproques, ma femme s’est remise sur le ventre. Pendant que je lui
caressais le cul, je lui ai demandé de me sucer. Elle a refusé me disant que j’allais trop loin, que bientôt on finirait par faire l’amour, que je n’avais aucune limite. Bref,
elle n’était pas d’accord ; alors je lui demandé de me faire un bisou sur la queue, ce qu’elle a accepté. Pour ce faire, je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes en
ayant les jambes bien écartées, ce qu’elle a fait. Mais comme notre voyeur avait changé de place, il fallait qu’elle pivote de 90° degré pour que notre homme et le cul de ma femme
en ligne de mire. J’ai vu Maéva se tourner, le cul en l’air, jambes écartées, venir déposer sur ma queue, deux ou trois bisous. Dans cette position, le cul tendu, elle offrait son
cul à cet inconnu, avec en prime un gain de distance. Son visage n’était plus qu’à trois mètres du cul de ma femme. Un cul dont le trou était habillé par son bijou, mais aussi de
sa chatte toute lisse. Quand nous sommes parti, l’homme nous a souhaité une bonne journée, ma femme et moi lui à répondu vous de même.
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