Maeva, petite Salope s'exhibe

Nous venions de finir notre installation dans les dunes et pris place sur nos serviettes, lorsque remontant de la plage, je vis arriver une connaissance, un voyeur de plusieurs années avec lequel j’ai conversé et échangé des mails. Le voilà qui s’installe comme de coutume, juste en face de nous, le regard dans l’axe des cuisses de ma petite salope. Comme Maéva est allongée sur le ventre, ma main ne peut s’empêcher de lui caresser le cul. Elle parcourt ses fesses, se glisse dans sa raie, descend entre ses cuisses et va titiller son fruit tout lisse, écartant ses lèvres pour ouvrir le passage et glisser un doigt dans son trou à bites. Pendant ce temps monsieur notre voyeur se tripote la queue, il se branle. Sa queue n’a pas mis longtemps pour se tendre. A peine à cinq mètre de nous il voit le cul de ma femme, mais aussi mes doigts qui explorent son sillon fessier. Mes mains écartent les lobes de ses fesses, dévoilant son œillet. Je sais que notre voyeur aime mater le petit trou de Maéva, car comme toujours dans ce cas, je vois sa main qui s’active sur sa bite accélérer la cadence. Puis je recommence à caresser le cul de ma femme en laissant trainer mes doigts dans sa raie. A un moment j’ai humecté mon index en le portant à la bouche, puis j’ai écarté la raie du cul de Maéva et j’ai introduit mon index dans son petit trou. Je lui ai massé l’intérieur de son trou du cul en faisant un mouvement de rotation avec mon doigt. Pour finir, après avoir retiré le doigt de son trou, je le lui ai léché avant de le  titiller avec le bout de ma langue. Quand j’ai relevé la tête, la main de notre voyeur s’agitait frénétiquement sur son membre tendu, le gland gonflé de désir. Sans doute lui aussi aurait aimé lécher le petit trou de ma femme. A ma demande ma femme s’est retournée, et les jambes bien écartées, elle a offert au regard de notre voyeur, une splendide vue sur son abricot, que j’ai commencé à caresser, effleurant dans un premier temps ses lèvres, puis les écartant pour montrer la chair rosée de son antre à notre homme. J’ai fini par glisser un doigt dans son trou à bites. J’ai fait une petite pause et à ma demande ma femme ma caressait la queue. Pour elle c’était la deuxième fois qu’elle le faisait devant un voyeur. Très excité par la vue du cul et du sexe de ma femme, par tout ce que j’avais fait devant notre voyeur, mais aussi par la vision de celui-ci se masturbant à la vue du cul et de la chatte de Maéva se faisant tripoté, je n’est pas été long à sentir le plaisir monter en moi. J’ai donc décidé de reprendre les commandes. J’ai commencé par lui caresser les lèvres avec mes doigts, puis j’ai plongé ma tête entre ses cuisses pour lui lécher la fente. Quand j’ai relevé la tête, j’ai vu la main de notre voyeur qui s’activait énergiquement sur sa queue. Voyant que celui-ci ne baissait pas la cadence, j’ai entrepris de masturber l’abricot de Maéva, plus exactement son clito et ses petites lèvres. Au bout d’un moment j’ai senti un léger raidissement du corps de ma femme, premier prémisses d’une jouissance à venir. J’ai porté ma main à ma bouche pour y déposer une bonne dose de salive, puis j’ai repris la masturbation de l’abricot de ma femme. Plus j’accélérais la caresse sur le con de Maéva, plus notre voyeur accélérait la sienne sur sa bite. Au bout de ce crescendo de caresses, j’ai vu notre voyeur se positionner pour que je ne rate pas ce qui allait arriver. Sa main à commencée à ralentir ses caresses, et la bite tendue, j’ai vu plusieurs giclées de foutre se répandre sur le sable. A la vue de ce spectacle, j’ai accéléré mes caresses sur le sexe de ma femme, (il me semble même lui avoir dit « joui salope »). J’ai senti son corps se cambrer, se tendre et un grognement accompagné de léger sursaut. Elle venait de jouir à son tour, pendant que notre voyeur laissait échapper les dernières gouttes de sperme sur le sable.