Exhibe à la plage

Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 09:17
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Comme toutes les après-midi quand nous allons à la plage, Maéva porte une mini jupe en jean qui s’arrête là ou la raie de son cul commence, ras la touffe (qui n’existe pas). Trouver un coin pour nous installer ne fut pas aisée. Beaucoup de monde, aussi ce fut au milieu des gens, qu’une place vacante a attiré notre attention. Notre installation à sans doute attirée l’attention de quelques hommes, Maéva m’aidant à étendre nos serviettes, ses petites fesses et sa chatte s’en sont trouvées pleinement exposées aux regards de tous ceux qui se trouvaient autour de nous. Nous voilà allongés sur nos serviettes, et je remarque au premier regard que je jette autour de moi, qu’un homme regarde dans notre direction. Pour satisfaire son plaisir, car je me doute qu’il est voyeur, je me fais un devoir de protéger ma femme. Séance crème à bronzer ; je commence par ses cuisses car l’homme nous regarde. Je me fais un plaisir d’étendre la crème jusqu’à l’intérieur de celle-ci, afin de monopoliser son regard vers nous, puis je fais le bas des jambes, avant d’attaquer les fesses de ma belle. Là je les caresses bien en étalant le produit, je lui protège même l’intérieur de sa raie. Je sens mes doigts flirter avec la peau de son œillet. Je regarde l’homme est bien voyeur, il nous regarde et il n’est pas le seul. L’homme du couple le plus proche de nous, auquel je n’avais pas prêté attention, regarde aussi. Après avoir terminé par le dos, je m’allonge à côté de ma femme, sur le flanc. Ainsi je peu bien la caresser. Je reprends donc mes caresses sur ses fesses, et bien sur, notre voyeur mate. Comme il fait chaud nous partons à l’eau un moment et à notre retour, Maéva s’allonge sur le dos. J’attends qu’elle sèche pour la protéger. Même manège, je commence par les seins, déjà l’homme regarde, puis le ventre, enfin les cuisses, le bas des jambes et le meilleur pour la fin sa chatte. Mes doigts glissent sur sa fente et pour que tout soit bien protégé, je lui demande d’écarter un peu plus ses cuisses. Ainsi ma main et libre de bien se mouvoir sur son sexe, et de fait bien en vue. Pour être bien en vue, il y est, car maintenant j’ai deux voyeurs. Le deuxième vous l’aurez compris et l’homme du couple qui se trouve juste à côté de nous, légèrement à la droite et en dessous de ma femme. Lui aussi a vue sur le sexe de Maéva. J’arrête mon manège et attend qu’il ne regarde plus pour recommencer à caresser le sexe de ma petite salope afin que le voyeur puisse mater ma femme. Chaque fois que notre voisin tourne la tête vers nous j’arrête. Il n’est pas dupe. Au bout d’un moment, je le vois parler à sa femme qui s’est assise. Celle-ci se s’allonge à côté de lui sur le ventre, en inversant sa position par rapport à lui, c'est-à-dire les fesses tournées vers nous. Lui s’installe perpendiculaire à elle, posant sa tête dans le creux de ses reins. Dès que sa tête n’est plus tournée vers nous je recommence à caresser le sexe de Maéva. Je n’y prête pas attention tout de suite, trop absorbé par la surveillance des regards du voyeur sur l’entrecuisse de Maéva et sur notre voisin, mais je m’aperçois que le voisin a glissé une main sous la cuisse de sa femme et que ses doigts se promènent sur son sexe. Voyant cela, je m’assois et regarde dans sa direction en posant ma main sur l’intérieur des cuisses de Maéva. Je lui caresse les lèvres du bout des doigts afin de ne pas trop occulter la vue qu’il a sur son sexe. Mon voisin à bien compris que j’étais pour OK pour jeu réciproque. Je l’ai vue parler à sa compagne, qui dans la foulée a changé sa position en regardant dans notre direction pour mieux se positionner. Maintenant son entrecuisse était pile dans l’axe de mon champ de vision. Je voyais la main de notre voisin se promener sur le sexe de sa compagne, essayant de lui écarter pour se glisser à l’intérieur. C’est à cet instant que ma femme a décidé de changer de position pour se remettre sur le ventre. Maintenant notre voisin  avait vu sur le cul de ma femme. Je demandais à Maéva d’écarter un peu plus ses cuisses sous le prétexte d’avoir plus d’aisance pour lui caresser la chatte, ce qu’elle fit. Je repris donc les caresses sur sont sexe. Notre voisin voyant que ma femme avait écarté un peu plus les cuisses, posa sa main sur celle de sa femme de façon à ce qu’elle comprenne qu’elle devait écarter un peu plus les siennes, ce qu’elle fit en les ouvrant grandement. Nous reprîmes chacun nos caresses sur nos femmes. La mienne lui présentant son cul, j’en profitais pour lui écarter la raie, pour qu’il puisse mater son petit trou. C’est alors que notre voisin a posé sa deuxième main sur les fesses de sa compagne pour lui écarter lui aussi la raie du cul et me montrer l’œillet de sa belle. Moi j’ai surenchéri en  m’aidant de plusieurs doigts pour écarter les lèvres de sont sexe afin d’ouvrir l’entrée de son trou à bites. Il a fait de même. Nous avons bien joué toute l’après midi et cela fut très agréable. Hélas bien qu’ayant vu ce couple plusieurs fois encore sur la plage, nous nous sommes jamais retrouvé côte à côte pour rééditer cette expérience.
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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib
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Samedi 7 septembre 6 07 /09 /Sep 17:02
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Nous étions installés dans les dunes depuis pas mal de temps et pas un voyeur à l’horizon. Ce n’est pas parce qu’il n’y a personne que je ne caresse pas ma belle, non c’est toujours un plaisir de promener mes mains sur ses fesses ou son sexe, je suis à croc à ses courbes, à sa peau. Quand je ne les ou la vois pas, je suis en manque, c’est une vraie drogue pour moi. Ah voilà un homme qui passe et se retourne pour voir ma main courir sur la peau douce de ma femme. Comme il voit que je ne m’arrête pas tout en le regardant, il fait demi-tour et se rapproche de nous. Dans un premier temps assez bref, il m’observe en se demandant si je suis bien consentant pour qu’il reste là à regarder. Etant rassuré par mes mains qui s’en hardiesses dans la raie du cul de Maéva, notre voyeur s’installe non loin de nous (5 mètres environ). Là, il commence à se masturber pendant que je continue à caresser le cul de Maéva. Déjà son gland est gonflé de plaisir. Il se branle doucement. Moi de mon côté, ma main a glissé sur le sexe de ma femme et à voir la peau de ses fesses qui frissonne, je devine qu’elle prend plaisir à mes caresses. Voyant cela de mon autre main, l’autre étant occupée à lui caresser ses petites lèvres, je lui écarte la raie du cul et pose un doigt sur son œillet, et tout en appuyant celui-ci pour le faire pénétrer son petit trou, je le lui masse. Tout de suite je perçois que cela plait à Maéva, les frissons sur ses fesses se sont amplifiés, elles ont la chair de poule et notre voyeur pendant ce temps continue à se branler la queue. Quand il me voit vérifier ce que la vue du cul et de sa chatte, car ses jambes sont ouverte au maximum, se faire doigter, il enserre son gland pour le faire gonfler encore plus. L’homme a une queue de belle dimension en longueur, mais surtout en épaisseur. Je me dis que j’aimerai bien voir ma belle s’amuser avec un tel membre.

J’ai continué la masturbation de son petit trou et de ses petites lèvres jusqu’à ce que je l’entende glousser. Elle a jouit, son corps s’est tendu une première fois sous l’orgasme, puis d’autres sont venus après et enfin le dernier un tout petit, mais qu’elle attend toujours d’avoir pour être repue. Notre voyeur lui aussi a joui. Je n’est vu que les dernières gouttes qui sortaient de son gland, trop afféré à faire jouir ma belle petite salope de femme. L’homme est parti en nous faisant un signe de remerciement.

Ma femme avait eu sa dose, alors je lui ai demandé de me sucer. Elle a d’abord demandé s’il n’y avait personne qui regardait, je lui ai dit que non, elle pouvait le faire. Après mettre disposé pour faciliter son approche, sa bouche est allée saisir ma queue pour l’avaler et elle m’a sucé. Ce jour là il y avait du vent et bon nombre de personnes se trouvaient au bas de la dune. Certains se sont sans doute aperçus ce que Maéva été en train de me faire, mais celui qui a bien vu, c’est un couple qui est soudainement passé juste derrière nous et que nous n’avions pas entendu arriver. Ma femme s’est arrêté de me sucer et nous avons rigolé tous les deux. J’étais fier de ma petite salope.

Nous étions gentiment allongés tous les deux côte à côte, lorsque je vis arriver un jeune homme, la queue pendante, passant sur le chemin se trouvant au haut de la dune. Son regard vers nous m’a incité à reprendre mes caresses sur le cul de Maéva. Je ne vois pas pourquoi je dis reprendre, en réalité elles n’avaient jamais cessées. Le jeune homme est venu se poster à quelques mètres de nous. Ma femme ne l’ayant pas vu, mes caresses se sont faites plus pressantes. Je lui écartais la raie du cul pour que ce jeune voyeur puisse bien voir son œillet. Lui de son côté touchait sa queue qui sous l’effet de ses caresses et la vue qu’il avait du cul de ma petite salope, avait pris une longueur plus qu’honorable, et pourtant pas bandante. Ayant fait la promesse à ma femme de descendre au bord de l’eau avant l’arrivé de ce nouveau voyeur, j’ai du plier bagage à sa demande, laissant notre voyeur sur sa faim. Il a fait les cents pas le long du rivage et comme plus grand-chose se passait, ma femme ayant vu son manège et ne voulant plus jouer, celui-ci est parti. Lorsque nous avons quitté la plage pour retourner au parking, ma femme a remarqué sa présence derrière nous  et malgré que celui-ci  ait bifurqué pour une autre aire de stationnement, quand j’ai pris la route, il était derrière nous, me faisant des appels de phare. Il nous a suivis presque jusque chez nous. Ce n’est que deux trois rues avant notre point de chute que je suis arrivé à le semer.

 

 

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Par Maéva et voyeur34 - Communauté : Voir et s'exhiber
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Lundi 9 septembre 1 09 /09 /Sep 16:07
  Son corsage pour descendre à la plage
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  La jupe qu'elle portait
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  Le bijou qu'elle avait mis
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C’est ainsi vêtu et  ornée de son rosebud, que Maéva est descendu à la plage. Comme il était tôt comme c’est souvent le cas entre 9H00 et 9H30, nous nous sommes mis au plus près du rivage laissant le assez de sable devant nous pour que les vagues ne viennent pas mouiller nos serviettes. Ainsi disposés, il y avait assez de passage pour le va et vient des gens qui se promène au bord de l’eau. Comme de coutume, je m’occupais de ma femme en lui caressant la chatte et les fesses, ce qu’un promeneur remarqua. Faut dire que lorsque je vois arriver un mâle qui se promène tout seul, je redouble d’ardeur pour caresser le cul de ma belle et le lui écarter à son passage, d’autant plus que ce jour, son petit trou est bien occupé et rempli par son brillant. Bingo en voilà un qui mord à l’hameçon, il est passé plusieurs fois, s’arrêtant pour  ramasser des coquillages. Mais le coquillage qui cherchait du regard ressemblait à s’y méprendre à une moule qui avait perdu sa barbe. A un moment il a remonté la plage pour aller dans les dunes, s’est assis les jambes écartées, et il s’est branlé en me faisant des signes pour qu’on aile dans les dunes. Comme ma femme souhaitait passer sa matinée au bord de l’eau, je ne lui ai pas demandé d’aller dans les dunes. Au bout d’un moment l’homme a continué son chemin.

Tout était tranquille des gens passés, hommes, femmes, couples et moi je continuais à caresser Maéva. Soudain ma femme l’a vu, qui, le voyeur qui nous avait suivi en voiture. Il est passé une première fois devant nous puis est revenue en s’arrêtant juste devant nous. J’en ai profité pour écarter les fesses de Maéva pour qu’il puisse voir ce qu’elle avait dans le cul. Il a repris son chemin pour revenir une nouvelle fois et poser sa serviette non loin de nous. Il est descendu à l’eau avec le seul but de se balader juste en face de nous pour nous mater. Regarder ce que je faisais et bien sur mater le cul de ma femme. J’ai doigter sa chatte, caressé son cul, écarté sa raie, la totale. Il est revenu sur la plage et a commencé à se caresser. D’ou j’étais je ne pouvais pas le voir. C’est ma femme qui me l’a fait remarquer. Il avait la queue toute raide, d’une belle longueur. Il a continué à se branler, mais quelqu’un s’en est aperçu et lui a dit d’aller ailleurs. Il était midi nous devions rentrer

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Comme tous les week-ends, il y a du monde en plus des touristes les gens du coin vont à la plage. Donc pour cette raison, nous avons décidé de ne descendre qu’après 17h00 et d’y rester jusqu’à 20h00. Comme toujours l’exhibe et le corps de Maéva étant une drogue pour moi, je me suis fais un plaisir de caresser ses fesses et sa chatte, bien que de nombreux regards soient tournés vers nous. J’avais remarqué aussi que l’homme du couple qui se trouvait non loin de nous, me regardait faire. Moi je m’étais aperçu que sa queue présentait un volume et un port d’une queue presque bandée. Et pour cause, je me suis aperçu que sa femme le caressait de temps en temps, pendant que lui matait ma femme en me regardant faire. L’heure ayant tournée, il était presque 20H00. Il ne restait plus grand monde aussi ma femme est venue se placer perpendiculairement à moi la tête sur mon ventre. Elle a profité de sa position pour commencer des caresses sur ma queue. Cela était très agréable. Moi de mon côté, je lui passais la main sur son mon de vénus et parfois les doigts dérapaient sur sa fente. A un moment le couple a rangé ses affaires et est parti en longeant la plage. Ils sont passés devant nous, ma femme me caressait toujours. L’homme s’en est aperçu et à bien regardé ce que Maéva me faisait. Les caresses de ma femme sous le regard de cet homme, ont provoqué chez moi une forte excitation qui a déclenché mon éjaculation dans les doigts de ma petite salope.
Par Maéva et voyeur34 - Communauté : 100 % voyeurisme 100 % exhib
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  • Maéva et voyeur34
  • Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
  • Homme
  • 09/01/1948
  • salope sodomie amateur exhib photo
  • amoureux sans limite de Maéva, je voudrais pouvoir regarder son corps 24h/24 - 7j/7 et savoir que d'autres puissent admirer ses charmes en l'exhibant devant des voyeurs.

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