Mercredi 3 octobre
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Cela faisait à peine cinq minutes que le voyeur précédent était parti, qu’un deuxième est
venu s’installer en lieu et place du précédent. Il s’est positionné assis sur le bord du promontoire situé à moins de cinq mètres de nous, jambes écartées pour que ma femme puisse
bien voir sa queue. J’ai donc repris mon manège, caressant le sexe de Maéva, écartant les petites lèvres de son abricot pour montrer la chair toute rose de son fruit juteux. Son
sexe faisait de petits clapotis sous mes caresses, signe de la présence d’un jus bien onctueux. Il faut dire que cela faisait moins de dix minutes qu’elle venait de jouir. Quel
plaisir de sentir sous ses doigts la chair de ses lèvres débordant de cette mouille onctueuse. Je ne suis pas résisté à l’envie que j’avais de gouter à son nectar. J’ai mis ma
tête entre ses cuisses et enfoui ma langue entre ses lèvres pour gouter à son jus. Quand j’ai relevé la tête l’homme se branlait. J’ai demandé à Maéva de se retourner pour offrir
son cul aux regards de notre voyeur. J’ai commencé par lui caresser les fesses, les lui écartant pour dévoiler son trou du cul. Comme ma femme était très réceptive, j’ai osé les
lui écarter des deux mains pour que son petit trou s’entrouvre. En même temps, en m’aidant des majeurs, j’ai écarté les lèvres de son abricot et ouvrir son trou à bites. L’homme
avait sous ses yeux, les deux orifices entrouverts de ma salope. Cela a du lui plaire, car la main qui s’agitait sur, n’a pas tardée à faire couler un liquide blanchâtre. Les jets
de foutre se sont répandus sur le sable. Après avoir joui, l’homme a pris ses affaires pour partir. Il s’est dirigé vers nous et s’est adressé à moi et m’a dit « super votre
blog ». Une fois que celui-ci s’est éloigné, Maéva m’a dit « tu as un blog », j’ai répondu « j’en ai plusieurs ».
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Par Maéva et voyeur34
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Vendredi 12 octobre
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16:32
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Avant de vous narrer notre dernière exhibe dans les dunes, je voudrais vous raconter ce
qui aurait pu être matière à d’autres récits. Voilà, au court de l’année, j’avais déposé sur des sites de rencontre une annonce pour recruter des voyeurs pour cet été, et ce que
pour du voyeurisme. Sur les réponses reçues, il y avait deux hommes et deux couples qui étaient partants. Sur les deux hommes, un devait venir mater Maéva les après midi, l’autre
avec qui j’avais longuement échangé, était antillais. Je lui avais envoyé un scénario pour lui permettre dans un premier temps de lier amitié avec nous. Cela devait se passer sur
la plage. Pendant quelques jours il nous retrouvait sur la plage pour discuter. Puis un matin où nous étions dans les dunes, il devait nous surprendre, moi caressant ma femme
devant un voyeur. Voyant cela, il s’installait à côté de nous tous en nous disant que l’on pouvait continuer ce que nous étions en train de faire, que cela lui plairait de me voir
caresser ma femme. Voyant cela je continuais à caresser Maéva. Voyant que son membre commençait à se raidir, je demandais à ma femme, au creux de l’oreille, si elle m’autorisait à
proposer à notre black de la caresser. Après l’avoir convaincu d’accepter, j’invitais notre homme à commencer ses caresses. Cela devait se terminer, par voir ma femme caresser la
queue de notre antillais, puis voyant que celui-ci allait jouir, lui demander d’arroser les seins de Maéva, et comme elle connaît mes envies, ma femme me demandait de lui caresser
les seins en lui étalant le foutre sur sa poitrine. Hélas cela n’a pas été. Je n’ai pas vu ces deux personnes. Quand aux couples, un seul s’est manifesté. Le problème, nos femmes
n’étaient pas au courant de nos démarches. J’ai exhibé ma femme sur la plage en lui passant du produit solaire, lui en passant sur le sexe, sur les fesses en faisant en sorte de
bien écarter sa raie pour montrer son petit trou. Depuis nous avons échangé des photos de nos femmes et restons en contact pour l’année prochaine. En une semaine ce n’est pas
forcément facile faire naître une complicité entre deux couples qui ne se connaissent pas.
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Par Maéva et voyeur34
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Lundi 12 novembre
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Cela faisait un petit moment que nous étions allongés sur la dune lorsque l’homme est arrivé.
Il a posé sa serviette en faisant attention de bien la positionner juste dans l’axe de l’entrecuisse de Maéva, et le plus près qu’il pouvait que permettait le relief de la dune.
C’est allongé sur le ventre, la tête au bord du promontoire qui dominait notre couche, que l’homme s’est installé à trois mètres de nous. Pendant tout ce temps, je n’avais cessé
de caresser les fesses de ma femme. Au fil des ans sa retenue s’est peu à peu estompée, et quand je glisse mes doigts dans sa raie alors qu’elle sait qu’il y a un voyeur, elle ne
proteste plus, et je peux de mes doigts écarter ses fesses et lui planter le doigt resté vacant dans son petit trou. Ainsi notre voyeur assiste à la pénétration de mon doigt dans
le cul de ma femme. Et c’est ce qu’il venait de se passer sous le regard appuyé de notre homme avant que je le retire et reprenne mes caresses sur son cul, et que de mes deux
mains j’écarte ses fesses pour lui montrer la rondelle de Maéva. Les caresses avec les mains c’est bien, mais c’est encore mieux avec la langue. Je me suis déplacé pour avoir la
tête face à son cul, j’ai écarté ses fesses, et j’ai planté le bout de ma langue dans son petit trou entrouvert. J’aime sentir ma langue plantée dans son cul. Là j’ai imprimé un
mouvement de rotation tout en poussant, le bout de ma langue bien tendu, afin de la faire pénétrer un peu plus. Je suppose que notre voyeur n’a rien raté de la scène. Puis je me
suis retiré du cul de ma salope pour qu’elle puisse se retourner, et offrir au regard attentif du voyeur, son entrecuisse largement ouverte. J’ai commencé par lui caresser
l’abricot du bout des doigts, puis à pleine main. J’ai écarté ses petites lèvres et du bout des doigts, j’ai effleuré son clito. Ce n’est qu’après avoir éveillé sa sensibilité,
que j’ai commencé à la masturber. Mes doigts caressaient son sexe gable. Un bel abricot tout lisse, bien doux comme j’aime. Sentir cette peau fine et douce comme du velours sous
mes doigts, la lécher est un vrai plaisir. Me délecter de son parfum, du sucré de son suc, un parfum des îles, moitié vanille, moitié cannelle. Bref je l’ai caressé jusqu’à ce
qu’elle jouisse. Puis je me suis penché sur son fruit pour le prendre en bouche et me délecter de tous ces arômes. Pendant tout ce temps, notre voyeur est resté allongé sur le
ventre, nous regardant, sans jamais se caresser. Que penser de son attitude : timide, réservé, ne voulant rien manquer du spectacle offert. Moi je me suis senti un peu
frustré, car j’aime voir un homme se branler en regardant ma femme et voir ce qu’elle provoque chez lui est très jouissif. Voir que ma salope tend des bites et vide des couilles,
quel plaisir. Nous sommes partis au bord de l’eau pour finir notre matinée plage, lui est parti peu de temps après notre départ.
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Par Maéva et voyeur34
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