Lundi 12 novembre
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Cela faisait un petit moment que nous étions allongés sur la dune lorsque l’homme est arrivé.
Il a posé sa serviette en faisant attention de bien la positionner juste dans l’axe de l’entrecuisse de Maéva, et le plus près qu’il pouvait que permettait le relief de la dune.
C’est allongé sur le ventre, la tête au bord du promontoire qui dominait notre couche, que l’homme s’est installé à trois mètres de nous. Pendant tout ce temps, je n’avais cessé
de caresser les fesses de ma femme. Au fil des ans sa retenue s’est peu à peu estompée, et quand je glisse mes doigts dans sa raie alors qu’elle sait qu’il y a un voyeur, elle ne
proteste plus, et je peux de mes doigts écarter ses fesses et lui planter le doigt resté vacant dans son petit trou. Ainsi notre voyeur assiste à la pénétration de mon doigt dans
le cul de ma femme. Et c’est ce qu’il venait de se passer sous le regard appuyé de notre homme avant que je le retire et reprenne mes caresses sur son cul, et que de mes deux
mains j’écarte ses fesses pour lui montrer la rondelle de Maéva. Les caresses avec les mains c’est bien, mais c’est encore mieux avec la langue. Je me suis déplacé pour avoir la
tête face à son cul, j’ai écarté ses fesses, et j’ai planté le bout de ma langue dans son petit trou entrouvert. J’aime sentir ma langue plantée dans son cul. Là j’ai imprimé un
mouvement de rotation tout en poussant, le bout de ma langue bien tendu, afin de la faire pénétrer un peu plus. Je suppose que notre voyeur n’a rien raté de la scène. Puis je me
suis retiré du cul de ma salope pour qu’elle puisse se retourner, et offrir au regard attentif du voyeur, son entrecuisse largement ouverte. J’ai commencé par lui caresser
l’abricot du bout des doigts, puis à pleine main. J’ai écarté ses petites lèvres et du bout des doigts, j’ai effleuré son clito. Ce n’est qu’après avoir éveillé sa sensibilité,
que j’ai commencé à la masturber. Mes doigts caressaient son sexe gable. Un bel abricot tout lisse, bien doux comme j’aime. Sentir cette peau fine et douce comme du velours sous
mes doigts, la lécher est un vrai plaisir. Me délecter de son parfum, du sucré de son suc, un parfum des îles, moitié vanille, moitié cannelle. Bref je l’ai caressé jusqu’à ce
qu’elle jouisse. Puis je me suis penché sur son fruit pour le prendre en bouche et me délecter de tous ces arômes. Pendant tout ce temps, notre voyeur est resté allongé sur le
ventre, nous regardant, sans jamais se caresser. Que penser de son attitude : timide, réservé, ne voulant rien manquer du spectacle offert. Moi je me suis senti un peu
frustré, car j’aime voir un homme se branler en regardant ma femme et voir ce qu’elle provoque chez lui est très jouissif. Voir que ma salope tend des bites et vide des couilles,
quel plaisir. Nous sommes partis au bord de l’eau pour finir notre matinée plage, lui est parti peu de temps après notre départ.
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Par Maéva et voyeur34
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