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C’était un des tous premiers matins où nous descendions à la plage. Serviette au bord de
l’eau et pas forcement faire de l’exhibe. Nous étions là pour profiter du soleil et de l’eau. Malgré cela je me connais, et voir ma femme nue allongée à mes côtés, provoque chez
moi le désir de lui caresser les fesses.
C’est ce que j’ai fait et peu de temps après avoir commencé, j’ai remarqué un couple non loin
de nous, dont l’homme regardait dans notre direction. Jetant de temps en temps un regard vers le couple, j’ai constatais que le monsieur avait le regard toujours dans notre
direction. J’ai donc entrepris des caresses plus osées sur les fesses de ma Maéva. Ma main glissait sur le lobe de ses fesses, et finissait dans la raie de son cul, faisant
parfois une halte entre ses cuisses pour titiller les lèvres de son abricot. Intrigué par la position de ma main sur le cul de ma femme, l’homme s’est levé pour aller à l’eau. Il
a commencé par faire des petit allé et retour, sans trop s’éloigner de sa serviette, puis a commencer à élargir son champ d’action pour finalement arriver jusqu’où l’on se
trouvait. Moi j’ai continué mon manège, et monsieur a commencé à avoir une érection. Dans l’eau jusqu’au bas ventre son sexe raidi se trouvait au raz de l’eau, dans une position
horizontale. Moi j’ai continué par alternance à titiller l’abricot de Maéva, de caresser les fesses de ma femme, de les lui écarter pour qu’il puisse mater sa petit trou,
d’appuyer avec un doigt sur sa rondelle pour lui ouvrir son petit trou. A ce petit manège notre homme à fini les deux mains sur sa queue pour éviter à celle-ci de se mettre au
garde à vous.
Le lendemain après-midi de cette matinée, nous étions en train de nous faire bronzer, quand
il m’a semblé voir une femme qui était avec deux hommes, porter un rosebud. Sa position allongée sur le dos, jambes remontées, dégageait ses fesses. Ce qui n’était qu’une
supposition s’est révélé être exact, quand ma femme et moi sommes passés devant eux pour partir. J’ai tout de suite fait remarquer la chose à Maéva. Ce n’est que le soir que j’ai
posé la question à Maéva, à savoir si elle oserait faire de même. Répondant par la négative, je lui faisais remarquer que l’année précédente, après être passée par les dunes avec
son bijou, elle était descendu au bord de l’eau, son bijou calé au fond de la raie. Sa réponse fut « OK, mais uniquement le matin.
Le lendemain matin direction la plage pour un bronzage au bord de l’eau. A notre arrivé peu
de monde et facile de m’apercevoir que le couple vu l’avant-veille est là. Je décide de poser les serviettes non loin d’eux, sachant que notre homme est voyeur et qui va s’en
doute revenir mater ma femme si je pose ne serait-ce que la main sur ses fesses. Ce que je fais une fois installé. L’homme mort à l’hameçon. Il se dirige vers la mer, entre dans
l’eau et commence le même manège pour se rapprocher de nous. Quand il est juste en face de nous, il a déjà la queue raide. Il faut dire que je profite du temps qu’il met pour
arriver à notre hauteur, pour caresser le cul de ma Maéva et glisser ma main dans son entrecuisses. C’est donc tout naturellement que j’ouvre la raie du cul de ma femme en lui
écartant les fesses, afin que notre voyeur puisse voir le petit trou de Maéva occulté par son rosebud. Cette fois sa queue se redresse un peu plus. Il bande comme un âne le bougre
et cela va durer un bon moment. Il en a eu pour son déplacement. Il a pu admirer son bijou un long moment, car je ne me suis pas privé de le lui montrer. Tout cela accompagné de
caresse de son entrecuisse. Bien sur Maéva n’est pas resté uniquement allongée sur le ventre, elle s’est mise sur le dos, les cuisses bien ouverte. Moi j’en ai profité pour lui
caresser la chatte devant notre voyeur, qui faisait les cents pas dans l’eau, juste en face de nous.
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