Quand nous sommes arrivés sur le parking pour cette nouvelle matinée de plage, il y avait
déjà des voitures de garées, dont une qui était non loin du chemin donnant accès à la plage. Son chauffeur était encore à l’intérieur et ma première pensée fut de me dire que s’il
était encore là lors de notre passage, il ne manquerait pas de voir la tenue fortement dénudée de Maéva. Mais le temps que ma femme se change, cela paraissait fort peu probable.
Me garant comme à mon habitude, je remarquais que de là où j’étais, le chauffeur de la voiture qui était sorti du véhicule était un homme et qu’il pouvait nous voir. Pendant que
ma femme se changeait pour revêtir sa robe qui laisse à la vue ses fesses et la raie de son cul par la même occasion, notre homme avait la tête dans sa voiture, cherchant
supposais-je quelque chose qu’il ne trouvait pas. Finalement il a émergé de sa voiture lorsque nous sommes arrivés à sa hauteur. Il n’a pu ne pas s’apercevoir de la totale nudité
de Maéva, qui n’était en rien cachée par sa robe fortement ajourée. Tout le long du chemin il nous a suivi et ce n’est qu’à l’endroit où la plage se sépare en deux, côté naturiste
et côté textile, que nos chemins se sont séparés. Tout le temps du trajet qui nous a mené jusque là, il a profité de la vision du cul de ma femme et peut-être a t-il aperçu
qu’elle portait un bijou entre les fesses.
Nous voilà donc sur notre plage, direction les dunes, vers notre petit coin préféré. Il n’a
pas fallu longtemps pour voir arriver quelqu’un. Nous n’avions pas fini de nous installer quant l’homme est arrivé pour s’installer. Une connaissance de plusieurs années, qui
revient régulièrement mater ma femme. Mais chose qu’il n’a jamais vu jusqu’à présent, s’est son rosebud. Pourtant elle l’a déjà porté plusieurs fois, et chaque fois monsieur
n’était pas là. Nous voilà installé, et première chose Maéva s’allonge sur le ventre, les fesses tournées vers le soleil et vers notre voyeur. Moi première chose que je fais, je
commence par lui caresser ses deux lobes et pour que notre voyeur ne se pose plus de questions sur ce qu’il entrevoit dans la raie du cul de ma femme, j’écarte de mes mains ses
fesses pour qu’il est la vision de son bijou planté dans son cul. Mon voyeur en redemande, il se branle. Chaque fois que j’ouvre le cul de ma femme, je le vois bouger, cherchant
la meilleure position pour bien profiter du cul de ma femme. Tout le temps qu’il restera à mater, Maéva lui montrera son cul et son rosebud. Lui se branlera jusqu’à l’éjaculation.
Sa jouissance sera intense, secoué par des spammes qui le laisseront la tête dans le sable pendant un certain temps avant de reprendre ses esprits. Petite déception pour moi, je
ne l’ai pas vu jouir. J’aime voir un homme jouir dans le sens où je sais que sa jouissance est le fait de voir ma femme s’offrir à son regard, qu’elle porte un bijou dans son cul,
qu’il voit sa raie, sa chatte. Voir qu’un homme vide ses couilles par le simple fait de mater ma femme. Notre homme est parti peu de temps après en me faisant un signe en guise de
remerciement. Depuis j’ai laissé un message sur son mail, pour savoir ce qu’il avait apprécié, mais pour l’instant je n’ai pas eu de réponse.
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Bonne année 2012 à vous deux , amours , coquineries , exhibes , désirs et plaisirs seront les mots qui j'espère vous guideront . En attendant je ne sais pas si je pourrais rester uniquement simple voyeur en regardant les trésors de Maeva . L'envie de venir caresser cette peau dorée de venir poser mes lévres humides sur ses lèvres entres ouvertes de retirer délicatement son plug pour y plonger ma langue avide ...Maeva est trop désirable pour rester de marbre . Bisous humides Jean
merci pour tout et bonne année à vous aussi.