Samedi 7 janvier
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14:48
Cella faisait déjà deux jour que nous n’étions pas allées à la plage, le vent du nord étant
assez fort pour soulever le sable et rendre la bronzette insupportable. Aussi en ce troisième jour malgré quelques rafales, il nous semblait pouvoir envisager enfin une virée vers
les plages. Arrivés au parking, nous nous sommes regardés ma femme et moi en se disant que ce n’était pas forcément gagné. Au bout du chemin qui nous conduisit du parking à la
plage, ma conviction que le sable devait voler, s’est révélée exacte. Les personnes déjà présentes sur la plage s’étaient accolées aux dunes afin de se protéger des bourrasques
qui soulevaient le sable. Etant là finalement nous avons optés pour un essai. Direction les dunes qui sont déjà bien occupées. Finalement on trouve une petite plateforme abrité
sur la dune. Des gens se trouvent un peu plus bas sur le contrefort à cinq mettre de nous mais ne peuvent nous apercevoir.
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Nous étions à peine installés qu’un homme est arrivé et à posé sa serviette à cinq mètre de
nous sur le même niveau. Quand je l’ai vu relever la tête et regarder dans notre direction, j’ai tout de suite compris que le mec ne s’était pas posé là pour passer son après midi
tranquille, mais pour mater. De là où il était, il avait une belle vue sur la chatte de Maéva. Moi quand j’ai compris ce qu’il cherchait, j’ai commencé à caresser ma femme. D’une
main J’ai commencé par caresser la cuisse, puis l’intérieur de la cuisse, puis enfin mes doigts ont commencé à tripoter le sexe de ma petite salope. Le voyeur a pris sa queue pour
se masturber et il n’a pas arrêté de l’après midi. Mais comme il y avait parfois des gens qui passaient, nous étions obligés moi et le voyeur d’interrompre notre petit manège. Dès
que les gens s’éloignaient, on recommençait, moi à caresser ma femme et lui à se branler. J’ai caressé le sexe de Maéva en faisant en sorte de lui écarter les petites lèvres, pour
que mon voyeur puisse voir l’intérieur tout rose de son abricot. Son cul, je le lui ai bien ouvert en écartant ses fesses. Il à pu voir son œillet car elle ne portait pas son
bijou. J’ai remarqué que chaque fois que j’ouvrais la raie du cul de ma femme, l’homme soulevait sa tête pour voir encore mieux le trou du cul de ma femme. Il s'est branlé toute
la journée.
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Puis est arrivé un deuxième voyeur. Il s’était mis un peu en retrait par rapport à l’autre
mais se tenait debout. Sa queue est vite passée à l’horizontale pour prendre finalement une position tendue à deux heures. Sans doute jugea t-il qu’il ne voyait pas assez, car
lorsque je caressais les fesses de Maéva, et les lui écartaient, je fus surpris en relevant la tête pour voir ce que faisaient mes deux voyeurs, de voir que celui qui était
debout, était venu à deux mètres de nous et regardait franchement en se penchant au dessus du cul de ma femme pour mieux le voir et sa chatte par la même occasion vu le grand
écart des jambes de Maéva. Afin de mettre un peu de distance, j’arrêtais mes caresses. Mais dès que mes mains reprenaient possession des fesses de ma petite salope, mon voyeur
revenait aussitôt se rincer l’œil le plus près possible. Finalement cela ne m’a pas déplu et j’ai laissé faire. Puis il a fallu rentrer, j’ai arrêté mon manège pour que ses
messieurs reprennent leurs esprits.
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Par Maéva et voyeur34
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